![L'État pourrait alléger sa participation dans Orange. (© Le Revenu)](https://s.brsimg.com/static-000/cache/i/content/images/8/c/0/8c0ae313959fca829a57e1160e7bb158-760x415.jpg)
L'État pourrait alléger sa participation dans Orange. (© Le Revenu)
En tout début d’année, c’est François Fillon, candidat des Républicains à l’élection présidentielle, qui avait rouvert le dossier des privatisations.
Aujourd’hui, un autre membre du même parti, Bruno Le Maire, devenu depuis ministre de l’Économie du gouvernement d’Édouard Philippe, reprend le flambeau. Les cessions de «participations de l’État» commenceraient «à partir de septembre», a-t-il précisé, afin de financer un fonds de 10 milliards consacré à l’innovation.
Bruno Le Maire a souligné que ces opérations ne porteraient pas sur des participations «stratégiques». Ces déclarations font écho aux promesses d’Emmanuel Macron lors de la campagne électorale.
Le président de la République avait évoqué ce même fonds pour l’innovation, mais en indiquant seulement qu’il serait alimenté par les dividendes des participations de l’État, voire par des privatisations.
Nombreux obstaclesLes principales participations publiques dans des sociétés cotées sont logées dans le portefeuille de l’Agence des participations de l’État (APE). Autre instrument d’investissement de l’État, Bpifrance détient aussi des participations dans des sociétés cotées, mais pour des montants moindres, à l’exception des 26,4% au capital d’ Eutelsat (1,3 milliard d’euros) : Gemalto (8,5%), Ingenico (5,4%),
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