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Retour au sujet ATOS

ATOS : Ce qui est fou avec ATOS

28 juil. 2025 10:29

C'est qu'il y a 1 an certains étaient prêts à mettre des milliards sur la table pour en prendre le contrôle et aujourd'hui alors qu'elle est desendettée et recapitalisée à 550 millions il n'y a plus personne.
Ils sont passés oú, ces "Cadors" de la finance ?
C'est pas fou quand même ?

Enfin l'avenir dira.

31 réponses

  • 28 juillet 2025 10:37

    il y a un an elle était au tapis , aujourd'hui elle va mieux laissons le temps au temps


  • 28 juillet 2025 11:02

    La valo négociée pré AK récapitalisation était 132€ 0,0132! et l'entente sur plus de 2 milliards d'euros de cb !


  • 28 juillet 2025 11:30

    arrivent ordres 1000,
    5000,
    10000 et +


  • 28 juillet 2025 11:41

    "prêts à mettre des milliards ", aujourd'hui, "il n'y a plus personne".
    Vu comme ça, oui, il y a un loup.

    Ou peut être que certains attendent un mauvais passage tel que le bilan 2025 ou la fin de la grande braderie des créanciers qui vendent depuis des semaines leurs stocks. Peut être que la vente à l'Etat de l'activité stratégique militaire l'a rendu inintéressante. Mais enfin, il doit y avoir une explication et il faut la chercher.


  • 28 juillet 2025 11:51

    FabRazor, l’homme qui tire sa révérence avec fracas le 9 juillet — ‘AdiosAtos’, dit-il, comme s’il quittait Wall Street en laissant derrière lui les cendres d’un empire…

    Et pourtant, à peine les larmes séchées, voilà qu’il rôde à nouveau, en mode ‘retour furtif’.

    On pensait avoir perdu un stratège, on retrouve un figurant.

    Si la finance est un théâtre, FabRazor joue clairement dans le registre du tragique-comique. La lame ‘razor’ s’émousse, mais le goût du drama reste affûté


  • 28 juillet 2025 12:15

    4ième j consécutif renforcé WS


  • 28 juillet 2025 14:53

    D'ab'ordres 1000 ...


  • 28 juillet 2025 15:45

    pass '2000


  • 29 juillet 2025 10:50

    10 000


  • 29 juillet 2025 10:51

    10:46 28.71


  • 29 juillet 2025 11:11
    28 juillet 2025 11:41

    "prêts à mettre des milliards ", aujourd'hui, "il n'y a plus personne".
    Vu comme ça, oui, il y a un loup.

    Ou peut être que certains attendent un mauvais passage tel que le bilan 2025 ou la fin de la grande braderie des créanciers qui vendent depuis des semaines leurs stocks. Peut être que la vente à l'Etat de l'activité stratégique militaire l'a rendu inintéressante. Mais enfin, il doit y avoir une explication et il faut la chercher.

    Pourquoi ceux qui étaient prêt à mettre des milliards ( enfin restons humbles) se sont finalement retirés ce qui a fait que la restructuration a été à moitié faite ( ce qui n'est pas terrible vu la taille restante de l'endettement brut)

    Le morceau de caillou qui ressemblait à une pépite , une fois lavé (analysé), ne brille pas beaucoup

    Restez méfiant.


  • 29 juillet 2025 11:17

    Merci pour le conseil, pareillement !


  • 29 juillet 2025 11:17

    Inova001

    Vous intervenez ici de façon sporadique, et c’est systématiquement pour pointer du doigt, suspecter, critiquer…

    Si votre regard sur Atos est aussi sombre, pourquoi revenir ? C

    e forum n’est pas une boîte d’écho pour inquiétudes recyclées.

    Il y a des investisseurs qui préfèrent construire plutôt que déconstruire.

    Si vous n’avez plus foi dans le projet, il existe d’autres espaces pour cela.

    Bonne route.


  • 29 juillet 2025 11:56
    29 juillet 2025 11:17

    Inova001

    Vous intervenez ici de façon sporadique, et c’est systématiquement pour pointer du doigt, suspecter, critiquer…

    Si votre regard sur Atos est aussi sombre, pourquoi revenir ? C

    e forum n’est pas une boîte d’écho pour inquiétudes recyclées.

    Il y a des investisseurs qui préfèrent construire plutôt que déconstruire.

