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FERMENTALG : Il faut comprendre l'OPA de VEOLIA sur SUEZ pour comprendre CARBONWORKS

08 juil. 2021 06:53

Je vous suggère de regarder l'ITW d'Antoine frérot (pdg veolia) du 6/7/21 sur boursorama
Il est clair que veolia et suez ne sont plus concurrents mais partenaires désormais et il n'y aura plus jamais aucun litige entre les 2. Les équipes e veolia et SUEZ travaillent deja ensemble alors que l'OPA n'est pas officialisée.
Dans ce contexte comment faut il lire la récente déclaration de veolia et total ? Cela me paraît évident, VEOLIA n'a jamais eu d'expérience dans les microalgues (vous pouvez chercher cela n'a jamais fait parti de leur domaine), l'expérience qu'ils prétendent avoir est donc clairement celle de FERMENTALG au travers de CARBONWORKS.
Une nouvelle corde a l'arc de fermentalg en sorte : des protéines , des omégas 3, du colorant alimentaire , des puits de carbone et du pétrole bio... et certainement d'autres a venir car les domaines des microalgues peuvent être très vastes et encore inconnus !
Il n'y a aucune autre explication logique. Sinon je vous laisse m'expliquer

12 réponses

  • 08 juillet 2021 06:57

    En ranche je crois a la prise de participation croisée pour protéger des éventuelles tentatives d'opa et je sais qu'il reste quelques actions en cours de création (BSA, Kepler ...) le solde final sera approximativement de 38 millions d'actions pour 33 millions environ aujourd'hui
    Mais avec une telle mise en avant le potentiel est pharaonique.
    Reste plus qu'a le mettre en lumière :
    -apres l'OPA de veolia 
    -avec l'autonomie financière de fermentalg grâce au CA et non à la dilution.

    A partir de la le cours sera stratosphérique 


  • 08 juillet 2021 07:43

    Belle analyse que je partage
    Gardez vos titres au fond du coffre


  • 08 juillet 2021 18:24

    L'IFP lance une unité pilote pour les agrocarburants de seconde génération
    Si de sérieux doutes planent sur l'intérêt des agrocarburants actuels, ceux de seconde génération font l'objet de recherches notamment par l'IFP qui lance une unité pilote de production à partir de biomasse lignocellulosique par voie thermochimique.
    Energie | 04 avril 2008 | Carine Seghier | Actu-Environnement.comRéduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail
    Si de nombreux doutes planent sur l'intérêt des agrocarburants (ou biocarburant) de première génération, tout le monde semble en revanche s'accorder sur l'intérêt à mener des recherches sur les agrocarburants de seconde génération. Ces derniers peuvent être définies comme étant ceux qui utilisent la biomasse lignocellulosique. Les plantes entières sont utilisées comme matière première contrairement à ceux de première génération où seules les graines / tubercules sont utilisés.

    Les filières envisageables

    Plusieurs filières font l'objet de recherche. Une première vise à produire de l'éthanol à partir de plantes entières. Les végétaux réduits en bouillie sont hydrolysés par des microorganismes qui permettent l'obtention de sucre (glucose) qui est fermenté et à l'origine de la production de bioéthanol. Le premier enzyme commercial destiné à la production d'éthanol par la dégradation de la biomasse a d'ailleurs été dévoilé récemment.

    D'autres recherches portent également sur la flore marine. Le projet SHAMASH par exemple, a pour objectif de produire à l'horizon 2010 un nouvel agrocarburant à partir de microalgues autotrophes. Ces microorganismes peuvent accumuler jusqu'à 50% de leur poids sec en acides gras, permettant d'envisager des rendements à l'hectare supérieurs d'un facteur 30 aux espèces oléagineuses terrestres. De plus, la culture de microalgues en serre à grande échelle n'a pas besoin d'apport de produit phytosanitaires et permet de maîtriser le cycle de l'azote et du phosphore en contrôlant le recyclage des éléments nutritifs. Cette option est aussi envisagée par la société Boeing qui travaille au développement d'agrocarburants composé d'un mélange de kérosène et d'agrocarburant développé à partir d'algues.

    Enfin, une autre voie vise à produire du carburant gazole et du kérosène par une méthode thermochimique (filière BtL pour Biomass to Liquid). Cette filière comporte une succession d'opérations visant à produire un carburant de synthèse liquide à partir de la biomasse. Elle comporte trois grandes étapes : le conditionnement de la biomasse, la gazéification et le traitement du gaz de synthèse, et la synthèse du carburant. Certaines de ces opérations ont déjà été éprouvées dans un contexte industriel dans des projets utilisant comme matière première du gaz naturel (GtL) ou du charbon (CtL). En France, le projet Biocarb conduit par le CEA en coordination avec l'Institut français du pétrole (IFP) travaille sur ce sujet.


  • 08 juillet 2021 18:25

    Dix ans qu'ils cherchent.


  • 08 juillet 2021 18:41

    La coentreprise est basée sur le site de Fermentalg à Libourne (Nouvelle-Aquitaine). Sa Direction est confiée à Guillaume Charpy avec un conseil d'administration composé des membres de Suez et de Fermentalg, et présidé par Philippe Lavielle (président directeur général de Fermentalg).

    La nouvelle entreprise dispose à sa création d'actifs de plus de 5 millions d'euros et d'une trésorerie de 1 million d'euros. Elle entend ouvrir son capital à de nouveaux actionnaires dans le cadre d'une levée de fonds en Série A. CarbonWorks prévoit également d'accélérer son développement au travers de différents programmes nationaux et européens d'aide à l'innovation.


  • 09 juillet 2021 11:59

    Le projet de veolia avec total n'est de faire du pétrole avec des algues mais plutôt de remplacer les huiles de palme utilisés pour des carburants spécifiques 


  • 12 juillet 2021 12:01

    En touchant aux biocarburants avec des procédés nouveau, supérieurs à la production à partir du charbon, connue depuis plus d'un demi-siècle, Fermentalg devient stratégique. Sans doute la raison pour laquelle en bourse on lui maintient la tête sous l'eau.


  • 12 juillet 2021 12:36

    Fin d'année avec toutes les annonces prévues il sera difficile de la maintenir en bas 


  • 12 juillet 2021 16:23

    Bonjour, pour votre information, CarbonWorks ne fera pas partie de Veolia mais du nouveau SUEZ et plus précisément de sa division SES (Smart & Environmental Solutions). Par ailleurs SUEZ et Veolia ne sont pas partenaires et ne le seront pas. Il s'avère que l'OPA étant actée, les 2 entreprises sont dans une période de préparation à la séparation qui nécessite une certaine coordination. Le jour J, l'ensemble des entités, des collaborateurs, des SI devront clairement être séparées et autonomes. D'un point de vue business, Veolia et SUEZ demeurent bel et bien des concurrents. 


  • 12 juillet 2021 17:45

    Insane 
    Et d'où tenez vous cette information ?
    Moi je regarde les communiques et les déclarations d'Antoine frérot et cela me parait assez clair que c'est veolia qui va hériter de CARBONWORKS


  • 13 juillet 2021 08:15

    Insane 
    Et puisque vous semblez sur de vous : pouvez m'expliquer quel est le département chez veolia II s'occupe des microalgues ??? 
    Réponse aucun.
    Alors par quel biais prétendent ils avoir une énorme expérience à ce niveau ?


  • 14 juillet 2021 13:43

    Tomsurge 

    J'ai posé cette question au département relations investisseurs de Véolia...qui ne m'a toujours pas répondu :-)


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