((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto)) par Lananh Nguyen, Nupur Anand et Saeed Azhar
Le directeur général de Goldman Sachs GS.N , David Solomon, a déclaré mardi que les transactions sur les actions et les fusions et acquisitions pourraient potentiellement dépasser les moyennes des dix dernières années l'année prochaine.
"Je pense qu'en 2025, nous serons certainement au niveau des moyennes décennales. Nous pourrions même être en avance sur la moyenne décennale", a déclaré M. Solomon lors d'une interview à la conférence Reuters NEXT à New York.
Dans les semaines qui ont suivi la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine , les banquiers se sont montrés plus optimistes à l'égard des transactions. Certains ont prédit que des régulateurs amicaux seraient installés à la tête d'agences gouvernementales clés, balayant les réglementations considérées par certains comme onéreuses, mais beaucoup ont déclaré qu'il était trop tôt pour dire quelles politiques économiques seraient mises en œuvre par l'administration entrante.
"Je suis assez optimiste quant à la capacité de cette administration à mettre en œuvre un programme très, très favorable à la croissance", a déclaré M. Solomon.
"Les 100 premiers jours nous donneront évidemment des indications sur l'équilibre entre les politiques commerciales, les politiques d'immigration, les politiques énergétiques et les politiques fiscales, et sur la manière dont ces éléments seront combinés
Goldman Sachs a bénéficié d'un rebond de la banque d'investissement au cours de l'année écoulée, consolidant sa première place dans les classements mondiaux des sociétés qui conseillent les fusions et acquisitions.
Dans l'une des plus grosses transactions de l'année, Goldman a conseillé le fabricant de Cheez-It, Kellanova K.N , qui a accepté d'être racheté par le géant de la confiserie Mars en août pour près de 36 milliards de dollars.
Les rachats d'entreprises par des sociétés de capital-investissement ont été lents, mais les banquiers s'attendent à ce que l'activité reprenne l'année prochaine.
Entre-temps, Goldman continue de réduire les activités de consommation qui étaient autrefois défendues par Solomon. Ses activités de détail ont perdu des milliards de dollars, ce qui a incité la banque à vendre des actifs et à procéder à des dépréciations.
Depuis, Goldman s'est recentrée sur ses activités traditionnelles de banque d'investissement et de négoce.
Pour suivre la retransmission en direct de la scène mondiale, rendez-vous sur la page d'information de Reuters NEXT: https://www.reuters.com/world/reuters-next/
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