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L'entreprise française Crossject nourrit l'ambition de devenir le leader mondial des auto-injecteurs pré-remplis de médicaments d'urgence et sans aiguille, avec une injection à haute pression capable d'atteindre la couche intramusculaire même à travers des vêtements.
28 mars 2024•17:54
merci toux68 …
«au fait ça ne va pas mieux ta toux ? » 😉
lisez vous comme moi : «Crossject table sur de premières livraisons commerciales, pour la défense américaine, avant la fin 2024» ?
28 mars 2024•17:58
Ça raconte notamment qu'ils ont installé des caméras et des barreaux à Gray, exigence des autorités américaines.
28 mars 2024•17:58
Modification.."d'ici 1 an"
C'est une blague ? Va falloir rassurer le 24 avril !
28 mars 2024•18:09
Voici la conclusion de l article :
« En raison des dates de péremption des produits pharmaceutiques, Crossject s’affaire surtout à constituer des stocks de générateurs de gaz et de tubes en verre avant de lancer la production finale en sous-traitance. La commercialisation du Zeneo avec le midazolam est envisagée sous deux ans aux Etats-Unis, avant de probables autorisations en Europe, voire en Asie-Pacifique. Crossject mise en revanche sur une autorisation pour le contrat Barda d'ici un an, au premier trimestre 2025. Patrick Alexandre s’en réjouit : après plus de 20 ans de développement, les équipes sont «dans les starting-blocks».
28 mars 2024•18:10
Voilà pourquoi ça baisse. Le timing. C est juste ça. Time is money.
28 mars 2024•18:15
Tromsoe c'est vilain de mentir. Tu penses être le seul abonné à l'usine nouvelle ? La conclusion dit "Crossject mise en revanche sur une autorisation pour le contrat Barda avant la fin de cette année 2024".
28 mars 2024•18:18
C est quoi encore ce report d un an?
Et pourquoi via un article de presse et pas un cp de Crossject?
Encore qqchose qui sème le trouble je trouve
28 mars 2024•18:22
Ça fait 6 à 9 mois si c'est T4 et pas un an.
28 mars 2024•18:27
Je pense qu'il y a pas mal de monde qui espérait le feu vert d'ici fin juin...moi compris
28 mars 2024•18:34
Socrate82
je lis la même chose que 11-Tromsoe
"La commercialisation du Zeneo avec le midazolam est envisagée sous deux ans aux Etats-Unis, avant de probables autorisations en Europe, voire en Asie-Pacifique. Crossject mise en revanche sur une autorisation pour le contrat Barda d'ici un an, au premier trimestre 2025. Patrick Alexandre s’en réjouit : après plus de 20 ans de développement, les équipes sont «dans les starting-blocks»."
28 mars 2024•18:36
Le projet semble toujours vivant! 😁 mais les nouveaux décalages importants ð«£ (par rapport aux déclarations de PA fin 2023 ou début 2024) sont très décevants, auront des impacts financiers et méritent à tout le moins des éclaircissements sérieux!
28 mars 2024•18:40
Socrate82 : c est très très vilain de raconter n importe quoi dans son intérêt.
J ai fait un copier coller de la fin de l article, absolument aucun mensonge. En revanche, vous, c est limite limite votre intervention.
28 mars 2024•18:44
Mon article, il est sorti aujourd hui à 16, et il est signé Julien Cottineau.
Celui auquel vous faites référence doit dater de septembre dernier.
28 mars 2024•18:44
« À 16h »
28 mars 2024•18:48
C'est quoi cette blague ? Je suis pas abonné, il nous balance vraiment une date "avant fin 2024" voir "premier trimestre 2025" la ? Via un article de presse ? Sans plus de précisions ?
On va pas attendre les résultats avec ce type d'annonce... Mardi va être sanglant.. Deg
28 mars 2024•18:48
Bab.Onezemoon Tu es abonné ? Alors pas la peine de mettre un like alors que j ai copié la fin de l article, texto.
28 mars 2024•18:51
Ça semble trop gros pour être vrai...
De toute façon comme j'ai pu le dire il y'a quelques heures, il n'y a plus qu' à fermer les yeux et prier...
