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Retour au sujet RENAULT

RENAULT : Nissan, y aura-t-il un retour chez Renault ?

07 févr. 2025 11:50

Traduction google
Cdlt

Nissan abandonne sa fusion avec Honda après une impasse dans les négociations. Y aura-t-il un retour chez Renault ?

C’est fini. À la recherche d’une plus grande compétitivité sur le marché mondial, notamment face à la concurrence des constructeurs automobiles chinois et de Tesla, Nissan a entamé en décembre 2024 des négociations sur une éventuelle fusion avec Honda. On sait aujourd’hui qu’elles se sont terminées par un fiasco. Peut-être Nissan reprendra-t-il les discussions avec Renault, les discussions préliminaires à ce sujet ont déjà commencé.

Les négociations se sont soldées par un fiasco. Honda, dont la valeur marchande est quatre fois supérieure à celle de Nissan, a exigé une profonde restructuration du constructeur automobile avant de conclure l’accord. En outre, Renault, qui détient une participation de 36% dans Nissan, a exprimé son inquiétude face à la fusion et a exigé une compensation financière.

Même en cas d’impasse, une nouvelle structure de négociation – déjà reportée une fois – devrait être annoncée d’ici la mi-février.

Maintenant que la fusion n’a pas été finalisée, Nissan fait face au défi de renverser la crise avec un plan de relance solide. Beaucoup de gens aimeraient voir quelqu’un comme Carlos Ghosn revenir dans le jeu, qui a remis l’entreprise sur les rails et a conduit à une croissance rapide. Selon des informations officieuses en provenance de Paris, Nissan a déjà établi des contacts de travail avec Renault et souhaite parler de coopération.

15 réponses

  • 07 février 2025 12:25

    Selon les sources, Nissan est désormais ouvert à travailler avec de nouveaux partenaires, y compris des entreprises technologiques.
    Nissan serait également ouvert à une association avec Foxconn, le plus grand fabricant d’électronique au monde, a déclaré l’une de ces personnes.

    L’abandon des discussions soulève toutefois des questions sur la manière dont Nissan, qui est en plein plan de redressement, pourra traverser sa dernière crise sans aide externe.

    Pour rappel, Nissan a déjà annoncé des plans de réduction de 9 000 salariés et de 20 % de sa capacité mondiale. Les actions de Nissan ont augmenté de 7,3 % jeudi, tandis que celles de Honda ont chuté de 4 %, inversant la direction de leurs mouvements respectifs la veille.


  • 07 février 2025 12:26

    Une partie à 3...! Pourquoi pas. LOL
    Cdlt


  • 07 février 2025 14:33

    vu ou ils en sont Nissan est ouvert à tout !!! lol 😂


  • 07 février 2025 16:21

    Le retour sera compliqué ... et je pense que là ils sont arrivé a un point de non retour


  • 07 février 2025 16:32

    Garcimore (au demeurant pas mauvais) va se trouver isolé…. Il sait que le temps presse

    Espérons qu il trouve une bonne alliance…une vraie…pas un cirque bouglione comme on a pu voir..


  • 12 février 2025 17:16

    En grandes difficultés, Nissan 7201.T s'est vu proposer en décembre une bouée de sauvetage par son rival Honda 7267.T : une alliance de 60 milliards de dollars qui créerait le troisième constructeur automobile mondial pour mieux faire face à la concurrence de Tesla et des marques chinoises qui secouent le secteur.

    Mais les négociations sur la fusion ont tourné court: l'intransigeance et le déni de Nissan ainsi que la décision de Honda de revoir les termes des négociations en proposant que Nissan devienne sa filiale ont fait capoter la tentative, selon six sources au fait du dossier.

    L'hypothèse de devenir une filiale de Honda n'a pas été bien accueillie par Nissan, qui a été pendant des années, jusqu'en 2020, le deuxième constructeur automobile japonais derrière Toyota. Il a insisté, malgré sa position plus faible, sur une relation d'égal à égal dans les négociations, ont déclaré trois des sources.

    Honda a aussi fait pression sur Nissan pour qu'il réduise encore ses effectifs et sa capacité de production, mais le constructeur, qui semblait croire en son redressement, n'était pas disposé à envisager des fermetures d'usines politiquement sensibles, ont dit trois personnes.

    Ce que Honda a considéré comme un processus décisionnel lent de la part de Nissan a également contribué au torpillage de l'accord, ajoutent les sources.

