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Retour au sujet ATOS

ATOS : Êtes vous d'accord avec ceci ?

05 juin 2025 10:08

Le choix d'un faible flottant est une stratégie qui permet à une entreprise de maintenir un contrôle plus strict sur sa gestion, de protéger ses informations sensibles, et de se protéger de la volatilité des marchés. Ces avantages peuvent être plus importants que la réduction de la liquidité et la potentialité de volatilité, surtout pour les entreprises qui souhaitent se concentrer sur la création de valeur à long terme.

40 réponses

  • 05 juin 2025 10:11

    Sauf que dans le cas ATOS, la situation n'est pas voulue, mais subie.


  • 05 juin 2025 10:14
    05 juin 2025 10:11

    Sauf que dans le cas ATOS, la situation n'est pas voulue, mais subie.

    alors pourquoi vouloir maintenir une cotation et ne pas avoir fait une OPR


  • 05 juin 2025 10:16

    Une entreprise ne "choisit" pas son flottant, ce sont les investisseurs/actionnaires qui font que le flottant est élevé ou pas.


  • 05 juin 2025 10:19
    05 juin 2025 10:14

    alors pourquoi vouloir maintenir une cotation et ne pas avoir fait une OPR

    Une OPR payée par qui ?


  • 05 juin 2025 10:23
    05 juin 2025 10:19

    Une OPR payée par qui ?

    l'ensemble des plus gros actionnaires de la société par exemple


  • 05 juin 2025 10:36
    05 juin 2025 10:23

    l'ensemble des plus gros actionnaires de la société par exemple

    Seul un actionnaire majoritaire détenant 90% du capital peut lancer une OPR.
    Sur Atos il n'y a aucun actionnaire qui détient plus de 10%


  • 05 juin 2025 10:45
    05 juin 2025 10:36

    Seul un actionnaire majoritaire détenant 90% du capital peut lancer une OPR.
    Sur Atos il n'y a aucun actionnaire qui détient plus de 10%

    je pensais que le CA pouvait convoquer une AGE pour statuer sur une OPR, et que, selon un quorum défini dans les statuts, cette décision pouvait être prise par les actionnaires.


  • 05 juin 2025 10:53

    c'est un actionnaire ou un groupe d'actionnaires détenant 90% du capital qui peut décider d'une OPR


  • 05 juin 2025 11:02
    05 juin 2025 10:53

    c'est un actionnaire ou un groupe d'actionnaires détenant 90% du capital qui peut décider d'une OPR

    vous avez parfaitement raison Kenta l'OPR est une possibilité et pour tout dire un risque sévère pour nous.

    Guga va faire son possible pendant encore quelque temps pour nous expliquer que les creanciers participants n'ont pas 90% du K, mais nous savons qu'ils en sont très proches, surtout s'ils parviennent à faire vendre la part des non participants, comme ils ont sans doute deja recuperé celle de la BCE.


    Le risque d'OPR est LA seule vraie raison d'avoir peur sur Atos. Si OPR, nous perdons tout (rachat à un cours très bas), dans le cas contraire, nous sommes à peu pres certains de participer à l'une des plus belles recovery de l'histoire de la bourse de paris.

    et tout le story telling actuel vise à nous faire croire autre chose....

    c'est ce que victorda a très bien decrit , en invoquant une confiscation de capital dès 2024 (avant meme les 3 AK) et qui hérisse certaines personnes ici...


  • 05 juin 2025 11:03

    " Pour qu’une OPR puisse être déclenchée, l’actionnaire majoritaire doit détenir au minimum 90 % du capital ou des droits de vote de la société (et donc, les actionnaires minoritaires ne doivent pas posséder plus de 10 % du capital ou des droits de vote)."


  • 05 juin 2025 11:06

    Il est fait état d'UN actionnaire majoritaire.

    Les créanciers, ensemble, peuvent-ils se liguer contre les minoritaires ?


  • 05 juin 2025 11:08
    05 juin 2025 11:03

    " Pour qu’une OPR puisse être déclenchée, l’actionnaire majoritaire doit détenir au minimum 90 % du capital ou des droits de vote de la société (et donc, les actionnaires minoritaires ne doivent pas posséder plus de 10 % du capital ou des droits de vote)."

    et d'après le résultat de l'AK DPS, en suposant que ceux qui ont souscrit étaient des PP ou des investisseurs independants des creanciers (ce qui n'est pas sur car n'oublions pas que melqart est au dessus de 5% et on ne sait pas si ses actions proviennent de covnersion de dettes rachetées au marché secondaire, ou aussi d'une souscription à l'AK DPS.... ou d'un rachat post AK DPS, au marché), on peut espérer 8 à 9% de capital flottant, et un dépassement des 10% en y ajoutant le 1,5% de Ph Salle...

