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Retour au sujet ATOS

ATOS : " il était une fois… la course au calcul surpuissant ! "

20 août 2025 15:02

Depuis toujours, l’Homme compte : d’abord avec ses doigts, puis avec des cailloux, des bâtons, des bouliers…

En 1645, Pascal invente la première machine à calculer et amorce une révolution. De là naîtront calculatrices mécaniques, électromécaniques, puis électroniques, jusqu’au microprocesseur d’Intel en 1971.


Mais pour la science, il fallait aller encore plus loin.

Simuler des phénomènes complexes, inaccessibles à notre échelle, nécessitait une nouvelle génération de « machines à calculer » : les supercalculateurs.

La course au calcul haute performance (HPC) commence alors dès les années 1930.

Si le CEA est reconnu aujourd’hui comme un des leaders mondiaux du HPC, c’est parce qu’il a, dès sa création en 1945, dépassé les limites des connaissances de l’époque pour traduire les équations physiques dans le langage d’une machine à calculer.

Les premières simulations du CEA ont connu une avancée fulgurante grâce à l’impulsion du « programme Simulation » lancé en 1996, après l’arrêt définitif des essais nucléaires, pour garantir la sûreté, la fiabilité et les performances des armes nucléaires.

Aujourd'hui, la simulation numérique et le HPC sont devenus incontournables dans tous les domaines :

comprendre le système Terre et modéliser le climat,

​développer de nouveaux matériaux ou médicaments,

optimiser les technologies de l’énergie…

Pour répondre à ces défis, le CEA dispose de moyens de calcul ultra-performants à Bruyères-le-Châtel. Il a bâti une stratégie très dynamique de partenariats avec des académiques et des industriels, à l’échelle française, européenne et internationale.

Opéré au très Grand Centre de calcul du CEA à Bruyères-le-Châtel depuis 2016,

le supercalculateur Joliot-Curie peut effectuer jusqu’à 22 millions de milliard d’opérations à la seconde. Il est ouvert aux chercheurs français et européens. "

9 réponses

  • 15:03

    " Et demain ?

    Le CEA se prépare à accueillir Alice Recoque, un supercalculateur de classe exascale, au service de la recherche académique et industrielle. Une nouvelle ère de puissance de calcul s’ouvre... "

    Publié aujourd'hui par le CEA


  • 15:34

    Pour information :
    Supercalculateur Joliot Curie : ATOS

    Qui va remporter l'appel d'offres Alice Recoque ?


  • 16:37
    15:02

    Depuis toujours, l’Homme compte : d’abord avec ses doigts, puis avec des cailloux, des bâtons, des bouliers…

    En 1645, Pascal invente la première machine à calculer et amorce une révolution. De là naîtront calculatrices mécaniques, électromécaniques, puis électroniques, jusqu’au microprocesseur d’Intel en 1971.


    Mais pour la science, il fallait aller encore plus loin.

    Simuler des phénomènes complexes, inaccessibles à notre échelle, nécessitait une nouvelle génération de « machines à calculer » : les supercalculateurs.

    La course au calcul haute performance (HPC) commence alors dès les années 1930.

    Si le CEA est reconnu aujourd’hui comme un des leaders mondiaux du HPC, c’est parce qu’il a, dès sa création en 1945, dépassé les limites des connaissances de l’époque pour traduire les équations physiques dans le langage d’une machine à calculer.

    Les premières simulations du CEA ont connu une avancée fulgurante grâce à l’impulsion du « programme Simulation » lancé en 1996, après l’arrêt définitif des essais nucléaires, pour garantir la sûreté, la fiabilité et les performances des armes nucléaires.

    Aujourd'hui, la simulation numérique et le HPC sont devenus incontournables dans tous les domaines :

    comprendre le système Terre et modéliser le climat,

    ​développer de nouveaux matériaux ou médicaments,

    optimiser les technologies de l’énergie…

    Pour répondre à ces défis, le CEA dispose de moyens de calcul ultra-performants à Bruyères-le-Châtel. Il a bâti une stratégie très dynamique de partenariats avec des académiques et des industriels, à l’échelle française, européenne et internationale.

    Opéré au très Grand Centre de calcul du CEA à Bruyères-le-Châtel depuis 2016,

    le supercalculateur Joliot-Curie peut effectuer jusqu’à 22 millions de milliard d’opérations à la seconde. Il est ouvert aux chercheurs français et européens. "

    Soleil78,

    Je sais que tu n'arrives pas de faire ton deuil de HPC !


  • 16:48

    Shervin
    La cession à l'état est prévue dans à peu près 1 an, si pas de retard.

    D'ici là, on saura si Atos (Eviden) remporte le marché Alice Recoque.

    Remporter ce marché serait une excellente nouvelle pour Atos.

    Pour information : Philippe Salle a précisé qu'Atos avait de bons rapports avec le CEA.


  • 17:07

    Bonjour à vous,

    Je comprends Soleil78 , même si j’ai compris aussi ce que cette cession pouvait avoir être âprement disputée et amère pour ceux qui ont porté à bout de bras cette technologie, certains détails nous échappent, et peuvent être libérateurs pour Atos.

    C’est dommage, dans le thriller politico financier à suspens « house of Atos », il y a un super feed-back en préface qui présente comment un ancien dirigeant a réussi à obtenir Bull en faisant un deal avec l’Etat.

    Atos prenait tous les risques et dépassements de contrats taillés à la baisse pour que cela ne grève pas le budget, les actionnaires portaient tout grâce aux autres actifs qui par Croissance Externe soutenaient un montage des plus explosifs.

    Une fois le tour de passe-passe du BFR intenable, c’est le chapitre 1…


  • 17:14

    Le problème est que les super calculateurs vont être la propriété de l état et le prix de vente a déjà été négocié et acte . Donc pour moi c est plus frustrant qu une bonne nouvelle


  • 17:17

    C'est frustrant, effectivement

    Mais, je vois mal l'Etat laisser partir ce marché ailleurs...
    Et Atos va en profiter puisque la cession n'est pas prévue immédiatement.


  • 17:26

    Ceci dit il y a encore de beaux contacts à gagner ☺️✌️


  • 17:33

    Je viens de me remémorer l'audition de Monsieur Philippe Salle face aux sénateurs, et son amertume concernant le contrat de l'armée française conclut avec une société étrangère. Pas sympa...


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