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Retour au sujet ATOS

ATOS : Article Challenges sur les super calculateurs

12 juin 2025 19:19

Article un peu particuliers, les liens avec l’Etat restent très étroits, cela en est gênant. Que pensent ceux qui l’ont lu?

« Le deal n’est pas encore bouclé, mais sauf accident, la cession complète à l’Etat est attendue pour le premier trimestre 2026. « Il y a encore du travail, mais la promesse de vente va bientôt être signée et il y a peu de chances que l’on n’aille pas au bout », confirme une source à Bercy, qui explique aussi la durée des négociations par l’évolution du périmètre d’acquisition par l’Etat. »

22 réponses

  • 12 juin 2025 20:07

    Bonsoir victorda

    Je vais encore faire rager plus d'un mais, cette cession m'est de plus en plus difficile à supporter. Quand j'ai lu l'article " Ciri ", ça m'a fait très mal.

    Je m'interroge toujours sur le sort de cette entité, une fois cédée. Quelle société va en profiter ? Et la majorité des brevets qui partent avec la cession.
    Bonne soiree


  • 12 juin 2025 20:56

    Décidément, les " journalistes " se déchaînent avant l'assemblée générale

    Atos : " La bombe ", le banquier et la justice.

    Incroyable, tout cela !


  • 08:08

    Supercalculateurs : les dessous du sauvetage du joyau technologique d’Atos par l’Etat
    L’Etat va racheter l’activité supercalculateurs d’Atos, un secteur stratégique et un retour assumé du « colbertisme technologique » dicté par la montée des tensions géopolitiques et le besoin pressant de souveraineté technologique.

    premium-iconArticle réservé aux abonnés
    Régis Soubrouillard
    12 juin 2025 à 17h00
    LECTURE 6 MIN
    Un Etat qui devient propriétaire d’un géant européen des supercalculateurs ? Il y a quelques années encore, l’idée aurait semblé farfelue, voire contre-nature politiquement. Mais les temps ont changé. La « fin de l’histoire » qui se traduisait par la victoire idéologique du libéralisme est bel et bien derrière nous : la souveraineté industrielle est redevenue une priorité, et dans le contexte géopolitique actuel, les supercalculateurs sont des joyaux technologiques qu’aucune puissance ne veut laisser à des mains étrangères.

    Dès l’apparition des difficultés d’Atos – dont l’AG se tient demain –, certains parlementaires, de gauche et de droite, ont plaidé et plaident encore pour une nationalisation complète de l’entreprise. À Bercy, la priorité était claire : protéger les actifs stratégiques. Des discussions ont été engagées dès 2024 avec le groupe pour sécuriser les divisions jugées sensibles.

    Une cession complète début 2026
    Le 31 mai, Atos a officialisé l’acceptation de l’offre ferme de l’Etat pour l’acquisition de son activité « Advanced Computing », qui comprend des serveurs de haute performance ainsi que des supercalculateurs, autant de technologies critiques pour la Défense comme pour l’industrie nationale.

    Certes, voir l’Etat intervenir dans un rachat d’activité technologique peut surprendre. Mais à Bercy, on rappelle que cette filiale HPC (High Performance Computing) qui s’appelait alors Bull, a historiquement été créée par l’Etat, avant son rachat par Atos en 2014. « Ce savoir-faire est né des besoins de simulation nucléaire, lorsque la France a mis fin aux essais nucléaires qui se déroulaient dans le Pacifique. Il s’agit donc d’une technologie dont l’ADN relève de l’Etat et qui a su se développer depuis comme un acteur majeur du secteur », explique une source ministérielle.

    Le deal n’est pas encore bouclé, mais sauf accident, la cession complète à l’Etat est attendue pour le premier trimestre 2026. « Il y a encore du travail, mais la promesse de vente va bientôt être signée et il y a peu de chances que l’on n’aille pas au bout », confirme une source à Bercy, qui explique aussi la durée des négociations par l’évolution du périmètre d’acquisition par l’Etat.

    Les supercalculateurs, une activité trop particulière pour Dassault et Thales
    Au fil du temps, l’Etat a, en effet, affiné son périmètre d’acquisition, renonçant notamment à l’activité Vision AI, spécialiste de l’analyse vidéo par intelligence artificielle et à Ipsotek une start-up d’origine tchèque, qu’Atos ne souhaitait pas vendre et qui ne rentrait pas vraiment dans le périmètre des actifs stratégiques de l’Etat. « Ça ressemblait à des poupées russes et on a plutôt souhaité se concentrer sur les supercalculateurs », explique un négociateur, évoquant l’évolution du périmètre d’acquisition comme principale source de lenteur des négociations qui se sont terminées à la dernière minute.