    Avoir plus de 10% du capital est LE grand sujet


  • 05 juin 2025 11:16

    Bah, si les investisseurs individuels étaient moins frileux, la question ne se serait pas posée.


  • 05 juin 2025 11:18

    Très peu d'investisseurs individuels ont souhaité participer à la restructuration.


  • 05 juin 2025 11:27
    05 juin 2025 11:02

    vous avez parfaitement raison Kenta l'OPR est une possibilité et pour tout dire un risque sévère pour nous.

    Guga va faire son possible pendant encore quelque temps pour nous expliquer que les creanciers participants n'ont pas 90% du K, mais nous savons qu'ils en sont très proches, surtout s'ils parviennent à faire vendre la part des non participants, comme ils ont sans doute deja recuperé celle de la BCE.


    Le risque d'OPR est LA seule vraie raison d'avoir peur sur Atos. Si OPR, nous perdons tout (rachat à un cours très bas), dans le cas contraire, nous sommes à peu pres certains de participer à l'une des plus belles recovery de l'histoire de la bourse de paris.

    et tout le story telling actuel vise à nous faire croire autre chose....

    c'est ce que victorda a très bien decrit , en invoquant une confiscation de capital dès 2024 (avant meme les 3 AK) et qui hérisse certaines personnes ici...

    debutant2B , je ne vois aucun risque d'OPR. Les créanciers veulent récupérer leur argent. Avec une OPR, il ne récupéreront pas grand-chose.
    Ils ont beaucoup plus de gains à faire en laissant Atos sur le marché.

    La seule OPR intéressante pour un créancier que j'ai connue - et subie - est celle de l'Etat sur EDF.


  • 05 juin 2025 11:38

    Et c'est 95 % :

    "Qu'est-ce qu'une OPR (Offre Publique de retrait) ?

    L’Offre Publique de Retrait est une opération qui consiste à retire les titres dont le flottant (titres susceptibles d’être échangés sur le marché) est inférieur à 5% du capital ou des droits de vote. L’OPR fait souvent suite à une OPA ou à une OPE et vise les titres qui n’ont pas été apportés à l’offre initiale. Les actionnaires principaux ou l’actionnaire unique (qui doivent détenir au moins 95% des droits de vote) visent avec cette opération le retrait de la valeur de la cote.

    Les actionnaires minoritaires, en contrepartie, reçoivent une indemnisation contre leurs
    titres."

    https://www.boursobank.com/aide-en-ligne/bourse/comment-ca-marche/in troductions-et-operations-sur-titres/question/qu-est-ce-qu-une-opr-offre-publiqu e-de-retrait-258#:~:text=Qu%27est-ce%20qu%27une%20OPR%20%28Offre%20Publique%20de %20retrait%29%20%3F,5%25%20du%20capital%20ou%20des%20droits%20de%20vote.


  • 05 juin 2025 11:45

    g.prigen Il me semble que c'est 90% depuis la loi Pacte


  • 05 juin 2025 12:00

    Message supprimé

    Bien Vue Soleil78 et BRAVO22 👍


  • 05 juin 2025 12:17

    La loi PACTE assouplit les conditions de mise en œuvre du retrait obligatoire
    ArticlePrivate Equity Corporate - M&A | 19/07/19 | 3 min. | Jérôme Brosset Gwendoline Hong Tuan Ha

    La loi Pacte, définitivement adoptée par l’Assemblée nationale le 11 avril 2019 et promulguée le 22 mai 2019 prévoit un abaissement du seuil de retrait obligatoire (et de l’offre publique de retrait)

    Communément appelé « squeeze-out », le mécanisme de retrait obligatoire intervient au terme d’une offre publique d’acquisition et permet à un actionnaire majoritaire d’une société cotée sur Euronext Paris ou sur Euronext Growth de forcer l’acquisition des titres des actionnaires minoritaires sous certaines conditions et en contrepartie d’une indemnisation.