Le préalable étant d'être prêt à perdre 100% de sa mise...Car on peut clairement s'en approcher d'ici 1 an
28 mars 2024•18:51
Crossject dans les starting-blocks pour le lancement de ses injecteurs sans aiguille de médicaments d’urgence
Après plus de 20 ans de développement, Crossject table sur de premières livraisons commerciales, pour la défense américaine, d'ici un an. Au coeur de la Bourgogne, cette entreprise française a démarré l’industrialisation de son dispositif médical Zeneo, un système unique au monde pré-rempli pour l’injection intramusculaire sans aiguille de médicaments d’urgence.
Sur la façade de l’usine apparaît encore l’ancienne marque d’un magasin d’électroménager. Au cœur de la petite zone industrielle de Gray, en Haute-Saône, difficile d’imaginer que se dissimule derrière ces murs, depuis l’été dernier, une ligne de production qui fait rêver l’Amérique. C’est ici que Crossject gère une partie de l’assemblage de ses auto-injecteurs sans aiguille destinés à des solutions thérapeutiques d’urgence, comme la crise épileptique violente. Ce produit en attente d’homologation a déjà séduit la défense américaine, laquelle a attribué en 2022 au groupe français un contrat de 155 millions de dollars (environ 143 millions d’euros) pour une utilisation face à une attaque terroriste ou un accident industriel.
A Gray, le bâtiment principal est dédié aux activités pyrotechniques et aux actionneurs. Ici, des opératrices calibrent sur un automate des charges de poudres lentes (combustion en 2 à 3 millisecondes) et de poudres rapides (une milliseconde) avant de les positionner sur les corps moteurs, tandis qu’à leurs côtés d’autres opératrices assemblent à la main la douzaine de composants formant le générateur de gaz et l’actionneur de l’auto-injecteur, à une cadence d’environ 140 unités par heure.
28 mars 2024•18:51
Seuls un poste pour la répartition des poudres propulsives et une paire de machines, pour l’assemblage, sont déployés sur les 1100 m² d’espace productif. A l’avenir, deux autres paires de machines pourront être installées. «Actuellement, nous disposons de capacités de 600000 à 700000 unités par an, mais nous passerons à 1 million par an avec la deuxième paire, avec la possibilité d’atteindre un maximum de 6 à 7 millions d’unités annuelles dans cette usine», indique Guillaume Foussard, responsable de l’atelier pyrotechnique.
Des médicaments d’urgence injectés sans aiguille en un dixième de seconde
C’est à Dijon (Côte-d’Or), à une petite heure de route, qu’est implanté le siège de Crossject, fondé en 2001 et qui recense désormais 110 collaborateurs. Depuis une vingtaine d’années, en s’appuyant sur la miniaturisation de technologies de pointe du spatial et de l’automobile, après 500 brevets déposés et 180 millions d’euros d’investissements, l’entreprise nourrit l’ambition de devenir le leader mondial de l’auto-injection en situation d’urgence.
Crossject a mis au point le système Zeneo, un petit auto-injecteur d’apparence simple et facile à manier. «Nous pouvons le mettre dans les mains de n’importe qui ; nos études ont prouvé que tout le monde, même sans regarder la notice ou même un enfant, comprend comment s’en servir en moins d’une minute», assure Patrick Alexandre, fondateur et président du directoire de Crossject.
28 mars 2024•18:52
Au-delà de l’ergonomie, le concept vise à disposer d’un injecteur de produits d’urgence qui se passe d’aiguille, remplacée par un flux d’air à très haute pression, avec des avantages inédits. L’injection, dans la cuisse, peut traverser les vêtements. Elle s’effectue en un dixième de seconde au lieu de trois à dix secondes avec une aiguille. Et, surtout, la pression délivrée par l’auto-injecteur permet d’aller au-delà de la couche sous-cutanée et d’atteindre l’intramusculaire, là où un médicament d’urgence calmera plus rapidement une grave crise épileptique. «Sur quelqu’un qui convulse, c’est très complexe d’injecter une aiguille de trois centimètres pendant dix secondes. En un dixième de seconde et sans aiguille, on évite les erreurs de manipulation et les blessures», ajoute Patrick Alexandre.
