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ATOS : Commandes gouvernementales et contrats avec les grandes organisations – Atos

22 juil. 2025 12:43

Aucun gouvernement ni aucune grande organisation multinationale ne confierait ses opérations ou ses données à une entreprise désorganisée en interne ou au bord de la faillite.
Lorsque vous remettez en question la situation financière d’Atos, demandez-vous si votre compréhension et votre connaissance d’Atos dépassent réellement celles de ces institutions internationales ou grandes organisations.
Les données financières récentes ne reflètent que la situation jusqu’en juin de cette année. Elles ne représentent ni le présent, ni l’avenir.
En vous plaçant sur les épaules des géants, vous verrez toujours plus loin.

27 réponses

  • 22 juillet 2025 13:03

    trés bien


  • 22 juillet 2025 13:11

    Je vous rejoins complètement.

    La bourse, c’est souvent une affaire de psychologie bien plus que de chiffres. Le marché peut rester sourd à l’évidence, jusqu’au jour où il se réveille... brutalement parfois. Pour ma part, j’évite de suivre le brouhaha ambiant. Je m’attache aux fondamentaux, à la qualité des clients, et surtout à la cohérence de la trajectoire stratégique.


    Atos, jusqu’à présent, a prouvé qu’elle restait dans le jeu — et pas dans une division amateur. Les contrats, les partenaires, les engagements institutionnels : tout cela parle davantage que les commentaires agités de la journée.


  • 22 juillet 2025 13:14

    On peut comprendre qu'il y ait de la prudence, mais le but de tout ce qui est actuellement fait est de redorer le blason.
    Moi aussi je demande à voir, c'est pourquoi vous ne me lisez jamais écrire avec les billush ou les basheurs, je veux rester objectif.


  • 22 juillet 2025 13:18

    CITATION
    "Aucun gouvernement ni aucune grande organisation multinationale ne confierait ses opérations ou ses données à une entreprise désorganisée en interne ou au bord de la faillite."

    ET
    POURTANT

    https://www.tradingsat.com/atos-FR001400X2S4/actualites/atos-atos-ch oisi-par-bruxelles-pour-le-projet-atlas-1142955.html

    Eviden, une branche du Groupe Atos, a été sélectionnée par la Commission européenne pour fournir une plateforme technologique dans le cadre du défi AtLaS, lié au traitement des technologies du langage humain.


  • 22 juillet 2025 13:18

    Tiens, voilà que l'ancien censeur d'Atos se découvre une vocation d’objectivité… Après avoir généreusement alimenté la rubrique “bâchage intensif”, le voilà qui tempère. C’est bien, les cycles d’opinion. Certains appellent ça évolution, d’autres simple repositionnement stratégique. À ce rythme-là, on pourrait presque parier sur un retournement haussier rien que par effet miroir. @Obtima


  • 22 juillet 2025 13:34

    Excellente nouvelle bien évidemment

    Donc l'Europe accepte travailler avec Eviden, société 100 % privée, et pourtant il s'agit du domaine de la DÉFENSE.

    Et la France ne souhaite pas que les supercalculateurs fassent partie d'une société privée.


  • 22 juillet 2025 13:42
    22 juillet 2025 13:34

    Excellente nouvelle bien évidemment

    Donc l'Europe accepte travailler avec Eviden, société 100 % privée, et pourtant il s'agit du domaine de la DÉFENSE.

    Et la France ne souhaite pas que les supercalculateurs fassent partie d'une société privée.

    Bonjour Soleil78
    , Je pense qu’il est essentiel de distinguer ce qui relève de la souveraineté nationale et ce qui relève de la coopération européenne.
    La France agit selon ses propres impératifs stratégiques, notamment dans les domaines sensibles comme les supercalculateurs, car il en va de sa sécurité nationale.
    L’Europe, elle, n’est pas une fédération : c’est un regroupement d’États aux intérêts parfois divergents, chacun gardant sa ligne rouge.
    Accepter qu’Eviden participe à certains projets européens, même dans la défense, ne signifie pas que la France doive lui confier le cœur de ses infrastructures souveraines.
    C’est une question de périmètre, pas d’opposition frontale.


  • 22 juillet 2025 13:49

    Chacun son avis, BRAVO22

    Je continue de penser que la cession des supercalculateurs est une erreur. Je n'arrive pas à digérer cette cession.


  • 22 juillet 2025 13:55

    👊​💪​👊

    double cheik
    d'autres annonces ​?


  • 22 juillet 2025 14:28
    22 juillet 2025 13:49

    Chacun son avis, BRAVO22

    Je continue de penser que la cession des supercalculateurs est une erreur. Je n'arrive pas à digérer cette cession.

    Votre attachement à ces éléments stratégiques est tout à fait légitime — je le respecte sincèrement.


  • 22 juillet 2025 14:43
    22 juillet 2025 13:49

    Chacun son avis, BRAVO22

    Je continue de penser que la cession des supercalculateurs est une erreur. Je n'arrive pas à digérer cette cession.

    Je suis d'accord!