    Ce récit est basé sur des entretiens avec plus d'une dizaine de personnes, qui ont toutes parlé sous le couvert de l'anonymat en raison de la sensibilité du sujet.

    "NISSAN SURESTIME SA POSITION"

    Des années de baisse des ventes et de problèmes de gestion ont affaibli Nissan, qui a sous-estimé la demande de véhicules hybrides aux États-Unis, son principal marché.

    Le constructeur automobile est désormais confronté à la menace de droits de douane américains supplémentaires sur ses véhicules fabriqués au Mexique, qui représentent plus d'un quart de ses ventes aux États-Unis.

    En novembre, Nissan a annoncé une restructuration prévoyant la suppression de 9.000 emplois et une réduction de 20% de sa capacité de production mondiale.

    "Je pense qu'il s'agit d'un problème de gestion", estime Julie Boote, analyste chez Pelham Smithers Associates, à propos de l'agitation qui règne chez Nissan. "Ils surestiment complètement leur position et la valeur de leur marque, ainsi que leur capacité à redresser l'entreprise".

    Nissan et Honda ont tous deux refusé de commenter les aspects spécifiques des pourparlers tels qu'ils ont été décrits par les sources de Reuters.

    Le directeur général de Nissan, Makoto Uchida, a rencontré son homologue chez Honda Toshihiro Mibe la semaine dernière pour lui annoncer qu'il souhaitait mettre fin aux discussions après la proposition de Honda de devenir une filiale.

    Les deux constructeurs, qui publieront tous deux jeudi leurs résultats trimestriels, avaient indiqué qu'ils feraient un point ce mois-ci sur leurs discussions.

    Celles-ci se sont rapidement heurtées à un mur concernant le calcul de la part d'actionnariat de l'entreprise combinée, ont dit deux sources à Reuters.

    En privé, le directeur général de Nissan avait exprimé des doutes sur les perspectives de l'opération, dit une des sources.

    Quatre personnes ont déclaré que les dirigeants de Honda s'étaient plaints de la lenteur du processus décisionnel chez Nissan.

    Selon deux sources, les dirigeants de Honda ont également estimé que la stratégie de redressement de Nissan manquait de détails et que la réduction de la capacité de ses usines était insuffisante.

    Selon une source, Nissan ne voulait pas fermer d'usines car cela aurait entraîné une dépréciation de sa valorisation théorique et affecté ses bénéfices.

    VISITE À KYUSHU

    Honda n'a pas semblé disposé à faire marche arrière dans ses plans, ce qui a laissé entendre qu'il ne considérait pas Nissan comme un égal, a déclaré une personne au fait des réflexions de Nissan.

    Fin janvier, l'un des cadres dirigeants de Nissan, Hideyuki Sakamoto, s'est rendu sur l'île de Kyushu, dans le sud-ouest du Japon, pour annoncer le projet d'une usine de batteries pour véhicules électriques.

    Il a déclaré que le constructeur automobile ne réduirait pas la capacité de son usine existante de Kyushu, disant que le site était une "base hautement compétitive sur le plan géopolitique" et importante pour les futurs projets de véhicules électriques.

    Le lendemain de cette visite, Toshihiro Mibe, directeur général de Honda, a dit à Makoto Uchida que Nissan devrait devenir une filiale de Honda, une possibilité qui ne figurait pas dans le protocole d'accord signé fin 2024, selon une source.

    Reuters n'a pas été en mesure de déterminer si la décision de Honda a été motivée par les annonces faites par Nissan à Kyushu, mais le voyage à Kyushu a cristallisé les tensions entre les entreprises en matière de stratégie.

    Le revirement brutal de Honda sur les conditions de négociations reflète son impatience croissante à l'égard de Nissan en ce qui concerne le rythme des négociations, ont déclaré deux sources.

    Au sein de Nissan, la proposition de devenir une filiale a été considérée comme "scandaleuse" et comme un affront à la dignité du groupe, a déclaré une personne.

    Renault RENA.PA , principal actionnaire de Nissan, a déclaré que les dernières informations suggéraient que la transaction aboutirait à une "rachat de Nissan par Honda sans prime de contrôle pour les actionnaires de Nissan".

    Une telle issue n'est "pas acceptable", a déclaré le groupe français, ajoutant qu'il "défendrait vigoureusement" ses intérêts.

