
Le Revenu a identifié dix erreurs courantes lors de l'achat ou de la vente d'actions. (© Shutterstocks)
Gérer directement son portefeuille d'actions est à la portée de tous. À condition de savoir faire preuve de sang-froid, de méthode et de réflexion. Suivez nos conseils sur dix situations classiques pour éviter les déconvenues.
Avec la crise sanitaire, qui a provoqué un séisme sur les marchés internationaux, notamment dans la première quinzaine de mars, plus de 150.000 investisseurs ont fait leurs premiers pas en Bourse en achetant des valeurs composant l’indice SBF 120, comme l’a relevé l’Autorité des marchés financiers (AMF).
«Ces nouveaux clients ont entre 10 et 15 ans de moins que les investisseurs habituels sur les actions françaises et ils ont investi des montants plus réduits», ajoute l’AMF, «ce qui est cohérent avec les volumes habituellement traités en fonction de l’âge des investisseurs.»
Investir dans la duréeCes acteurs peuvent en tout cas se féliciter d’avoir tenu compte de l’adage : «Il faut acheter au son du canon.» Par rapport au point bas atteint le 18 mars dernier (2.858 points), l’indice SBF 120 a en effet regagné près de 40%
Mais attention, l’investissement en Bourse ne se conçoit que dans la durée. Pas question de se lancer si l’on ne dispose que d’un horizon de court terme. Pour que les actions puissent pleinement s’exprimer, il faut donner du temps au temps. Et surtout investir dans le cadre attrayant du Plan d’épargne en actions (PEA).
L’oasis fiscale du PEASur ce compte-titres, un particulier peut déposer des espèces jusqu’à 150.000 euros (voire 225.000 euros en cumulant un PEA classique et un PEA-PME) et acquérir des actions françaises ou
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