28 mars 2024•18:53
L’armée américaine, premier client de Crossject
L’entreprise développe plusieurs solutions thérapeutiques d’urgence avec son dispositif Zeneo, comme avec la naxolone dans l’overdose d’opioïdes, la terbutaline dans la crise d’asthme sévère, ou l’adrénaline dans le choc anaphylactique ou allergique. D’autres cibles sont en développement dans des pathologies plus chroniques comme la migraine sévère ou la polyarthrite rhumatoïde.
Mais le produit le plus avancé de Crossject se base sur l’utilisation du midazolam, une ancienne molécule toujours efficace contre les graves crises d’épilepsie et utilisable également contre les convulsions liées à l’exposition à des agents neurotoxiques ou à des pesticides organophosphorés. Ce qui peut survenir dans le cadre d’un accident industriel ou d'un attentat. C’est ce qui a séduit la Barda, l’autorité américaine biomédicale de recherche et de développement.
Nous avions approché la FDA [autorité sanitaire américaine, ndlr] sur le traitement de la crise sévère d’épilepsie, et peu après c’est l’armée américaine, qui a une veille technologique, qui nous a contacté», relate Olivier Giré, directeur Specialty pharma de Crossject. Le contrat de 155 millions de dollars porte sur une commande de 766000 unités de Zeneo pré-remplies de midazolam. La moitié du contrat fait l’objet d’une commande ferme (60 millions de dollars, soit environ 55 millions d’euros), le reste étant une option (60 millions), tandis que 35 millions de dollars (environ 32 millions d’euros) sont alloués dans le cadre d’aides au financement du développement et des étapes réglementaires.
28 mars 2024•18:53
Caméras de sécurité pour la trempe, la résistance et le contrôle visuel des tubes
Les rares signes visibles du contrat se détectent à l’entrée d’un second petit site industriel à Gray, à quelques centaines de mètres de l’atelier pyrotechnique : des barreaux aux fenêtres et des caméras de sécurité. Exigées par les autorités américaines, ces caméras surveillent désormais en permanence les locaux de l’atelier de trempe des tubes de verre et de vérification qualité.
Sur 500 m², on y trouve une machine «unique au monde, la seule pour la trempe de tubes cylindriques de trois millimètres d’épaisseur», selon Didier Morin, le directeur industriel. Fabriqués en Allemagne, les tubes passent d’abord par un convoyeur dans un four à 720°C, pendant cinq minutes, avant d’être refroidis par air pulsé puis de rejoindre une salle adjacente où ils sont testés, un par un, dans une seconde machine pour garantir leur résistance à une pression de 400 bars, soit le double de la sollicitation dans Zeneo. Dans une troisième salle, chaque tube est ensuite contrôlé par visuel binoculaire pour éliminer toute unité présentant un impact, une fissure ou un défaut. 10% des tubes sont éliminés en sortie de cet atelier.
28 mars 2024•18:54
Les premières commercialisations de Crossject en vue avant la fin 2024
Pour le moment, Crossject dispose d’un schéma industriel rôdé, mais un peu dispersé, et pourrait dans le futur rassembler ses opérations de production sur un seul site. Car en plus des deux ateliers de Gray, l’entreprise mène aussi des opérations de dépyrogénation et de stérilisation des tubes au rez-de-chaussée de son site de Dijon, où se trouvent le siège et les labos de R&D.
Pour l’assemblage final des auto-injecteurs, avec le remplissage en médicament des tubes en verre et le couplage avec les générateurs de gaz, Crossject s’appuie sur des sous-traitants pharmaceutiques spécialisés dans le remplissage de liquides stériles. Le groupe Cenexi est actuellement chargé de cette dernière partie de la production sur un site en Belgique, et un second sous-traitant est prévu sur un site implanté en France.
En raison des dates de péremption des produits pharmaceutiques, Crossject s’affaire surtout à constituer des stocks de générateurs de gaz et de tubes en verre avant de lancer la production finale en sous-traitance. La commercialisation du Zeneo avec le midazolam est envisagée sous deux ans aux Etats-Unis, avant de probables autorisations en Europe, voire en Asie-Pacifique. Crossject mise en revanche sur une autorisation pour le contrat Barda d'ici un an, au premier trimestre 2025. Patrick Alexandre s’en réjouit : après plus de 20 ans de développement, les équipes sont «dans les starting-blocks».
28 mars 2024•18:55
De rien.
Et je n incite personne, je ne suis pas actionnaire, et je n ai pas l intention de le devenir.