    Si vous n’avez plus foi dans le projet, il existe d’autres espaces pour cela.

    Bonne route.

    Un problème avec la liberté d'expression ?


  • 29 juillet 2025 12:24
    29 juillet 2025 11:56

    Un problème avec la liberté d'expression ?

    Inova001

    Merci pour votre message.

    Soyons claires : je respecte totalement la liberté d’expression, tout comme chacun ici.

    Mon intervention visait simplement à souligner qu’ajouter une remarque pour semer le doute sans véritable contribution à l’analyse n’élève pas le débat.

    Et franchement, certains parallèles avancés sont assez étonnants — mais passons.

    Si vous souhaitez échanger de manière argumentée sur les perspectives d’Atos, je suis tout à fait disposée à discuter.

    Sinon, je vous souhaite bonne continuation dans votre style d’intervention si singulier.


  • 29 juillet 2025 12:49
    29 juillet 2025 12:24

    Inova001

    Merci pour votre message.

    Soyons claires : je respecte totalement la liberté d’expression, tout comme chacun ici.

    Mon intervention visait simplement à souligner qu’ajouter une remarque pour semer le doute sans véritable contribution à l’analyse n’élève pas le débat.

    Et franchement, certains parallèles avancés sont assez étonnants — mais passons.

    Si vous souhaitez échanger de manière argumentée sur les perspectives d’Atos, je suis tout à fait disposée à discuter.

    Sinon, je vous souhaite bonne continuation dans votre style d’intervention si singulier.

    Si vous avez suivi la restructuration, des investisseurs se sont retirés des ventes d'actifs et de la cession d'actifs ....
    Pourquoi ?

    Cet argument ne vous plaît pas.

    Mais par rapport au plan initial ( que l'on peut mettre au pluriel) , le desendettement est bien moindre.

    La restructuration financière est donc incomplète et c'est bien pour cela que l'on se retrouve avec u e dette brute plus importante que ce qui était prévu.

    Quant aux previsions moroses pour 2026.... C'est la direction qui les donne .
    Je vous conseille de vous rapprocher de la direction pour vous en plaindre.


  • 29 juillet 2025 12:58
    29 juillet 2025 12:49

    Si vous avez suivi la restructuration, des investisseurs se sont retirés des ventes d'actifs et de la cession d'actifs ....
    Pourquoi ?

    Cet argument ne vous plaît pas.

    Mais par rapport au plan initial ( que l'on peut mettre au pluriel) , le desendettement est bien moindre.

    La restructuration financière est donc incomplète et c'est bien pour cela que l'on se retrouve avec u e dette brute plus importante que ce qui était prévu.

    Quant aux previsions moroses pour 2026.... C'est la direction qui les donne .
    Je vous conseille de vous rapprocher de la direction pour vous en plaindre.

    Inova001

    Inova001, Vous avez l’art de transformer chaque éclaircie en tempête, et chaque donnée en inquiétude persistante. Votre capacité à dénicher des failles dans le moindre repli du plan Atos est remarquable… ou déconcertante.


    Cela dit, certaines de vos remarques techniques méritent réflexion, même si l’on sent que vous maniez le doute avec bien plus d’aisance que l’optimisme. Entre vos parallèles “étonnants” et projections moroses, il serait utile de ne pas perdre de vue les perspectives annoncées.


    Pour ma part, les prévisions 2026 me conviennent parfaitement, et j’espère sincèrement qu’elles seront respectées.

    Si vous souhaitez échanger de manière constructive, je suis tout à fait disposée à discuter. Sinon, je vous laisse poursuivre votre exploration méthodique du scepticisme


  • 29 juillet 2025 13:02

    On va rappeler que la dette brute en 2024 était de 4.8 milliards.
    La premiere proposition de Kretinsky était une réduction de la dette brute de 4 milliards.
    Atos voulait à minima la réduire de 3.2 milliards.
    Puis il y a eu la cacophonie avec le consortium Onepoint .... Qui se sont retirés de la pépite après selon leur dires 'analyse approfondie'
    Résultat ?
    La restructuration financière a permis de réduire l'endettement de 2 milliards. Très loin de l'objectif minimum de 3.2 milliards

    Bref restructuration incomplète ce qui n'est pas prêt de rassurer les investisseurs.


