((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto)) (Ajoute des détails sur les propositions, le contexte de l'affaire, les paragraphes 1 à 9) par Jody Godoy
Un procès sur les propositions du ministère américain de la Justice visant à réduire la domination de Google dans la recherche en ligne ne sera pas retardé pour donner aux fonctionnaires de l'administration Trump plus de temps pour réviser la demande, a déclaré mardi le juge qui supervise l'affaire.
Le DOJ a proposé d'obliger Google (Alphabet's GOOGL.O ) à vendre son navigateur Chrome , et potentiellement le système d'exploitation mobile Android, afin de supprimer les points de distribution de la recherche Google. Le président élu Donald Trump a exprimé son scepticisme au sujet d'une scission de Google en octobre.
Le juge de district Amit Mehta, à Washington, a déclaré qu'il ne déplacerait pas le procès, prévu pour avril, au cas où les fonctionnaires du ministère de la justice nommés par M. Trump auraient l'intention de réviser les propositions.
"S'il doit y avoir une réévaluation des mesures correctives demandées, cela doit être fait rapidement", a déclaré le juge lors d'une audience. Le ministère de la justice a poursuivi Google en 2020, pendant le premier mandat de M. Trump. M. Mehta a statué en août que Google détenait un monopole illégal dans le domaine de la recherche en ligne et de la publicité connexe. Le ministère de la justice, sous la direction du président américain Joe Biden , a proposé non seulement d'obliger Google à vendre le navigateur Web le plus utilisé au monde, mais aussi de partager les données et les résultats de recherche avec ses rivaux.
Cette proposition de grande envergure vise également à interdire à Google d'acheter ou d'investir dans des concurrents spécialisés dans la recherche, dans des produits d'intelligence artificielle basés sur des requêtes ou dans des technologies publicitaires.
Google a qualifié ces propositions de "stupéfiantes" et a déclaré qu'elles nuiraient à la compétitivité américaine.
La manière dont l'intelligence artificielle affecte le paysage de la recherche en ligne devrait être un thème clé du procès. Les procureurs ont déclaré qu'ils prévoyaient de faire comparaître des témoins du créateur de ChatGPT, OpenAI, de la startup d'intelligence artificielle Perplexity, de Microsoft
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