Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Apple subit un deuxième abaissement de sa note de crédit en ce début d'année 2024
information fournie par Reuters 04/01/2024 à 17:07

Apple AAPL.O a encore chuté jeudi, perdant environ 176 milliards de dollars depuis le début de l'année, après que Piper Sandler soit devenu la deuxième maison de courtage cette semaine à dégrader l'action en raison des inquiétudes concernant la tiédeur de la demande pour ses produits, y compris l'iPhone.

Les actions de la société ont chuté de 1,7 % pour atteindre leur niveau le plus bas en huit semaines, soit 181,20 dollars, jeudi. Si les pertes se maintiennent, Apple risque de perdre 47,4 milliards de dollars de sa valeur pour la journée.

"Nous sommes préoccupés par les stocks de combinés à l'aube du premier semestre de l'année 24 et nous pensons également que les taux de croissance ont atteint leur maximum pour les ventes unitaires... la détérioration de l'environnement macroéconomique en Chine pourrait également peser sur les activités liées aux combinés", a écrit Harsh Kumar, analyste principal chez Piper Sandler, dans une note adressée aux clients.

La maison de courtage a abaissé la note de l'action Apple de "surpondérer" à "neutre" et a réduit son objectif de prix de 15 dollars à 205 dollars.

Apple est aux prises avec un ralentissement de la demande depuis le début de l'année dernière et a prévu des ventes pour le trimestre des fêtes inférieures aux estimations de Wall Street.

L'entreprise a dû faire face à une faible demande en Chine en raison de la baisse des dépenses de consommation dans le pays, ainsi qu'au renouveau de son rival local Huawei.

Selon M. Kumar, Apple pourrait également être confronté à des vents contraires en raison d'un litige en cours sur les brevets concernant ses nouvelles Apple Watches et d'un dollar américain fort.

Les commentaires de la maison de courtage font écho à ceux de Barclays, qui a rétrogradé l'action Apple à une note équivalente à "vendre" mardi.

Outre les inquiétudes concernant la croissance de l'activité iPhone, Barclays a également mis en garde contre les risques liés à l'activité de services de la société, qui a fait l'objet d'une enquête dans certains pays, notamment aux États-Unis, en raison de certaines pratiques en matière de boutique d'applications.

Les analystes estiment en moyenne que le fabricant de l'iPhone est "à acheter", avec un objectif de prix médian de 200 dollars, selon les données de LSEG.

Valeurs associées

NASDAQ +5.98%

Cette analyse a été élaborée par Reuters et diffusée par BOURSORAMA le 04/01/2024 à 17:07:23.

Agissant exclusivement en qualité de canal de diffusion, BOURSORAMA n'a participé en aucune manière à son élaboration ni exercé aucun pouvoir discrétionnaire quant à sa sélection. Les informations contenues dans cette analyse ont été retranscrites « en l'état », sans déclaration ni garantie d'aucune sorte. Les opinions ou estimations qui y sont exprimées sont celles de ses auteurs et ne sauraient refléter le point de vue de BOURSORAMA. Sous réserves des lois applicables, ni l'information contenue, ni les analyses qui y sont exprimées ne sauraient engager la responsabilité BOURSORAMA. Le contenu de l'analyse mis à disposition par BOURSORAMA est fourni uniquement à titre d'information et n'a pas de valeur contractuelle. Il constitue ainsi une simple aide à la décision dont l'utilisateur conserve l'absolue maîtrise.

BOURSORAMA est un établissement de crédit de droit français agréé par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (« ACPR ») et par l'Autorité des Marchés Financiers (« AMF ») en qualité de Prestataire de services d'investissement et sous la surveillance prudentielle de la Banque Centrale Européenne (« BCE »).

Conformément à la réglementation en vigueur, BOURSORAMA établit et maintient opérationnelle une politique de gestion des conflits d'intérêts et met en place des mesures administratives et organisationnelles afin de prévenir, identifier et gérer les situations de conflits d'intérêts eu égard aux recommandations d'investissement diffusées. Ces règles contiennent notamment des dispositions relatives aux opérations financières personnelles afin de s'assurer que les collaborateurs de BOURSORAMA ne sont pas dans une situation de conflits d'intérêts lorsque Boursorama diffuse des recommandations d'investissement.

Le lecteur est informé que BOURSORAMA n'a aucun conflit d'intérêt pouvant affecter l'objectivité des analyses diffusées. A ce titre, le lecteur est informé qu'il n'existe pas de lien direct entre les analyses diffusées et les rémunérations variables des collaborateurs de BOURSORAMA. De même, il n'existe pas de liens financiers ou capitalistiques entre BOURSORAMA et les émetteurs concernés, en dehors des engagements contractuels pouvant régir la fourniture du service de diffusion.

Il est rappelé que les entités du groupe Société Générale, auquel appartient BOURSORAMA, peuvent procéder à des transactions sur les instruments financiers mentionnés dans cette analyse, détenir des participations dans les sociétés émettrices de ces instruments financiers, agir en tant que teneur de marché, conseiller, courtier, ou banquier de ces instruments, ou être représentées au conseil d'administration de ces sociétés. Ces circonstances ne peuvent en aucune manière affecter l'objectivité des analyses diffusées par BOURSORAMA.

0 commentaire

Signaler le commentaire

Fermer

Mes listes

Cette liste ne contient aucune valeur.