
Le siège d'Oncodesign à Dijon. (© Google)
Les actionnaires qui ont souscrit il y a deux ans à l’introduction en bourse d’Oncodesign n’ont pas eu à le regretter. Le titre a gagné 170% depuis. Il est vrai le modèle économique de cette biotech dijonnaise a vite convaincu.
D’un coté, Oncodesign fait de l’évaluation préclinique de molécules pour les comptes de grands groupes pharmaceutiques. Un métier qui lui assure des revenus récurrents. De l’autre, elle met au point ses propres candidats-médicaments en cancérologie.
Changement de dimensionLes revenus tirés des prestations de services compensent les investissements en recherche et développement (R&D). La récurrence de ces revenus compense les risques pris en R&D. En 2016, Oncodesign garde son modèle mais change de dimension.
En janvier, la biotech a signé un accord de recherche avec BristolMyerssquibb, un groupe américain, leader mondial de l’immuno-oncologie. Un partenariat bien plus large que les précédents.
En mai, c’est avec Ipsen qu’Oncodesign a signé, un autre accord de long terme, mais cette fois dans les prestations de services. Une garantie d’activité pour de longues années. Le chiffre d’affaires et les ambitions vont rester en croissance encore longtemps.
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