    Mais dans un premier temps, l’Etat devait également être accompagné par des acteurs privés, du secteur de la défense. Dassault, Thales et Airbus ont bel et bien participé à des discussions avec Bercy pour participer à la reprise des branches cyber et supercalculateurs mais la configuration a changé et l’Agence des Participations de l’Etat a préféré aller seule au bout des négociations sur la branche HPC.

    « Il y a chez Thales et Dassault de l’intérêt pour ces activités vitales pour la dissuasion nucléaire du pays mais pas au point d’investir directement dans des supercalculateurs, ce qui reste quand même une activité très particulière », commente une source du Ministère.

    Le passif du ministère des Armées
    Reste une question centrale : quelle stratégie Etatique pour faire d’Atos un champion européen durable face à une double concurrence de l’américain HPE et du chinois Lenovo, dans un contexte où la souveraineté devient un levier politique majeur ?

    Au sein de la société beaucoup n’ont pas oublié que récemment l’Etat, en l’occurence le ministère des Armées, a préféré avoir recours à HPE (ex-Hewlett-Packard) pour équiper de serveurs la toute nouvelle Agence ministérielle pour l’intelligence artificielle de défense (Amiad).

    « Ce sera le plus gros calculateur dédié à l’IA et classifié en Europe. La DGSE, d’autres ministères, les industriels de la défense et d’autres entreprises pourront en bénéficier », assurait Sébastien Lecornu, le 8 mars dernier dans Les Echos avant de saisir le contrôle général des Armées pour examiner les offres de HPE associé à Orange d’un côté et Atos de l’autre, et finalement opter pour la première.

    Un choix motivé par une offre agressive du groupe américain, à la fois sur le plan financier et calendaire. Mais du côté d’Atos, on assure que HPE a baissé les prix uniquement pour fragiliser le français alors que les deux entreprises ont les mêmes coûts dans la production des serveurs. Suite à ce choix, Atos a fait savoir au ministère des Armées qu’une telle décision comportait le risque de voir deux acteurs se partager le marché des supercalculateurs : les Américains, qui subventionnent à tour de bras et conditionnent, eux, l’accès à leurs marchés et les Chinois, défenseurs d’un techno-nationalisme assumé.

    La réponse de Bercy ? On assure au ministère que la leçon a été retenue. Celui-ci souhaite d’ailleurs que les acteurs européens quels qu’ils soient privilégient le numéro 1 européen des supercalculateurs dans leurs choix futurs.

    Le retour de l’Etat stratège dans les hautes technologies
    Du côté des syndicats, c’est plutôt la déception, beaucoup estiment que le recours à l’Etat se limite à une participation minimum qui ressemble à une vente à la découpe : « On ne sait pas encore comment cela va être géré. Mais l’Agence des participations de l’Etat n’est pas un industriel, donc il faudra qu’ils aillent chercher des compétences ailleurs », soulignait récemment Pascal Besson, le représentant de la CGT d’Atos, dans le journal l’Humanité.

    Des arguments qui sont réfutés par Bercy où on assure que les liens avec Atos ne seront pas réellement rompus : « On ne va pas tout débrancher. Il y aura toujours des passerelles avec Atos. Et le développement de l’activité passera notamment par l’usine de supercalculateurs d’Angers, actuellement en reconstruction, qui restera un pivot de la filière. » Par ailleurs, sur le plan de l’organisation, on sait déjà que l’entité aura un conseil d’administration, un président nommé par Bercy et que des partenariats avec des acteurs privés à plus long terme ne sont pas du tout exclus.

    Un acteur potentiellement indispensable pour la souveraineté technologique européenne
    Mais l’intervention publique ne fait pas une politique industrielle. L’Etat va devoir transformer l’essai : structurer une filière, nouer des alliances, et surtout conquérir des marchés. Actuellement HPE est le leader incontesté en puissance, surtout dans le très haut de gamme. Lenovo est le numéro 1 en volume, couvrant un large spectre de machines. Atos avec ses 8 % de part de marché, se place comme un acteur européen fiable et ciblé, surtout lorsqu’on considère l’efficacité énergétique et les enjeux de souveraineté industrielle.

    « En dépit de ses difficultés financières, Atos reste le dernier bastion européen crédible dans le HPC stratégique, il peut se repositionner non pas comme un concurrent de volume de Lenovo, ni comme un géant exascale comme HPE, mais comme un leader européen souverain, compétitif sur le plan technologique, et ultra-spécialisé. Autrement dit : pas le plus gros, mais le plus indispensable et dans ce contexte la propriété de l’Etat ne sera sans doute pas un handicap », confirme un observateur averti du secteur.

    Le retour d’un Etat stratège pour un positionnement à haute intensité stratégique. Et peut-être, la première pièce d’une vraie politique industrielle européenne dans la guerre des supercalculateurs…


  • 08:14

    Ni Dassault ni Thales ne sont intéressés par cette activité.
    Si l'État souhaite qu'Atos conserve cette activité, il est indispensable de revoir à la hausse le montant des subventions
    Reste Orange.....


