((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajout de contexte et de détails dans l'ensemble de l'article)
L'équipe de transition du président élu Donald Trump a invité cinq grandes entreprises technologiques, dont Google GOOGL.O , Microsoft MSFT.O et Meta Platforms META.O , à une réunion à la mi-décembre sur la vente de médicaments en ligne, a rapporté The Information dimanche.
Un représentant de Jim Carroll, le tsar des drogues pendant le premier mandat de Trump, et l'équipe de transition de Trump ont envoyé un courriel à des employés des trois géants de la technologie jeudi, ainsi qu'à ceux de Snap SNAP.N et TikTok, pour les inviter à une réunion, a ajouté le rapport, citant une personne ayant une connaissance directe de la correspondance.
Les responsables de la transition souhaitent entendre les entreprises sur leurs priorités et les obstacles éventuels à la résolution des problèmes liés à la vente de médicaments en ligne, a déclaré cette personne à The Information.
Google, Microsoft, Meta, Snap, TikTok et l'équipe de transition de Trump n'ont pas répondu immédiatement à une demande de commentaire de Reuters.
M. Trump a promis d' inciter le Mexique à faire davantage pour stopper le flux de fentanyl vers les États-Unis, qui a tué des centaines de milliers d'Américains, et a menacé d'imposer des droits de douane élevés sur les produits en provenance du Mexique et du Canada si ces pays ne réduisaient pas le trafic de fentanyl et l'immigration clandestine.
En novembre, M. Trump a également déclaré, dans un message publié sur Truth Social, qu'il "travaillera sur une campagne publicitaire à grande échelle aux États-Unis, expliquant à quel point le fentanyl est mauvais pour les gens qui en consomment"
En mars, le Wall Street Journal a rapporté que les procureurs américains enquêtaient sur le rôle de Meta et sur la question de savoir si elle avait profité de la vente et de la distribution de drogues sur Facebook et Instagram.
En janvier, eBay a accepté de payer 59 millions de dollars et d'améliorer ses mesures de conformité pour répondre aux allégations du ministère américain de la justice selon lesquelles elle n'avait pas fait assez pour empêcher les criminels d'acheter des dispositifs pour fabriquer des médicaments contrefaits, y compris des pilules contenant du fentanyl.
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