((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto)) par Lananh Nguyen et Nupur Anand
Un cadre de JPMorgan Chase
JPM.N a déclaré à des milliers d'employés qu'il voulait "plus d'agitation" quelques jours après que le directeur général de la banque, Jamie Dimon, ait méprisé la réaction du personnel contre sa politique de retour au bureau en cinq jours.
Le mémo illustre la tension entre l'accent mis par JPMorgan sur la culture du bureau et les employés qui citent ses bonnes performances alors que des politiques de travail flexibles étaient en place.
"Nous avons besoin de plus de dynamisme et de combativité", a écrit Rohan Amin, chef de produit de l'activité consommateurs de Chase, dans un mémo adressé à plus de 25 000 employés la semaine dernière. Il a cité un appel à commentaires sur l'intelligence artificielle qui a suscité moins de cinq réponses, et a donné un autre exemple dans lequel la bureaucratie interne a empêché d'obtenir de meilleurs résultats.
Certains employés se sont montrés réticents face aux critiques de M. Amin, selon deux sources qui ont refusé d'être identifiées pour discuter de questions de personnel. En revanche, une autre source a déclaré que M. Amin avait reçu un afflux de commentaires productifs en réponse au dernier mémo.
"Il y a beaucoup de choses qui se passent - des ajustements pour le retour au bureau, des questions ouvertes, des défis immobiliers", a écrit M. Amin. "Je sais aussi que l'incertitude peut être frustrante... Cela dit, je me dois de demander: où est l'agitation?"
Par ailleurs, M. Dimon a déclaré lundi à CNBC qu'il respectait les employés qui ne voulaient pas venir au bureau cinq jours par semaine, mais qu'il ne changerait pas de politique parce que c'est ce qu'il y a de mieux pour les clients et pour l'entreprise.
"Je ne suis pas opposé au travail à domicile, je suis opposé à ce qui ne fonctionne pas", a-t-il déclaré, ajoutant que 10 % des emplois de la banque sont effectués à distance.
Certains employés ont demandé conseil aux Communications Workers of America sur la manière dont ils pourraient créer un syndicat , ce qui est rare dans le secteur financier américain. La pétition a reçu 1 200 signatures, a déclaré M. Dimon à CNBC.
Interrogé sur la politique de travail en personne lors d'une réunion du personnel au début du mois, Reuters a rapporté en exclusivité la réponse de M. Dimon: "Ne perdez pas de temps sur ce sujet": "Ne perdez pas de temps avec ça. Je me fiche du nombre de personnes qui signent cette putain de pétition", avait-il alors déclaré.
Lundi, M. Dimon a déclaré à CNBC qu'il ne devrait pas jurer lors des réunions publiques.
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