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VALNEVA : Le Brésil : 211 000 000 d'habitants

15 avr. 2025 15:55

Et très touché par le virus qui y est endémique. Environ 600 000 casprévus en 2025. Vaccinet 6 millions de personnes est possible. Prix du vaccin : environ 140 e dans un pays à faible revenu. Près de 320 $ aux US.
Reste à savoir la part pour Valneva, mais l'avenir est peut être au vert ? Mais en bourse, rien n'est certain, bien sûr, surtout en ce moment...

3 réponses

  • 15 avril 2025 16:03

    Points clés. Des épidémies ont été signalées dans la plupart des régions du monde, notamment en Afrique, dans les Amériques, en Asie, en Europe et dans les îles des océans Indien et Pacifique
    Entre Janvier et fin Juillet 2023, environ 300 000 personnes avaient été infectées dans le monde entraînant plus de 300 décès. La grande majorité des cas a été reportée au Brésil et au Paraguay.

    Dans les Amériques, une décennie après son apparition en 2013, le virus du chikungunya (CHIKV) continue de se propager et de provoquer des épidémies dans toute la région. À ce jour, 3,7 millions de cas suspects et confirmés en laboratoire de chikungunya ont été signalés dans 50 pays ou territoires des Amériques.8 janv. 2024


  • 15 avril 2025 16:13

    Tout le monde attendait le Brésil depuis un moment -20% et depuis l'accord du Brésil +15% au final -5% 😉


  • 15 avril 2025 16:15

    En clair, s'il fallait qu'un seul pays accepte le vaccin, c'est le Brésil. En raison de sa population et de l'incidence de la maldie.
    Une forte vague précipiterait les choses (Je ne le souhaite pas ! ) et le gouvernement du Brésil ferait au plus vite.
    Selon l'INSERM :
    Le virus du chikungunya déclenche des flambées épidémiques régulières, principalement en milieu rural. Originaire d’Afrique de l’Est, il s’est d’abord étendu à l’Océan Indien, l’Inde et l’Asie. En 2005–2006 une épidémie majeure a sévi dans l’Océan Indien sur les îles de la Réunion (38,2% de la population infectée), Maurice, Seychelles ou encore Mayotte, touchant plus de 300 000 personnes. En 2007, une autre grosse épidémie a eu lieu en Inde et un cas importé a provoqué une flambée en Italie, dans la région de Ravenne, avec deux cent personnes infectées en raison de la présence du moustique Aedes albopictus.

    Depuis, le virus a encore gagné du terrain et rejoint les caraïbes en 2013, déclenchant une épidémie dans les départements français d’Amérique. Environ 60% de la population de Guadeloupe et Martinique présentait des anticorps contre le virus à l’issue de cette épidémie, dont un certain nombre n’avait pas développé de symptômes. Toutes ces personnes sont désormais protégés d’une future infection. Cette épidémie a par ailleurs entraîné l’apparition de cas dans différents pays d’Amérique latine (Guyana, Salvador, Suriname, Costa Rica, Vénézuéla), des régions jusque-là indemnes de la maladie.

    Cette situation accroit le risque d’importation du virus aux Etats-Unis (via la Floride) et en France où le moustique A. albopictus est implanté dans une quarantaine de départements. Arrivé dans l’hexagone en 2004 par la Méditerranée, le moustique tigre ne cesse d’y gagner du terrain.

    Des cas autochtones en France métropolitaine
    Chaque année, Santé publique France recense les cas de chikungunya importés en métropole, c’est-à-dire survenant chez des personnes qui reviennent infectées d’un séjour à l’étranger. Leur nombre est très variables d’une année sur l’autre : près de 450 cas ont été rapporté en 2014, seulement 6 en 2018 et 56 en 2019.

    Des cas autochtones peuvent également survenir quand un moustique Aedes albopictus, présent en France, pique une personne infectée et transmet la maladie à un individu qui n’a pas quitté le territoire. Les deux premiers cas autochtones de chikungunya ont été décrits en France en septembre 2010, dans la commune de Fréjus. En 2014, au moins onze cas ont été recensés. Il n’y a pas eu d’autre cas depuis. Toutefois, leur nombre pourrait augmenter dans les années à venir, compte tenu de l’expansion géographique du virus dans le monde et de celle du moustique vecteur dans l’hexagone.

    A savoir : le risque de transmission autochtone est limité à la période d’activité du vecteur, entre début mai et fin novembre.
    Attendons l'été...


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