Merci d en prendre note.
28 mars 2024•18:57
Je lis l'article publié à 16h. Je suis abonné via europresse. Donc soit un problème éditorial soit l'un de nous deux ment....
28 mars 2024•18:58
Non personne ne ment. L’article a simplement été modifié. Il parlait de 2024 au début et c’est devenu « 1 an » tout simplement
28 mars 2024•18:59
Ouai enfin dans les 2 cas c'est pas réjouissant...
28 mars 2024•19:00
Il y'a visiblement une erreur car ça parle de."avant fin 24 " puis "1er trimestre 25"
Pas pareil car dans la 1 ère hypothèse tu peux avoir ton EUA avant fin juin...
Bref
28 mars 2024•19:01
Exactement Kurt21.
Ce flou éditorial (?) change tout en vérité...
28 mars 2024•19:05
Kurt j'ai beau être de nature optimiste, quand crossject annonce une date ça tombe rarement avant cette date... ^^'
28 mars 2024•19:12
J ai fait un copier coller entre 18h51 et 18h54.
Je ne suis absolument pas au courant si les termes ne sont pas les mêmes sur un autre média, désolé.
28 mars 2024•19:13
Et mon intention n est pas du tout de nuire, merci de le noter
28 mars 2024•19:17
On est d'accord mais ils viennent de lever des OC en conditionnant une 2 e tranche à l'EUA fin juin...Et un mois plus tard PA viendrait annoncer un tel retard comme ça dans la presse alors que sans EUA CJ est à sec d'ici fin juin...
Quand même du mal à croire que Gemmes laisserait s'effondrer ainsi sa participation...Car ne soyons pas naïf si ça se confirme c'est retour sur 1 euros et encore
28 mars 2024•19:23
Selon moi l'article est incohérent !
D'un côté "commercialisation fin 2024" et à la fin "autorisation premier trimestre 2025".
Cela n'a aucun sens ? La personne qui a rédigé ça n'a pas réfléchis ? (Je ne veux pas être trop méchant)
J'ai ouvert le post vers 18h et c'était bien écrit au début fin 2024 et c'est passer à "d'ici 1an".
28 mars 2024•19:24
J'ai une micro-ligne débutée ce mois et je n'interviens pas d'habitude ici, ni bonne ni mauvaise intention de mon côté.
C'est le même media, avec potentiellement une modification entre temps. De mon côté j'ai la version "avant fin 2024", c'est la version que je lis via mon accès europresse. Tu as la version "T1 2025", certainement avec un abonnement natif. Donc le journaliste a changé entre l'une et l'autre version, mais on ne peut pas savoir pourquoi.
Le problème c'est que dans ta version l'article porte une mauvaise nouvelle puisque la dilution est actée, tandis que dans ma version l'article est neutre, on apprend rien de nouveau.
Donc avec ces trois mots, soit on va visiter le gap en-dessous fissa, soit on se maintient dans l'attente avec un potentiel de forte volatilité à la hausse comme à la baisse.
C'est quand même énorme...
28 mars 2024•19:27
Je comprends tout à fait, je n’étais pas au courant de l autre version et il est très clair que ce n est pas du tout pareil
28 mars 2024•19:28
J'ai de plus en plus le sentiment qu'il y'a friture sur la ligne entre Gemmes et la direction....
28 mars 2024•19:52
Tout à la fin de l'article, le titre parle de "premières commercialisations avant fin 2024"
Alors que dans le développement du texte nous avons :
"La commercialisation du Zeneo avec le midazolam est envisagée sous deux ans aux Etats-Unis"
Donc 2 ans
"avant de probables autorisations en Europe, voire en Asie-Pacifique"
Pas de date
"Crossject mise en revanche sur une autorisation pour le contrat Barda d'ici un an, au premier trimestre 2025"
Donc début 2025
Chacun y voit ce qui l'arrange, je m'étonne quand même que les détracteurs aient retenu 2025 alors qu'ils pouvaient très bien mettre en avant les "deux ans" !!
Affaire à suivre ...
28 mars 2024•20:13
Ben finalement j reviens....j avais me semble t il prefit qu ils n auront pas l autorisation fin juin.
Il faut 6 mois de stab , à t elle commencé. Je ne le pense pas.donc..pas de EUA en juin. Donc il faut chercher de l argent