  • 29 juillet 2025 13:10

    Inova001 , Vous ressassez sans relâche les manques du passé comme s’il n’y avait rien d’autre à considérer. Le désendettement n’a pas été idéal, soit. Mais de là à présenter chaque avancée comme un échec, il y a un monde. Pour ma part, les perspectives 2025 - 2028 me conviennent très bien, et j’espère qu’elles seront respectées.
    Si vous souhaitez enfin échanger sur ce qui se construit, je suis disponible.
    Sinon, continuez d’explorer les creux, je regarde les sommets.


  • 29 juillet 2025 13:16
    29 juillet 2025 12:58

    Inova001

    Inova001, Vous avez l’art de transformer chaque éclaircie en tempête, et chaque donnée en inquiétude persistante. Votre capacité à dénicher des failles dans le moindre repli du plan Atos est remarquable… ou déconcertante.


    Cela dit, certaines de vos remarques techniques méritent réflexion, même si l’on sent que vous maniez le doute avec bien plus d’aisance que l’optimisme. Entre vos parallèles “étonnants” et projections moroses, il serait utile de ne pas perdre de vue les perspectives annoncées.


    Pour ma part, les prévisions 2026 me conviennent parfaitement, et j’espère sincèrement qu’elles seront respectées.

    Si vous souhaitez échanger de manière constructive, je suis tout à fait disposée à discuter. Sinon, je vous laisse poursuivre votre exploration méthodique du scepticisme

    Je pense surtout que mes arguments ne sont pas biaisés par une position lourde d'actions.

    Comme je l'avais dit quand elle était à 40€ ... Elle retournera sous les 30€.

    Vous n'étiez alors pas d'accord.

    Sous les 30€ il ne faut pas jeter ses titres , mais au dessus oui.

    La restructuration ayant été incomplète ( de l'aveu même de l'objectif minimum voulue par Atos)..... Il faudra bien la compléter


  • 29 juillet 2025 13:26

    Inova001
    Vous confirmez surtout une chose : vous êtes bien plus engagé dans la certitude que dans l’analyse.
    Le recul n’est pas une absence d’actions, c’est une absence de nuance.
    Et puisque vous répétez votre scénario annoncé à 40€, bravo pour votre insistance — on avait compris dès la première fois.

    Quant à la restructuration, oui elle doit être poursuivie, et c’est ce que fait Atos.
    Moi, je choisis d’investir dans le potentiel, pas dans les rancunes.

    Et vos conseils… gardez-les bien précieusement.
    À force d’être recyclés, ils perdent tout leur pouvoir de conviction.
    D’ailleurs, vos interventions tombent toujours à pic : pile quand ça corrige.
    Comme une horloge… sauf qu’elle ne donne jamais l’heure juste. Et là que ça grimpe, vous temporisez.
    C’est fou comme la clairvoyance aime les marchés baissiers.


  • 29 juillet 2025 15:53

    Il ne faut pas leur répondre, c'est une agence de communication.


  • 29 juillet 2025 16:00

    FabRazor
    15:53
    Il ne faut pas leur répondre, c'est une agence de communication.

    Signaler un abus


  • 29 juillet 2025 16:01
    29 juillet 2025 16:00

    FabRazor
    15:53
    Il ne faut pas leur répondre, c'est une agence de communication.

    Signaler un abus

    “Le vrai miracle, c’est qu’à chaque fois que FabRazor ‘quitte solennellement’ une valeur, elle se met à performer. Si seulement on pouvait organiser ses départs comme des opérations financières — je parie que Goldman Sachs paierait pour ça.


    Quant à ses interventions, elles sont devenues une sorte d’indicateur de retournement de tendance : plus il critique, plus le cours grimpe. On appelle ça du ‘shortage de lucidité’.


    Et cette phrase ‘ne pas répondre, c’est une agence de com’… Quelle élégance ! Quelle audace !

    Ça ferait presque oublier qu’il est revenu rôder ici après son ‘AdiosAtos’ théâtral.

    Décidément, le grand départ, c’est plus facile que le silence!


  • 29 juillet 2025 16:07

    FabRazor

    Toujours scotché chez Stellantis, Champion ?


