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TOTALENERGIES : Fin d'année morose pour les ventes de voitures électriques en Europe
25 déc. 2024•18:25
Le marché de l'électrique ne se porte pas si bien en ce moment en Europe. Les ventes de voitures électriques sont en baisse dernièrement sur le Vieux Continent.
La conjoncture économique est assez morose au niveau européen. Et ça touche de nombreux domaines d'activités, dont celui des véhicules électriques. Résultat, ces derniers temps, les ventes ne sont plus très bonnes. C'était déjà le cas au niveau français, avec un mois d'octobre décevant. Un signe annonciateur semble-t-il, puisqu'en fait, c'est tout le marché européen qui fait la grise mine en ce moment !
Les ventes de voitures électriques en baisse en Europe au mois de novembre
On achète moins de véhicules électriques sur le continent européen. Car si, durant le mois de novembre, le nombre de voitures vendues a reculé de 1,9% sur le territoire de l'Union européenne, celui des véhicules électriques a par contre chuté de 9,5%, pour s'établir à 144 482 immatriculations.
La part de marché des véhicules électriques dans celle des automobiles commercialisées a ainsi baissé, passant de 16,3% en novembre 2023 à 15% pour le même mois cette année. De mauvais résultats causés par les deux plus grands marchés de l'Union
25 décembre 2024•18:27
Tesla voit rouge
Ce sont en effet les marchés français et allemands qui souffrent le plus. L'Allemagne, qui a mis fin au bonus lors de l'achat d'un véhicule électrique l'an dernier, a vu ses ventes baisser de 21,8% (35 167 immatriculations). En France, la chute est encore plus accusée, étant de 24,4% (23 255 immatriculations sur ce mois de novembre).
Et certains constructeurs souffrent plus que d'autres de cette mauvaise phase. C'est le cas de la marque la plus emblématique du secteur, à savoir évidemment Tesla. La firme d'Elon Musk a vu ses ventes s'effondrer totalement en novembre, avec un recul de 41%, et des ventes qui s'établissent à 18 786 véhicules.
25 décembre 2024•21:00
Bientot, UVDL va pondre une directive europeenne imposant le silence a tout citoyen europeen qui ne serait pas un stakanoviste de la voiture electrique et, comme les industriels du secteur automobile, vous aurez a vous acquitter d' une amende lorsque vous emmettrez des doutes sur le passage a l' electrique " pour sauver la planete ". Ca deviendra un delit d' opinion ...
03 janvier 2025•12:46
« Alors que beaucoup de commentateurs parient sur la baisse du coût des batteries, effective avec la technologie plus simple LFP, le directeur général de Renault table au contraire sur une augmentation de 40 % du coût de production. »
Dixit Dimeo..
(Avec l’arrêt des subventions en Europe et usa, prix stratosphériques en vue…)
03 janvier 2025•12:50
« Des véhicules propres de Stellantis désormais plus chers à l'achat aux Etats-Unis. C'est la conséquence directe d'un durcissement de la politique américaine en matière de crédit d'impôt. Certains modèles de voitures électriques et hybrides rechargeables du constructeur automobile, qui bénéficiaient auparavant d'un crédit d'impôt, ont perdu cet avantage de plusieurs milliers d'euros après avoir été boutés hors de la classification du ministère de l'Energie et de l'Agence de protection. C'est le cas de la Jeep Wrangler 4xe et du Grand Cherokee 4xe, dont le crédit d'impôt s'élevait à 3.750 euros. »
À suivre…
03 janvier 2025•18:19
Pour le patron de Renault, Luca de Meo LE TARIF DES VE RISQUE D ÊTRE 40 % plus élevés dans les années à venir. Quelles perspectives pour les modèles à batteries abordables ?
03 janvier 2025•18:19
De quoi doucher les plus optimistes et ravir les Cassandre. L’avenir de la voiture électrique apparaît moins radieux que prévu. Tel est le point de vue de Luca de Meo, directeur général du groupe Renault. Dans un entretien accordé au journal flamand De Tijd/L'Écho, repris par gocar.be, le grand patron de la marque au losange affiche un regard sombre sur le futur des modèles à batteries.
Si les voitures électriques se vendent mal, c’est à cause de leur prix élevé. Hormis les récentes citadines Renault (R5 E-Tech), Citroën (ë-C3) ou Fiat (Grande Panda), à moins de 25 000 euros, les tarifs des véhicules plus polyvalents ou adaptés aux besoins familiaux restent prohibitifs pour une grande partie des ménages. Notamment ceux des classes moyennes dont le pouvoir d’achat s’est effondré. Pour le Patron de Renault « l’industrie automobile se portera bien, si la classe moyenne se porte bien ». De quoi inciter les constructeurs à proposer des modèles mieux adaptés à la demande avec des prix plus légers. Mais d’après le patron de Renault, la baisse des tarifs serait une chimère.