  • 22 juillet 2025 14:48

    Ce qui me peine : lorsque l'entité Bull a été cédée à Atos, les supercalculateurs de dissuasion nucléaire existaient déjà.

    Donc, c'est un faux prétexte pour récupérer " Advanced Computing ", pour des clopinettes en plus !


  • 22 juillet 2025 14:53
    22 juillet 2025 14:48

    Ce qui me peine : lorsque l'entité Bull a été cédée à Atos, les supercalculateurs de dissuasion nucléaire existaient déjà.

    Donc, c'est un faux prétexte pour récupérer " Advanced Computing ", pour des clopinettes en plus !

    Ce sont surtout les clopinettes obtenues qui me pèsent… Mais je me console avec ce qu’Atos a su préserver : des activités à forte marge et stratégiques, essentielles pour la suite


  • 22 juillet 2025 14:58
    22 juillet 2025 13:49

    Chacun son avis, BRAVO22

    Je continue de penser que la cession des supercalculateurs est une erreur. Je n'arrive pas à digérer cette cession.

    Je comprends parfaitement ta pensée. Mais pour une entreprise ayant connu de graves problèmes de gestion, la trésorerie est le sang vital pour sa résurrection. Si l'on ne vendait pas des actifs pour obtenir des liquidités, il n'y aurait pas aujourd'hui d'Atos. Le passé est tourné, place à l'avenir


  • 22 juillet 2025 15:06
    22 juillet 2025 14:58

    Je comprends parfaitement ta pensée. Mais pour une entreprise ayant connu de graves problèmes de gestion, la trésorerie est le sang vital pour sa résurrection. Si l'on ne vendait pas des actifs pour obtenir des liquidités, il n'y aurait pas aujourd'hui d'Atos. Le passé est tourné, place à l'avenir

    J'ai, comme un petit pourcentage d'actionnaires individuels, participé à la restructuration de la société Atos, fin 2024.

    De nombreuses cessions ont déjà eu lieu.

    Atos ne peut pas se débarrasser de toute sa substance et, surtout à prix cassé !


  • 22 juillet 2025 16:15

    D’après ce que je comprends du communiqué, on est dans un schéma malin : l’État garde les clés du coffre-fort, et Eviden reste l’ingénieur qui sait comment l’ouvrir sans forcer la serrure. Propriété publique, savoir-faire privé — chacun son rôle, mais complémentaire


  • 22 juillet 2025 16:48
    22 juillet 2025 14:58

    Je comprends parfaitement ta pensée. Mais pour une entreprise ayant connu de graves problèmes de gestion, la trésorerie est le sang vital pour sa résurrection. Si l'on ne vendait pas des actifs pour obtenir des liquidités, il n'y aurait pas aujourd'hui d'Atos. Le passé est tourné, place à l'avenir

    À moins de passer sous les 1,1 milliard d’euros de trésorerie — ce qui est loin d’être le cas — Atos ne vend pas d’actifs pour obtenir des liquidités en ce moment.

    Les ventes d’actifs doivent être utilisées pour rembourser la dette, conformément au contrat de restructuration.

    Ces ventes relèvent plutôt d’un « nettoyage » du portefeuille.

    Comme Ph. Salle l’avait expliqué, Advanced Computing a besoin de cash, génère peu de marge, et ne bénéficie pas chez Atos des synergies que peuvent avoir ses concurrents, qui sont tous de grands noms du monde du hardware.


  • 10:48
    22 juillet 2025 16:48

    À moins de passer sous les 1,1 milliard d’euros de trésorerie — ce qui est loin d’être le cas — Atos ne vend pas d’actifs pour obtenir des liquidités en ce moment.

    Les ventes d’actifs doivent être utilisées pour rembourser la dette, conformément au contrat de restructuration.

    Ces ventes relèvent plutôt d’un « nettoyage » du portefeuille.

    Comme Ph. Salle l’avait expliqué, Advanced Computing a besoin de cash, génère peu de marge, et ne bénéficie pas chez Atos des synergies que peuvent avoir ses concurrents, qui sont tous de grands noms du monde du hardware.

    Votre intervention résume parfaitement, selon moi, la dynamique actuelle : on n’est plus dans une urgence de trésorerie, mais dans une projection vers un portefeuille optimisé.

    Le contrat signé est une excellente nouvelle, car il vient confirmer qu’Atos reste un partenaire technologique crédible, même dans les domaines sensibles.


  • 13:22
    10:48

    Votre intervention résume parfaitement, selon moi, la dynamique actuelle : on n’est plus dans une urgence de trésorerie, mais dans une projection vers un portefeuille optimisé.

    Le contrat signé est une excellente nouvelle, car il vient confirmer qu’Atos reste un partenaire technologique crédible, même dans les domaines sensibles.

    Merci.

    À quel contrat faites-vous référence ?


  • 14:28
    13:22

    Merci.