    Lors de la transposition de la directive 2004/25/CE relative aux offres publiques d’acquisition (la « directive OPA »), la France avait fait le choix de maintenir à 95% le seuil ouvrant droit au retrait obligatoire, soit le seuil le plus élevé autorisé par la directive. En 2018, il fallait cependant constater qu’en conservant ce seuil, la France comptait parmi les rares pays avec l’Italie, la Lituanie, le Luxembourg et les Pays-Bas à avoir conservé ce seuil de 95%.

    Dans son volet relatif à la simplification de l’accès des entreprises aux marchés financiers, la loi PACTE prévoit d’abaisser de 95% à 90% le seuil de détention de l’actionnaire majoritaire pour exercer ce retrait obligatoire.

    La loi PACTE modifie ainsi l’article L.433-4, II, 1 du Code monétaire et financier en ces termes : « Le règlement général de l’Autorité des marchés financiers fixe les modalités selon lesquelles, à l’issue de toute offre publique et dans un délai de trois mois à l’issue de la clôture de cette offre, les titres non-présentés par les actionnaires minoritaires, dès lors qu’ils ne représentent pas plus de 10% du capital et des droits de vote, sont transférés aux actionnaires majoritaires à leur demande, et les détenteurs de ces titres sont indemnisés ».

    L’article 237-1 du règlement général de l’AMF (« RGAMF ») a été modifié dans la foulée en juin 2019 et est désormais rédigé comme suit « A l'issue de toute offre publique et dans un délai de trois mois à l'issue de la clôture de l'offre, l'initiateur de cette offre publique peut se voir transférer les titres non présentés par les actionnaires minoritaires dès lors qu'ils ne représentent pas plus de 10 % du capital et des droits de vote moyennant indemnisation de ces derniers. […] »[1].

    La loi PACTE modifie l’article L.433-4 du Code monétaire et financier et l’article 237-1 du RGAMF en retenant le caractère cumulatif et non plus alternatif du capital et des droits de vote dans le cadre du mode du calcul du seuil. La réforme rejoint en cela l’esprit de la directive OPA de 2004 et l’interprétation de l’Autorité des marchés financiers qui estime, depuis longtemps, que la mise en œuvre du retrait obligatoire n’est possible que si les actionnaires majoritaires détiennent plus de 95% du capital et des droits de vote et ce, afin d’éviter l’effet d’aubaine attaché à la détention éventuelle de droits de vote double.

    En toute logique, le seuil de déclenchement d’une offre publique de retrait (OPR), à la demande des actionnaires majoritaires ou des minoritaires, a, lui aussi, été ramené à 90 % et, plus précisément, à « au moins 90 % du capital ou des droits de vote »[2].

    L’objectif affiché de cette modification est de renforcer l’attractivité de la Place de Paris (i) en adressant un signal rassurant aux candidats à l’introduction en bourse quant à l’assouplissement des règles de sortie de cote, et (ii) en limitant, notamment en les rendant plus coûteuses, les opérations de prises de participation opportunistes par des fonds d’investissement activistes à l’occasion d’offres publiques pour bloquer le retrait obligatoire et monnayer à de meilleures conditions leur prix de sortie.


  • 05 juin 2025 12:30

    Bonjour à tous,

    Je valide la synthèse de debutant2B . Je me suis même inscrit sur le fofo pour ces raisons. Ayant longuement suivi les détails de l’opération « Mercure », j’avais identifié l’arrivée d’un repreneur pour contrer ÉPÉISTE (One Point) 48 h avant sa déclaration (cela m’a valu d’être insulté et plus encore sur le fofo) et par la suite, avec d’autres du fofo, j’ai longuement détaillé les AR de GS comme de probables équity swap pour un portage en vue d’une prise de contrôle.

    Bref, l’enjeu maître, ce sont les 10%, nous avons longuement disserté et beaucoup de forces en présences ont voulu taire et décrédibiliser les interprétations précédentes et l’enjeu à ce sujet. J’étais également une actionnaire au nez creux sur EDF g.prigen , cela m’a d’ailleurs beaucoup aidé à comprendre la stratégie de CasinEDF sur Atos de l’Etat et ses industriels.

    Melqart est une source d’inquiétude depuis un moment car le moment de sa montée peut affecter le « flottant » réel. Mais la montée de Monsieur Salle au capital sur les fonds propres m’a rassuré car il est raccord entre ses propos et ses agissement en CMD. Et s’il reprend des titres, cela me confortera sur sa volonté de recovery de tout Atos.

    La cession de AC est sous la pression maximale de l’Etat, reste à tenter comprendre les dessous des négociations et comment Atos peut y avoir trouvé son compte, pas dans le prix manifestement.


