
Plus de 500 sociétés, grands groupes pharmaceutiques ou start-up d’innovation médicale étaient présentes au congrès annuel de l’American Society of oncology. (© ASCO)
Du 29 mai au 2 juin, à Chicago, s’est tenu le congrès annuel de l’American Society of Oncology, l’ASCO. Chercheurs, médecins, dirigeants du secteur biopharmaceutique, analystes financiers : ils sont des milliers à venir chaque année à ce congrès, découvrir les dernières avancées des thérapies anticancéreuses les plus prometteuses. Plus de 500 sociétés, grands groupes pharmaceutiques ou start-up d’innovation médicale, étaient présentes. Parmi elles, quelques biotechs françaises.
Les big pharmas américaines ont naturellement retenu l’attention. Plus particulièrement celles qui sont présentes dans le champ des «inhibiteurs de points de contrôle immunitaires» (IPCI). Il s’agit d’une nouvelle génération de médicaments, issue de la recherche en immunologie. Ils agissent sur certains récepteurs des cellules du système immunitaire, dont le rôle est de limiter la réponse immunitaire. Leur objectif : lever les «freins» du système immunitaire, et doper la capacité de ces cellules à détruire les tumeurs.
Bloc "A lire aussi"BristolMyersSquibb (BMS) est, avec son compatriote Merck, le pionnier dans cette aire de la recherche. Son médicament Opdivo a démontré des résultats cliniques très impressionnants pour traiter certains cancers du poumon. Il a été approuvé fin 2014 dans une indication très spécifique mais compte déposer
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