  • 29 juillet 2025 20:00
    29 juillet 2025 13:02

    On va rappeler que la dette brute en 2024 était de 4.8 milliards.
    La premiere proposition de Kretinsky était une réduction de la dette brute de 4 milliards.
    Atos voulait à minima la réduire de 3.2 milliards.
    Puis il y a eu la cacophonie avec le consortium Onepoint .... Qui se sont retirés de la pépite après selon leur dires 'analyse approfondie'
    Résultat ?
    La restructuration financière a permis de réduire l'endettement de 2 milliards. Très loin de l'objectif minimum de 3.2 milliards

    Bref restructuration incomplète ce qui n'est pas prêt de rassurer les investisseurs.

    Absolument, c'est bien ça.
    D'où le plan exposé qui en tient compte et rallonge d'un an une perspective de bilan prospère, soit 2029 au lieu de 2028.
    Au moins, on a un DG qui annonce un plan aux allures réalistes.

    Le problème c'est qu'une inconnue à 4 ans est beaucoup plus hasardeuse qu'une inconnue à 3 ans.
    Donc, pas besoins de rassurer les investisseurs, il n'y en a pas.
    Les malgré-eux vendent, et les racheteurs de crédit-risque, on le sait et on les a vu, vendent à 16€.

    Bref, méfiance extrême, ça peut se précipiter dans une abysse à 16€ cette année (surtout en août-octobre). Chaque micro remontée fait la joie de ces sortants, qui nous montrent ô combien ils sont patients et savent vendre par petits paquets de 10 000. Mais si ça chute, alors leurs algorithmes deviendront fous, comme en décembre.

    Patience, je me vois bien rentrer en février prochain, après résultats du S2 2025 s'ils sont réellement bons et s'il n'y a pas de vente à la découpe. C'est long de rembourser et d'investir.
    Jusque là, toréador, prends garde à toi !


  • 29 juillet 2025 20:07
    29 juillet 2025 20:00

    Absolument, c'est bien ça.
    D'où le plan exposé qui en tient compte et rallonge d'un an une perspective de bilan prospère, soit 2029 au lieu de 2028.
    Au moins, on a un DG qui annonce un plan aux allures réalistes.

    Le problème c'est qu'une inconnue à 4 ans est beaucoup plus hasardeuse qu'une inconnue à 3 ans.
    Donc, pas besoins de rassurer les investisseurs, il n'y en a pas.
    Les malgré-eux vendent, et les racheteurs de crédit-risque, on le sait et on les a vu, vendent à 16€.

    Bref, méfiance extrême, ça peut se précipiter dans une abysse à 16€ cette année (surtout en août-octobre). Chaque micro remontée fait la joie de ces sortants, qui nous montrent ô combien ils sont patients et savent vendre par petits paquets de 10 000. Mais si ça chute, alors leurs algorithmes deviendront fous, comme en décembre.

    Patience, je me vois bien rentrer en février prochain, après résultats du S2 2025 s'ils sont réellement bons et s'il n'y a pas de vente à la découpe. C'est long de rembourser et d'investir.
    Jusque là, toréador, prends garde à toi !

    16€ , je ne sais pas.

    Mais attendre le S2 2026 me semble nécessaire.
    Et un achat à plus de 30€ est risqué


  • 29 juillet 2025 20:14

    Inova001 tu veux dire S2 2025 en février 2026 ou S2 2026 en février 2027 ?


  • 29 juillet 2025 21:14
    29 juillet 2025 20:14

    Inova001 tu veux dire S2 2025 en février 2026 ou S2 2026 en février 2027 ?

    Le S2 2026.
    Du moins la fin du S1 2026 pour connaître les conditions de marché 2026 et le début 2027.

    Pour le moment les conditions de marché sont moroses sur les SSII et je ne vois pas en quoi la fin d'année serait meilleure .


  • 07:04

    FabRazor

    Quitter la scène en fanfare pour mieux revenir en coulisse, c’est déjà audacieux.

    Mais s’acharner à ternir une valeur tout en lorgnant son retour… ça frôle l'art du déshonneur en direct.


  • 08:39

    Bonjour BRAVO22 ,

    Je peux me tromper mais le coup de poignard de l’individu que vous citez (il a perdu toute estime et crédibilité la semaine dernière) prend tout son sens si je repense à 2023. En effet, à mon arrivée sur le forum, j’ai appris l’existence d’un blog, j’ai pu y lire un peu avant d’arrêter ma pensée critique plutôt que de me laisser influencer. Il y avait un intervenant qui parlait comme cet individu, je crois qu’il s’appelait « sofab ».

