RENAULT : Fin de la Fonderie de Bretagne

Ollyww

20 décembre 2024 •17:43

Dans un communiqué, la Fonderie de Bretagne indique être

« froidement exécutée par Renault Group à la veille de Noël ».

« Renault Group a pris la décision de ne pas valider les termes du projet d’accord proposé par le repreneur potentiel Private Assets, avec le soutien de l’État ». La direction indique que « cette décision va provoquer à très court terme la fermeture de l’entreprise, la perte de 350 emplois et le démantèlement d’un actif industriel de grande qualité ».

lb1970

20 décembre 2024 •19:44

Le problème ne vient pas de Renault mais du repreneur.
Renault finançait une grande partie du plan de reprise mais le repreneur voulait en plus que Renault s'engage sur des quantités sur lesquelles Renault n'a aucune vision

Ollyww

20 décembre 2024 •20:38

Ollyww

20 décembre 2024 •17:43

Dans un communiqué, la Fonderie de Bretagne indique être

« froidement exécutée par Renault Group à la veille de Noël ».

« Renault Group a pris la décision de ne pas valider les termes du projet d’accord proposé par le repreneur potentiel Private Assets, avec le soutien de l’État ». La direction indique que « cette décision va provoquer à très court terme la fermeture de l’entreprise, la perte de 350 emplois et le démantèlement d’un actif industriel de grande qualité ».

si si

comme vilevoord

lb1970

21 décembre 2024 •07:26

@ ollyw
Renault a proposé de financer 65 % du plan de reprise, a passé des commandes.
La direction a été incapable d'aller chercher de nouveaux clients et voulait que Renault s'engage sur des quantités sans en avoir besoin

Mario421

22 décembre 2024 •23:13

Renault, comme toutes les entreprises grandes ou petites, n’est pas une société caritative.
C’est une entreprise qui doit penser avant tout a ses propres intérêts, et qui n’a pas vocation à jouer aux Saint-Bernards pour sauver les canards boiteux de l’économie française, au risque de se mettre elle-même en difficulté.
Il est aussi absurde d’accuser la voiture électrique et ses soi-disant talibans, si la production de cette usine ne correspond plus au besoin du marché, alors elle doit, soit se reconvertir, soit fermer, la maintenir sous perfusion à fond perdu ne sert qu’à retarder l’échéance, Renault n'a pas à acheter des produits qu’il n’a pas besoin ou qui ne sont pas compétitifs.
Je sais que dire ça n’est pas politiquement correct, mais c’est pourtant la réalité.
Il nous faut regarder le présent comme il est, pas comme on voudrait qu’il soit, et inventer l’avenir. Essayer de sauver l’industrie du passé ne fait que nous enfoncer.