03 janvier 2025•18:20
Luca de Meo prédit même une hausse significative de 40 % des tarifs des modèles à batteries d’ici à 2030. Une sacrée inflation, que ne permettrait pas de juguler la baisse du prix des batteries attendue, notamment grâce à la technologie LFP (Lithium Fer Phosphate). Déjà considérée comme un produit cher, la voiture électrique serait alors inabordable pour la très grande majorité.
Le dirigeant de Renault pointe du doigt l'Union Européenne, qui, bien qu'elle mise sur l’électrification à 100 % des voitures d’ici 2035, impose des réglementations de plus en plus strictes. Selon Luca de Meo, « ces nouvelles normes nécessiteront des investissements conséquents et entraîneront des coûts supplémentaires pour les constructeurs ». Et de citer « l’introduction de huit à douze nouvelles régulations chaque année jusqu’en 2030 », alourdissant la pression sur des acteurs déjà en difficulté. Cette surcharge réglementaire risque d’augmenter les prix des véhicules électriques, alors que les consommateurs attendent des prix plus bas.
03 janvier 2025•18:22
La Chine a dix ans d’avance
Selon le patron de la marque au losange, le respect de ces normes « entraînera une augmentation de 40 % du coût de production des voitures ». Et de préciser qu’un « quart du budget de la R&D du groupe Renault sera consacré à l'adaptation des véhicules aux nouvelles réglementations ».
Et de stigmatiser l’exécutif européen dont les dirigeants « ont pensé que le monde et son modèle économique étaient figés ». Selon lui, les politiques n’auraient pas vu arriver la Chine et « son envie de devenir un leader plutôt que la petite main dans le grand atelier du monde ». La réalité a depuis dépassé les prédictions. L’Empire du milieu maîtrise toute la chaîne de production des voitures électriques de l’extraction des terres à la construction de véhicules.
À elle seule, la Chine dispose de 70 % des capacités de production mondiale. Résultat, « les fournisseurs chinois de matières premières vendent aux constructeurs locaux à leurs coûts de production, alors que les constructeurs étrangers paient le prix fort », explique Luca de Meo. Et de pointer les 10 ans d’avance de la Chine sur le reste du monde en matière de véhicules électriques. Pour rattraper son retard, le patron de Renault préconise une nouvelle politique avec un État « stratège » à même d’aider au développement du secteur.
Développer davantage d’infrastructures :
Dans son inventaire à la Prévert, le patron de Renault pointe l’insuffisance du développement des infrastructures de recharge. Même s’il y a aujourd’hui un sursaut, il devrait être « six à sept fois plus rapide ». Ce déploiement doit être « soutenu par les gouvernements et les institutions financières, car les bornes de recharge sont des outils rentables dès leur mise en service », insiste-t-il.
Luca de Meo indique que le problème réside dans le fait qu’il n’y a plus d’argent sur les marchés européens pour financer l’automobile. Les réglementations européennes ne sont pas orientées avec l’esprit d’entreprise et de soutien de l’économie, ce qui décourage les investisseurs actuels et potentiels
03 janvier 2025•20:36
Les constructeurs francais et allemands vont etre penalises chaque annee par Bruxelles en fonction du nombre de VT vendus. A votre avis, qui paira, en definitive, ces taxes. C' en comme en Chine ou c' est le condamne qui doit payer la balle du peloton d' execution ...
04 janvier 2025•08:13
Mike Johnson a rappelé tous les points-clés de l'agenda trumpiste. Il veut notamment libérer l'exportation de gaz naturel liquéfié, «éliminer ce New Deal vert - ce financement», «mettre fin à la ridicule obligation de rouler électrique». «Nous allons défaire la totalitaire quatrième branche du pouvoir, connue sous le nom d'Etat administratif», et rendre l'administration «plus économe, plus rapide, plus efficace», a-t-il signalé.
(le nouveau speaker Johnson hier…)
04 janvier 2025•09:43
après les ventes subventionnées
les ventes sous peine d'amendes
gros choix marketing
04 janvier 2025•10:22
C' est exactement le modele d' economie et de commercialisation sovietique : On definit vos desoins dans le plan quinquennal, on etablit le cahier des charges a la place du client, puis on organise la penurie f' offre generale, avec clients selectionnes par le parti et les cor--rompus. L' industriel n' entre pas en jeu, c'est un profiteur a taxer par tous les moyens.
04 janvier 2025•13:23
Merci pour le partage de vos connaissance s en VE que j'ai lu dans cette file; perso ,je suis resté en thermique mobilité et constate qu'un retour en arrière risque bien d'être une fatalité ...à condition toutefois que nos états ne se mettent pas à démonter nos stations d e distribution ou de les taxer au delà du raisonnable...
Que fait TTE en la matière ? Quelqu'un a fait recap type fiche de suivi ?
Excfp
04 janvier 2025•13:50
Bon, je viens de trouver le sujet de la mobilité routière française telle que capté par nos institutionnels...C'est un résumé de 2023 , mais il faudra attendre sans doute mai 25 avant d'avoir la version pour l'année 2024 en entier que je mettrai en ligne dès que disponible pour continuer le suivi général de la
transition.