    À quel contrat faites-vous référence ?

    https://atos.net/fr/2025/communiques-de-presse_2025_07_22/eviden-co ncoit-pour-le-fonds-europeen-de-la-defense-la-plateforme-technologique-du-defi-a tlas-sur-le-traitement-des-technologies-du-langage-humain


  • 15:09
    14:28

    https://atos.net/fr/2025/communiques-de-presse_2025_07_22/eviden-co ncoit-pour-le-fonds-europeen-de-la-defense-la-plateforme-technologique-du-defi-a tlas-sur-le-traitement-des-technologies-du-langage-humain

    https://defence-industry-space.ec.europa.eu/document/download/2d7c0 e41-1e37-49c4-b28d-96a4808141fa_en?filename=EDF-2023-LS-RA-CHALLENGE-DIGIT-HLTP_ AtLaS.pdf

    C’est un projet de 6 M€ sur 5 ans pour un consortium de 10 organisations, dont Bull.
    On ne connaît pas la répartition exacte, mais cela représenterait au mieux un volume à six chiffres pour Atos.


    En plus, comme c’est Bull, il y a de fortes chances que cela passe chez l’État à partir de 2026.

    Pourquoi un projet d’une telle envergure devrait-il avoir une influence sur le cours de l’action ?


  • 15:13
    15:09

    https://defence-industry-space.ec.europa.eu/document/download/2d7c0 e41-1e37-49c4-b28d-96a4808141fa_en?filename=EDF-2023-LS-RA-CHALLENGE-DIGIT-HLTP_ AtLaS.pdf

    C’est un projet de 6 M€ sur 5 ans pour un consortium de 10 organisations, dont Bull.
    On ne connaît pas la répartition exacte, mais cela représenterait au mieux un volume à six chiffres pour Atos.


    En plus, comme c’est Bull, il y a de fortes chances que cela passe chez l’État à partir de 2026.

    Pourquoi un projet d’une telle envergure devrait-il avoir une influence sur le cours de l’action ?

    Même si les supercalculateurs ont été transférés à l’État, il est impensable qu’un projet de traitement du langage naturel à haute intensité comme AtLaS se passe de cette puissance de calcul.
    Les machines appartiennent désormais à la souveraineté, mais les algorithmes, l’ingénierie et l’exploitation restent pilotés par Eviden.
    Savoir-faire privé, infrastructure publique — c’est le tandem technologique européen.


  • 15:15

    les contre exemples abondent!


  • 15:17

    Pour compléter

    Raisons stratégiques supplémentaires :

    Image et crédibilité renforcées : Atos (via Bull) se retrouve au cœur d’un projet européen de défense lié à l’intelligence linguistique. Même avec un volume financier limité, ce positionnement démontre sa fiabilité technologique dans des secteurs sensibles.

    Visibilité institutionnelle : Être retenu par le Fonds Européen de la Défense confirme qu’Atos reste dans les radars des grands programmes, malgré les remous passés.

    Effet levier potentiel : Ce type de projet peut servir de tremplin vers d’autres partenariats étatiques ou européens, surtout avec l’hypothèse que l’État reprenne la main via Bull dès 2026.

    En somme, ce contrat n’est pas qu’une affaire de chiffres : c’est un marqueur symbolique qui témoigne d’un maintien stratégique d’Atos dans le jeu des acteurs clés du numérique institutionnel.


  • 15:21

    c'est juste un projet de RD en coopération européen, cela n'engage à rien et n'a aucun impacte


  • 15:30
    15:13

    Même si les supercalculateurs ont été transférés à l’État, il est impensable qu’un projet de traitement du langage naturel à haute intensité comme AtLaS se passe de cette puissance de calcul.
    Les machines appartiennent désormais à la souveraineté, mais les algorithmes, l’ingénierie et l’exploitation restent pilotés par Eviden.
    Savoir-faire privé, infrastructure publique — c’est le tandem technologique européen.

    Si j’ai bien compris, l’État rachète plus ou moins l’ancienne Bull, soit un périmètre de 800 M€ de chiffre d’affaires (donc environ 80 % du périmètre initial d’un milliard d’euros, incluant Cybersecurity Products et MCS).


    La seule exclusion spécifique de ce périmètre, à part CP et MCS, est Ipsotek, renommée VisionAI. L‘État reprend donc beaucoup plus que juste les machines.

    Comme je ne suis pas certain que ce contrat partira avec Bull, j’ai écrit « très probable ».

    Quoi qu’il en soit, le contrat reste très modeste à l’échelle d’un groupe de 8 Md€ — d’où ma question sur un éventuel impact sur le cours de l’action.


  • 15:39

    @Toldya

    Vous avez tout à fait raison de rappeler le volume limité du contrat — il ne s’agit clairement pas d’un levier immédiat sur les comptes.


    Cela dit, ce type de projet européen dans le secteur de la défense envoie un signal fort : – Atos, via Bull, reste un acteur technologique crédible. – Le positionnement auprès d’institutions européennes confirme une trajectoire stratégique solide. – Et dans l’optique du transfert étatique à partir de 2026, cela renforce une cohérence globale.


    À défaut d’impact comptable, le message au marché est clair : Atos n’est pas marginalisé — bien au contraire, elle s’inscrit dans les grandes dynamiques institutionnelles.


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