    NOUVEAUX PARTENAIRES

    Reuters a rapporté que Nissan était ouvert à l'idée de travailler avec de nouveaux partenaires, notamment avec le géant taïwanais Foxconn 2317.TW , qui fabrique entre autres les iPhones d'Apple et a des ambitions dans le secteur des véhicules électriques afin de diversifier ses activités.

    Foxconn n'a pas répondu à une demande de commentaire.

    Le président de Foxconn, Young Liu, a déclaré mercredi que le groupe taïwanais visait une coopération avec le constructeur japonais et non pas une acquisition.

    Foxconn serait probablement un prétendant plus généreux que Honda parce qu'il a besoin d'une marque dans l'industrie automobile, et Nissan pourrait être intéressant, a déclaré Amir Anvarzadeh, stratège chez Asymmetric Advisors.

    "Peu importe ce que vous pensez de leurs voitures, de leur bilan et ainsi de suite, au moins la marque est encore assez reconnaissable", a-t-il déclaré à propos de Nissan.

    Jusqu'à présent, le gouvernement japonais n'a donné que peu d'indications sur son point de vue concernant la rupture des négociations entre Honda et Nissan, et n'a pas non plus dit s'il était ouvert à une reprise de Nissan par Foxconn.

    Pour le constructeur japonais, la question est maintenant de savoir ce que fera la direction, a déclaré l'analyste Julie Boote.

    "Ils n'ont pas une vision réaliste de ce qui se passe dans l'industrie automobile et de ce qui doit réellement se passer avec Nissan", prévient-elle.


  • 12 février 2025 17:48

    Le passage ci-dessus prouve bien le nationalisme (si on dvais encore en douter) des japonais!

    "Jusqu'à présent, le gouvernement japonais n'a donné que peu d'indications sur son point de vue concernant la rupture des négociations entre Honda et Nissan, et n'a pas non plus dit s'il était ouvert à une reprise de Nissan par Foxconn."

    Ne sont ils pas des entreprises privées?

    Cdlt


  • 12 février 2025 18:36

    la culture asiatique est le contraire de leurs yeux.elle est toujours difficile a cerner.


  • 12 février 2025 21:23

    ne pas oublier que souvent c'est l'Etat qui est actionnaire au Japon de façon detourné, fond pension, banque centrale japonaise...


  • 12 février 2025 21:23

    la BoJ a amplifié ses achats d'actions, via des ETF. Elle détient désormais plus de 355 milliards d'euros d'actions japonaises, ce qui en fait le principal actionnaire du pays, avec plus de 6 % du marché. Pionnière des politiques hétérodoxes, elle est la seule banque centrale à intervenir directement sur les marchés actions.


  • 12 février 2025 21:24

    pour ceux qui rigole du controle des entreprises par la France , le Japon le fait via la BOj et ses fond de pension souvent public


  • 12 février 2025 23:08

    Nissan agit comme une ancienne famille noble qui a perdu ses privileges et sa fortune et se sent toujours supérieure aux autres....

    Tout le monde sait maintenant que Nissan est ingerable.


  • 13 février 2025 11:02

    Le 13/02/2025

    Le français Renault , qui détient 35% du capital de Nissan, a jugé jeudi que les termes proposés par Honda --sans offrir de prime de contrôle-- n'étaient "pas acceptables", et a salué "l'intention de Nissan de se concentrer avant tout sur l'exécution de son plan de redressement".

    "Nous continuerons à soutenir Nissan dans les projets en cours", a assuré à l'AFP une porte-parole de Renault.


  • 13 février 2025 11:44

    Dans un article dans Reuters.com
    (https://www.reuters.com/markets/deals/inside-collapse-nissan-hondas-60-billion- mega-deal-2025-02-12/) ils analysent les raisons de l'échec de la fusion avec Honda: 1). l'orgueil 2). une situation de déni sur leur situation réel, puis 3). un problème de management.
    Ce sont des causes qui ne se règlent pas du jour au lendemain.
    Nissan a des couts fixes trop importants, peut rapidement devenir sans cash. Mon avis est que l'Etat Japonais va prendre le contrôle.


  • 13 février 2025 11:52

    l'offre de Honda n'avait aucun sens et très peu d'intérêt et Nissan est dans le déni permanent depuis trop longtemps

    proposer d'acheter les titres de Nissan au plus bas sans prime de contrôle est une mauvaise farce

    beaucoup d'amateurisme de part et d'autre


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