    Si ce sont bien les mêmes individus, pendant 1 an, cette personne nous a littéralement menti et voulu influencer nos échanges. Il a tenté de me convaincre de ne pas écrire à l’AMF, au mandataires ou au PNF sous prétexte que cela ne servait à rien. Nous avons considéré avec bienveillance et respect ses connaissances et expérience et au moment où un certains anciens actionnaires ayant vendu en MV tentent d’interroger les responsabilités de certains, il ment en public à mon encontre.

    Voici donc un possible portrait du personnage. Il aura une beau rôle dans mon possible futur livre.

    House of Atos

    Résumé des chapitres précédents:

    2023, sur les conseils de McKinsey et Rothschild, les anciens proches de TB décident d’activer le plan CasinEDF*. Un pool bancaire avec BNuts** en coordo préparent le terrain avec une scission mortifère. Tout est en place pour liquider les actionnaires et haircut les obligataires.

    2024, One Point a vent du projet, débarque au capital après en avoir fait part à un petit pool de fonds de dette US. Une bataille d’Austerlitz*** qui aurait pu se finir en Waterloo se livre sur la pratzen jusqu’à l’été 2024. La montée au capital se fait par équity swap et Omaha Beach (proposition sauvetage pool créancier en date du débarquement allié) écrase les intentions du pool CasinEDF. Apres moult négociations à la table des mandataires judiciaires, les créanciers l’emportent, même One Point qui voulait une minorité de blocage abandonne sa courte victoire à Austerlitz.

    Plusieurs tentatives de trahisons plus tard, BNuts et d’autres sont écartés, le PRF est élaboré, il y a les punis et les moins punis, mais tous les membres du triumvirat**** sont invités à payer leur forfait. La tentative de minorité de blocage sera écartée par un savant usage des BSA et le contrôle de l’entreprise est assuré, un prix minimal de 132€ fixé et face a la golden share du paquebot (surnom des bâtiments de Bercy), le recovery devient de plus en plus l’intention des futurs actionnaires majoritaires.

    2025, Atos est entre les mains des fonds US/UK, le BCE quitte le navire, reste à négocier la sortie des CasinEDF qui veulent extraire certains joyaux à prix cassé quitte à détruire le business de l’entreprise.

    13 Mai, retrait de EPEI suivi de tous les CasinEDF suite à la présentation d’un Genesis porté par un PDG adoubé par les fonds US/UK.
    31 Mai, confirmation de la fin de la découpe, toutes les banques EU se désengagent, ING déclare sa sortie et ferme la porte à partir du 25 Juin.

    10 Juillet, avec l’aide de quelques banques EU, une VAD destructrice de valeur et de confiance poursuit son travail de sape. En effet, les actionnaires majoritaires ont intérêt à ce que le CA réussisse son plan Genesis, l’Etat français a plus que jamais besoin des compétences et services d’Atos, surtout à l’heure d’un plan défense européen. Et pourtant, des jeux de dupe sur le capital et dans les médias continuent de semer le doute pour empêcher le retour de la confiance sur une entreprise en plein recovery.

    L’histoire s’écrit devant nous, bientôt l’épilogue.

    We are the 10 believers and Genesis Make Atos Great Again

    Cette œuvre est une fiction qui recoupe beaucoup d’éléments de réalité.

    *CasinEDF: plan élaboré sur la base de Casino (écrasement obligataire par EPEI et coup de poignard grâce au fond Attestor) et EDF (jeu duplice d’un État non actionnaire qui finance des projets sur des contrats déficitaires portés par Atos et sans être au capital, tente d’exproprier ceux ci en négociant des cession à prix cassé de plusieurs actifs)

    **BNut: grosse banque française avec une de ses ancienne collaboratrice énarque promotion Sandor et mariée à un haut responsable de la banque Rothschild. Elle est associée à des intérêts privés et publics incompatibles avec la garantie d’absence de conflits d’intérêts, elle sera d’ailleurs écartée des négociations finales avec les mandataires judiciaires pour ces possibles raisons

    ***Austerlitz: tentative de prise de contrôle par minorité de blocage avortée suite au refus des obligataires de faire confiance à toute intention européenne qui pourrait compromettre le contrôle d’Atos par un CA autonome et indépendant d’influences

    ****référence romaine.
    -Premier triumvirat: Banque/EPEI/Attestor
    -Deuxième triumvirat: Banque/CIRI/EPEI


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