ATOS : Nationalisation?

g.prigen

21 août 2025 •10:35

Je ne pense pas, puisque l'Etat rachète HPC (ex-Bull).
Et je ne le souhaite surtout pas Atos.

Shervin

21 août 2025 •10:45

L'Etat de France ne mérite pas un Tel Fleuron 🤑☺️

YANG007

21 août 2025 •13:09

J'ai l'impression que le prix de l'action d'Atos atteint l'objectif des grands actionnaires, et la prochaine étape sera un split. Attirer davantage de capitaux d'investissement et augmenter la liquidité des actions.

EasyStar40

21 août 2025 •13:14

euh non pas de split en vue ....j'influence personne Moi Lol

Shervin

21 août 2025 •14:32

EasyStar40

21 août 2025 •13:14

euh non pas de split en vue ....j'influence personne Moi Lol

L O L 🤣🤣

mael29

21 août 2025 •19:53

L’état n’a plus un € à dépenser …
Et ils doivent commencer à rassurer les marchés ,car les taux d’emprunts de la france sont devenus les plus élevés d’europe ,plus haut que ceux des grecs !!!

BRAVO22

21 août 2025 •20:00

L’État fédéral ne rachète pas Intel, mais envisage de convertir une partie des aides publiques en actions, devenant ainsi actionnaire minoritaire — sans droit de vote, mais avec un rôle stratégique. L’objectif est clair : renforcer la souveraineté technologique des États-Unis face à la concurrence asiatique, notamment dans les semi-conducteurs.


À l’inverse, ATOS ne bénéficie pas de subventions massives et récurrentes de la part de l’État français. Mis à part quelques contrats ponctuels (comme les supercalculateurs déjà vendus à l’État), il n’y a pas de soutien structurel. Donc, la question d’une prise de participation publique ne se pose pas

Soleil78

21 août 2025 •20:12

M3999016

21 août 2025 •10:01

Tôt ou tard, l'Etat devra se pencher sur le cas Atos, sujet extrêmement sensible pour la cybersécurité, l'IA, la défense... Qu'en pensez-vous?
Patience

Certainement pas. L'Etat n'est pas ACTIONNAIRE de la société Atos.

L'Etat est fauché.

Le nouveau premier Ministre envisage même de céder les titres possédés dans les sociétés privées pour boucler son budget.

" Pour dégager des marges de manœuvre budgétaires, le gouvernement pourrait vendre une partie des « bijoux de famille » de l’État, autrement dit une fraction des participations qu’il détient dans des entreprises ?

François Bayrou a évoqué cette possibilité, lors de la présentation de sa feuille de route budgétaire le 15 juillet. L’État détient des participations dans de grandes entreprises. Dans certaines de ces entreprises, la participation de l’Etat pourrait être diminuée ..."