  • 05 juin 2025 12:33

    à défaut d'actionnaire majoritaire il faut un concert d'actionnaires pas une cacophonie d'actionnaires


  • 05 juin 2025 12:40

    Je fais une comparaison avec Europcar : l'OPR a été menée par le consortium dirigé par Volkswagen, avec la participation d'Attestor Limited et Pon Holdings BV.
    Mais Volkswagen détenait une part majoritaire du capital.
    Concernant Atos, nous n'avons pas d'actionnaire majoritaire.


  • 05 juin 2025 12:43

    @Victorda

    "La cession de AC est sous la pression maximale de l’Etat, reste à tenter comprendre les dessous des négociations et comment Atos peut y avoir trouvé son compte, pas dans le prix manifestement."

    D'accord avec vous


  • 05 juin 2025 12:44

    Merci pour vos précisions Guga12 et Bravo22 pour le seuil de 90%.

    Victorda, je partage votre opinion concernant les investissements réalisés par Philippe Salle et son directeur financier dans la boîte, c'est plus que rassurant. De surcroît, je maintiens qu'il n'y a aucun intérêt à retirer la société de la cote - on n'est pas dans le cas de Vilmorin. Je pense que les créanciers ont flairé le bon coût, à l'instar de nous quand nous abaissons nos PRU dans le cas de grandes chutes de cours.

    Ils ne seront plus là après 2026, après avoir fait X3 voire X4, dixit Philippe Salle.

    Tout ce beau monde a trop d'expérience pour réaliser une opération de retrait hasardeuse, qui bloquerait leurs fonds pendant encore plus longtemps.


  • 05 juin 2025 12:56

    Autre chose - excepté les chamailleries insupportables -, je trouve que notre forum présente l'intérêt de discussions entre des personnes aux opinions différentes, avec des objectifs différents et des spécialités différentes, ce qui accroît notre réflexion et notre information pour chacun d'entre nous.

    Continuons sur cette voie. Notre intérêt, pour la plupart, est de gagner de l'argent avec ATOS.


  • 05 juin 2025 13:18

    Bonjour victorda,

    "La cession de AC est sous la pression maximale de l’Etat, reste à tenter comprendre les dessous des négociations et comment Atos peut y avoir trouvé son compte, pas dans le prix manifestement. "

    À défaut d'un meilleur prix, si au moins cette cession pouvait permettre à la société Atos d'obtenir des contrats RENTABLES.

    L'avenir dira ...


  • 05 juin 2025 14:36

    Soleil78 les maîtres d'ouvrages favorisant encore le moins disant la rentabilité des contrats est toujours incertaine


  • 05 juin 2025 14:42
    05 juin 2025 14:36

    Soleil78 les maîtres d'ouvrages favorisant encore le moins disant la rentabilité des contrats est toujours incertaine

    tu veux dire les Clients !




    on n'est pas en maçonnerie générale 😂😂🤣


  • 05 juin 2025 15:05
    05 juin 2025 14:42

    tu veux dire les Clients !




    on n'est pas en maçonnerie générale 😂😂🤣

    Non, pas en maçonnerie 😂​

    ANGERS (TRÉLAZÉ),
    Là, tout près de " l'usine du FUTUR d'Eviden ", se trouvait une carrière d'ardoises.

    Les ardoisières d'Angers : souvenir, souvenir... 😉


  • 05 juin 2025 15:15
    05 juin 2025 15:05

    Non, pas en maçonnerie 😂​

    ANGERS (TRÉLAZÉ),
    Là, tout près de " l'usine du FUTUR d'Eviden ", se trouvait une carrière d'ardoises.

    Les ardoisières d'Angers : souvenir, souvenir... 😉

    hahaha 🤣 👍


  • 05 juin 2025 15:17

    Il paraît qu'on n'extrait plus d'ardoises. Vu que j'ai un toit fait de ce matériau, ce pourrait être fâcheux. 🤔


  • 05 juin 2025 15:24

    Faut bien se remémorer le passé en attendant l'avenir. 😉​

    J'ai eu la chance de connaître ces ardoisières qui, malheureusement, n'existent plus.

    Maintenant, les toitures sont couvertes par des ardoises espagnoles.


  • 05 juin 2025 15:30
    05 juin 2025 15:17

    Il paraît qu'on n'extrait plus d'ardoises. Vu que j'ai un toit fait de ce matériau, ce pourrait être fâcheux. 🤔

    Ne vous inquiétez pas, les ardoises d'Espagne sont de bonne qualité également.


