((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajout de détails sur le segment des services pétroliers)
La société américaine de technologie pétrolière Baker Hughes BKR.O a dépassé les estimations de Wall Street pour son bénéfice du quatrième trimestre jeudi, la forte demande d'équipements et de services pour le gaz naturel ayant permis de compenser la faiblesse des ventes de son matériel de forage en Amérique du Nord.
Les sociétés de services pétroliers sont confrontées à une baisse de la demande alors que les technologies d'extraction deviennent plus efficaces et que l'augmentation de l'offre dissuade les sociétés énergétiques de forer davantage.
Baker Hughes a déclaré que les revenus de son segment de services pétroliers ont chuté de 5 % en Amérique du Nord, tandis qu'ils ont baissé de 1 % dans son unité de marchés internationaux.
Ses grands rivaux SLB SLB.N et Halliburton HAL.N ont signalé au début du mois une stagnation de leur chiffre d'affaires en 2025, les clients ayant limité leurs activités et leurs dépenses en raison d'une surabondance.
Cependant, les commandes dans le secteur des équipements de technologie du gaz de Baker Hughes ont fait un bond de 44 %, ce qui a porté le chiffre d'affaires de son segment de technologie industrielle et énergétique (IET) à 3,5 milliards de dollars.
IET a enregistré 3,8 milliards de dollars de commandes au cours du trimestre, soutenues par de fortes commandes de GNL et une autre attribution d'infrastructure gazière, a déclaré le directeur général Lorenzo Simonelli.
La société basée à Houston fournit des compresseurs, des turbines, des vannes et d'autres systèmes modulaires aux clients pour le traitement du gaz.
Le président Donald Trump a déclaré au début du mois que les États-Unis garantiraient l'approvisionnement de l'Europe en gaz naturel liquéfié, même si l'on craint que l'industrie d'exportation en plein essor ne fasse grimper les prix du gaz pour les consommateurs américains.
Baker Hughes a affiché un bénéfice ajusté de 70 cents par action pour les trois mois se terminant le 31 décembre, alors que les analystes s'attendaient en moyenne à 63 cents, selon les estimations compilées par LSEG.
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