Barclays s'apprête à supprimer "quelques centaines" de banques d'investissement peu performantes

information fournie par Reuters •01/05/2024 à 14:52

((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))

Barclays BARC.L a lancé une nouvelle vague de licenciements, supprimant "quelques centaines de postes" au sein de sa banque d'investissement, alors qu'elle intensifie ses efforts pour s'attaquer aux moins performants et réinvestir dans de nouveaux talents, ont dit à Reuters des sources ayant une connaissance directe du dossier.

Le banque britannique, qui est déjà engagé dans un programme de réduction des coûts à l'échelle du groupe visant à réduire les coûts d'environ 2 milliards de livres (2,50 milliards de dollars), a commencé à informer les employés des réductions prévues mercredi, a déclaré l'une des sources.

Le personnel concerné est basé dans la division des marchés mondiaux, de la banque d'investissement et de la recherche de la banque, a ajouté la source.

"Comme indiqué précédemment, nous réexaminons régulièrement notre vivier de talents afin de nous assurer que nous pouvons investir dans les talents et répondre aux besoins des clients", a déclaré un porte-parole de la banque dans un communiqué.

"Il s'agit d'une démarche difficile, mais nécessaire, pour nous assurer que nous nous positionnons pour un succès à long terme dans le cadre de l'exécution de notre stratégie

Bloomberg avait précédemment rapporté que Barclays avait commencé à procéder à ces réductions.

La banque a supprimé environ 5 000 emplois en 2023 après que les activités de transactions se soient effondrées dans l'ensemble du secteur.

En novembre, Reuters a rapporté exclusivement que le banque travaillait sur des plans visant à économiser jusqu'à 1 milliard de livres en supprimant 2 000 emplois supplémentaires, principalement dans le back-office de la banque britannique.

La semaine dernière, Barclays a annoncé une baisse légèrement moins importante que prévu de 12 % de son bénéfice au premier trimestre (), ce qui a conforté les investisseurs dans l'idée que son redressement était en bonne voie, malgré la baisse des revenus tirés du négoce et l'atonie de la demande de prêts hypothécaires.

(1 $ = 0,8008 livre)