Les Britanniques ratent aussi les objectifs de leur transition pour 2024...et avec la nouvelle administration USA qui souffle sur les braises pour démonter les installations d'éolliennes , il y aura du sport encore sur ce créneau...
08 janvier 2025•09:20
Bonjour,
Dans un grand quotidien du nord de la France que je ne nommerais pas, il est une page du courrier des lecteurs qui donnent la parole aux personnes. Bien sûr les opinions des uns et des autres ne reflètent que le ressenti de chacun. Dans l'édition du mardi 7 janvier 2025 un lecteur a envoyé un courrier qui a été reproduit par le journal et que je me permets de vous le retranscrire :
"Mon gendre est rentré de vacances avec sa voiture électrique. Départ de Chamonix à 09h30. Pas trop de neige ou de verglas sur la route. Au moment de s’arrêter pour recharger la batterie : 40 voitures devant et 5 heures d’attente ! Sans compter la recharge de sa voiture. Résultat : Arrivée à Bondues à 1h du matin soit 15h30 après le départ pour environ 70 km. Ça fait envie ! "
Je ne suis pas l'auteur de la missive ne faisant que la reproduire ici simplement pour signaler que tant qu'on n'aura réglé le souci du temps de trajet la mobilité électrique, c'est voué à l'échec. D'ailleurs Bruxelles est en train de se poser la question sur les restrictions qu'ils ont imposées aux voitures thermiques et à leurs constructeurs.
Pour l'instant rien n'est gagné, mais au moins si nos bons technocrates et politiciens européens prennent conscience qu'ils sont en train de foncer droit vers la falaise c'est un début. Je ne me fais quand même pas trop d'illusions, ils n’admettront pas facilement qu'ils se sont trompés.
Bonne journée.
08 janvier 2025•09:31
Avez vous essayé de retirer la prise électrique du chargeur quand il y a des températures négatives ?
Elle est comme verrouillée à la voiture .
08 janvier 2025•10:46
HaggarDuNord Dans un an, l' UE interdira tout simplement ce type de temoignage (propos elzctrophobes) et ce sera puni par des amendes sur tout l' espace Schengen. Alors profitons en tant que le delit n' est pas encore constitue ...
08 janvier 2025•11:07
04 janvier 2025•13:50
Bon, je viens de trouver le sujet de la mobilité routière française telle que capté par nos institutionnels...C'est un résumé de 2023 , mais il faudra attendre sans doute mai 25 avant d'avoir la version pour l'année 2024 en entier que je mettrai en ligne dès que disponible pour continuer le suivi général de la
transition.
gus6768 ,je note un lien 404 merci ...je vais revoir çà et mettre en ligne si possible.
08 janvier 2025•11:58
fturcat Peu de gens en ont parlé et peu le savent. Le Gvt Barnier avait envisagé de faire payer le malus lors de la vente d'une voiture d'occasion. Bon heureusement avec la censure on y a échappé, pour l'instant. Mais je sens que cela va revenir sur la table.
S'il n'y avait pas toutes ces aides à l'électrique injustes et injustifiée d'ailleurs, ce marché serait morose depuis longtemps.
08 janvier 2025•19:15
Si on ne veut pas crever, il faudra faire des efforts..... mais pas seulement les particuliers et leurs voitures ! l'électrique s'imposera un jour, c'est sûr. Mais pour cela, il faudra pouvoir embarquer à bord, 120KWh ou plus, pour se passer de recharger tous les 4 coins. Cela suppose aussi, que ces batteries coûteront bien moins cher; ça on ne sait pas le faire, actuellement. Dans tout nouveau produit, il y a un début, puis une évolution. Moi, je fais confiance à la recherche et à l'I.A.
ET, j'ajouterai que l'électrique c'est rentable à condition de recharger à la maison, sur les bornes, c'est quand même , au moins, 35% plus cher, et beaucoup plus sur certains réseaux. Recharger à la maison est primordial pour rentabiliser, car, on paie d'avance (sur le prix du véhicule) une grosse partie de ce que l'on va économiser en roulant.
09 janvier 2025•09:44
M198... Peut-être mais en attendant les citadins pour la plupart ne peuvent pas recharger à domicile. Les utilisateurs de VE rencontrent régulièrement des problèmes pour recharger (temps, indisponibilité des bornes). Les milliards dépensés pour généraliser les véhicules électriques auraient pu être dépensés sur des décarbonations de l'industrie et de la production d'électricité avec un effet immédiat sur les rejets de CO2. Aujourd'hui on continue à rejeter du CO2 pour espérer une diminution significatives des rejets de CO2 du transport à long terme, et on a perturbé durablement toute l'économie européenne.
09 janvier 2025•09:55
Les rejets globaux de C02 chinois ne baissent pas et constituent 1 / 3 du total mondial. Est- ce interdit ou tabou de le rappeler ?
Par ailleurs, les batteries Li chinoises exportees sont vendues a prix d' or, ce qui permet de subventionner les prix des VE vendus en Chine. Qui est le dindon de la farce dans cette affaire ?