  • 05 juin 2025 16:23

    Le flottant d’Atos, c’est-à-dire la part des actions librement échangeables sur le marché, a évolué en raison des récentes restructurations financières. En décembre 2024, après la finalisation des augmentations de capital réservées, le flottant représentait 9,0% du capital social d’Atos. Il est important de noter que cette proportion pourrait être ajustée en fonction de l’exercice éventuel de bons de souscription d’actions (BSA). Dans l’hypothèse où la totalité des BSA serait exercée, le flottant serait réduit à 8,0% du capital social. Ces chiffres reflètent une diminution significative du flottant par rapport aux périodes antérieures, conséquence directe des opérations de restructuration financière qu’a connues l’entreprise.


  • 05 juin 2025 16:29

    La question de savoir pourquoi les actionnaires majoritaires d’Atos ne lancent pas d’offre publique de retrait (OPR) est complexe et dépend de plusieurs facteurs liés à la structure actuelle de l’actionnariat et aux réglementations en vigueur.

    Absence de contrôle concerté : Suite à la restructuration financière finalisée en décembre 2024, les créanciers d’Atos sont devenus les principaux actionnaires. Cependant, ces créanciers, composés de diverses banques et fonds d’investissement, n’agissent pas de concert et n’ont pas formé de pacte d’actionnaires. En conséquence, aucun d’entre eux ne détient individuellement une participation suffisante pour exercer un contrôle effectif sur la société. Selon les informations disponibles, « les banques et les porteurs d’obligations n’entendent pas agir de concert », ce qui signifie que la société reste « non contrôlée » . Seuils réglementaires pour une OPR : En France, une offre publique de retrait est généralement initiée lorsqu’un actionnaire ou un groupe d’actionnaires agissant de concert détient une proportion significative du capital, souvent au-delà de 90%. Dans le cas d’Atos, bien que les créanciers détiennent collectivement une large majorité des actions, l’absence d’action de concert signifie qu’aucun actionnaire individuel n’atteint ce seuil requis pour déclencher une OPR obligatoire.

    Considérations stratégiques et financières : Lancer une OPR nécessite des ressources financières substantielles pour racheter les actions restantes en circulation. Étant donné qu’Atos sort d’une période de restructuration financière complexe, il est probable que les actionnaires majoritaires actuels préfèrent stabiliser la situation financière de l’entreprise et se concentrer sur sa relance opérationnelle plutôt que d’engager des fonds supplémentaires pour acquérir les parts des actionnaires minoritaires.

    En résumé, l’absence d’une OPR par les actionnaires majoritaires d’Atos s’explique principalement par le fait qu’ils n’agissent pas de concert pour exercer un contrôle effectif sur la société, ne remplissant ainsi pas les conditions réglementaires requises pour une telle offre. De plus, les priorités actuelles semblent être orientées vers la consolidation financière et opérationnelle de l’entreprise.


  • 05 juin 2025 16:37

    @3272884

    en exerçant les BSA, de nouvelles actions sont créées, ce qui entraîne une augmentation du flottant!


  • 05 juin 2025 18:00

    Non, les BSA n’appartiennent pas au flottant. Les majoritaires font se renforcer. Lis bien dans mon premier post cette phrase : Dans l’hypothèse où la totalité des BSA serait exercée, le flottant serait réduit à 8,0% du capital social.


  • 05 juin 2025 18:03
    05 juin 2025 18:00

    Non, les BSA n’appartiennent pas au flottant. Les majoritaires font se renforcer. Lis bien dans mon premier post cette phrase : Dans l’hypothèse où la totalité des BSA serait exercée, le flottant serait réduit à 8,0% du capital social.

    La moitié des BSA ont été exercés, et le nombre d'actions en circulation a augmenté en conséquence!


  • 05 juin 2025 18:08

    Tout à fait g.prigen, nous sommes des actionnaires avec des buts parfois différents (grosse ou petite ligne, CT, MT ou LT. Il y a aussi les vadeurs que je n'aime pas par principe (Atos en a été victime avant son AK, tout comme Orpea Emeis) et les basheurs, vite repérés, parfois des trolls venus s'amuser!


  • 05 juin 2025 18:09

    On peut donner ses points de vue, la valeur reste volatile après son regroupement, même si le cours tourne toujours autour des 37 six mois après l'AK sauvetage!


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