RENAULT : ÉTAT FRANÇAIS, LA VACHE QUI REGARDE PASSER LES TRAINS DE LA MONDIALISATION

Leckemich

20 décembre 2024 •13:52

Quel rapport avec Renault ????!!!

ITurnUp

20 décembre 2024 •14:02

Leckemich J'ai cette sensation, ou beaucoup se démène pour réussir, pour créer de la valeur, de la richesse au sein de la France. Renault en est l'exemple, avec beaucoup de sacrifices.
Et l'Etat dispendieux augmentant toujours les impôts, captant cette richesse, et avec une incompétence et irresponsabilité le plus totale détériore le climat des affaires sans s'en inquiéter, sans responsabilité collective du sujet, de nos vies économiques.
Dorénavant le pib américain par habitant est double que celui français.
Dorénavant on est à 6% de déficit publique, avec le plus d'impôts au monde quelque ce soit l'actif ou le métier, ou la société.

Leckemich

20 décembre 2024 •15:54

Je suis simplement actionnaire, j' achete seulement des actions Renault de l' étranger pour le reste bon courage !

LBASTIE

20 décembre 2024 •17:03

heureusement on a Bayrou

NYORKER

20 décembre 2024 •17:27

Partout où l'état fourre son nez surtout pour Renault , il fait capoter les projets et la capitalisation boursière perd des milliards

NYORKER

20 décembre 2024 •17:29

Notre Mozart de la finance avec son acolyte de comptoir Bruno en sont le meilleur exemple.

Mario421

23 décembre 2024 •20:07

Il me semble qu’il y en a qui confondent l’Etat et le gouvernement, ce n’est pas la même chose même si les deux sont lié.
Et pour moi ce n’est pas les gouvernements Macron qui regardent passer les trains de la mondialisation, mais les Français, donc effectivement l’Etat.
Si Macron (qu’on traite au contraire de mondialiste, comme si c’était une insulte) avait pu appliquer son programme, rien que son programme, comme dirait l’autre, on n’en serait pas là et la France se porterait beaucoup mieux.
D’ailleurs ça n’avait pas si mal commencé, baisse du déficit, baisse du chômage, réindustrialisation, ouverture d’usines, investissements étrangers record. Jusqu’à ce que les Français décident que s’en était assez de ce qu’ils considèrent comme des cadeaux fait au plus riches et aux entreprises, alors qu’en réalité ce n’était que des mesures destinées à redonner de la compétitivité à notre économie.

fbarthe4

24 décembre 2024 •17:49

Bravo Mario ! complètement d'accord avec vous ...

M1283450

25 décembre 2024 •14:49

Mais, cher Mario, il a effectivement pu appliquer son "quoi qu'il en coûte" avec une facture tte de quelques 300 Mds d'euros. Sans parler du délire (pour ne pas être injurieux) sanitaire...

Mario421

25 décembre 2024 •19:39

En temps de catastrophes, de crises comme le COVID qui fut de loin la pire depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, il est nécessaire et même indispensable de faire du déficit. Tous les économistes sont d’accord sur ce sujet. Sans le “quoi qui l’en coute” des milliers d’entreprises et des centaines de milliers d’emplois auraient disparus et au bout du compte la situation économique et le déficit aurait été bien pire.
Tous les économistes sont aussi d’accord, chiffres a l’appui, pour dire que sur le plan économique la France a mieux traversé la crise que ses voisins, notamment l'Allemagne et le Royaume-Uni.

Sur le plan sanitaire ce ne fut pas pire qu’ailleurs, au contraire relativement à la population, il y a eu moins de morts du COVID en France qu’en Allemagne, qu’au Royaume-Unis, qu’en Italie, qu’aux USA. Et beaucoup beaucoup moins qu’en Russie qu’au Brésil, qu’en Inde.

On peut aussi faire du déficit pour investir notamment dans les technologies d’avenir, ça c’est normal et même nécessaire. Ce qui n’est pas normal c’est le déficit structurel. Ce qui n’est pas normal et même délétère, c’est de payer les fonctionnaires, les retraites, de financer le système de santé à crédit.
Et quand un gouvernement propose de faire des économies dans ses domaines, comme de demander 1€ pour une visite chez le médecin, c’est immédiatement une levée de boucliers, des grèves, des manifestations des saccages, le blocage du pays, et les mêmes qui organisent tout ça, qui revendiquent même ouvertement de vouloir mettre l’économie du pays à genoux, sont les premiers à critiquer le gouvernement pour ça mauvaise gestion.