  • 08:18

    Je contribue déjà suffisamment via mes impôts et je refuse d'endosser davantage le rôle de l'État.!


  • 08:40

    À moindre échelle quelques similitudes avec la nationalisation d’EDF où le contribuable n’en finira jamais de mettre la main à la poche pour renflouer le navire…
    Merci aux « écologistes » …


  • 08:45

    BRAVO22
    Bonjour,
    Une autre possibilité :
    Pour la moitié moins, l'Etat peut entrer au capital et avoir une place au conseil d'administration. L'Etat est au capital de Thalès, de Dassault... Et, bizarrement, l'Etat n'a jamais souhaité entrer au capital d'Atos. Ça aurait pourtant été une solution pour dépenser moins d'Argent... Et surtout pour garder un œil sur la gestion d'Atos.


  • 09:12

    Soleil78 Bonjour,
    Non, merci ! Nous avons eu la taupe Édouard Philippe au C.A.....


  • 09:17

    BRAVO22,
    Comment se fait-il que l'Etat actionnaire, ne pose PAS DE PROBLÈME chez Thales, Chez Dassault.... ?

    Sur ce, bonne journée !


  • 09:40

    Les petits malins de Rothschild profitent de la géopolitique et d’un CAC mal engagé ce matin pour la ramener sur les 37 à moindre frais. RAS

    Par contre, ça doit vendre plus qu’il ne faut en acheter pour cela, donc le mouvement d’hier est toujours intact


  • 12:02

    Oulala, aucun volume, CO resté sur le déséquilibre de vente de l’ouverture. Sans les algos qui suivent le contexte géopolitique, elle serait déjà retourné à 39€.
    Mais que c’est bancale tout cela…


  • 13:56

    Faut pas trop compter sur l'état pour vous aider. Cela ne doit pas rentrer en compte dans une perspective d'investissement. L'état en terme de défense des entreprises françaises doit être considéré comme la pire des truffes.

    Rappelez vous alcatel lucent, pourtant une entreprise stratégique dans le domaine des télécommunications. L'état n'a rien fait pour l'aider dans la période difficile 2012 2016 alors qu'alcatel se planter dans les grandes largeurs sur la 4G et que grâce au dumping chinois, Huawei prenait des parts de marché à tout les équipementiers. L'état n'a rien fait pour défendre vraiment l'emploi en France suite à la fusion avec N.o.k.i.a. Le résultat 10 ans plus tard : le secteur des équipementiers telecoms Français est en déshérence. Merci l'état. Et pendant ce temps là des politiques se goinfrent en jeton de présence dans le conseil d'administration d'Huawei France.


  • 13:59

    Si Orange est partie prenante dans la reprise de l'activité super-trucs d'Atos,
    je vous promet que je quitte définitivement le forum.

    ( J'appliquerai à la lettre la définition récente de BRAVO22 pour "quitter le forum"
    en positionnant "définitivement" à au moins trois jours calendaires.
    Si, si !


  • 14:16
    13:59

    Si Orange est partie prenante dans la reprise de l'activité super-trucs d'Atos,
    je vous promet que je quitte définitivement le forum.

    ( J'appliquerai à la lettre la définition récente de BRAVO22 pour "quitter le forum"
    en positionnant "définitivement" à au moins trois jours calendaires.
    Si, si !

    On va te regretter, Schamroucounet. 😂


  • 14:19

    Oui, je sais BRAVO22 , c'est ce qui pourra me faire hésiter.
    Aller, disons que je quitterai définitivement pendant au moins 3 heures ;
    le temps de prendre un ris ou de tondre le gazon.


  • 14:21

    Bon, je file, j’ai golf. À tout à l’heure, soyez sage!😊


  • 14:21

    L'autre truc qui me ferait hésiter, c'est qu'ici, au moins, on s'ennuie très rarement.
    Regarde, ce matin j'ai posé quelques crottes sur le forum Hermès.
    Hé bien, rien, pas la moindre critique ; pas étonnant que les cours du luxe ne soient plus ce qu'ils ont pu avoir été !


  • 15:17

    Bonjour,

    Question pataude:
    Si les 3/4 du capital sont détenus par des fonds anglo-saxons, Atos peut-il intégrer le Nasdaq une fois redressé?
    Plus aucune confiance en la place boursière parisienne.


  • 15:54

    Nous n’oublierons jamais le projet CasinEDF…

    Ah mais le CIRI, j’ai retrouvé tous leur organigramme à Bercy. J’étais tellement choqué par leur comportement pendant la bataille des repreneurs et après que j’avais besoin de connaître des noms. Et je peux vous assurer que c’est pas joli joli, une belle bande organisée de hauts fonctionnaires en pantouflages. Le départ de son AK chez SG et celui de son ami chez Rothschild montre avec désinvolture à quel point les actionnaires de Atos ont été baladés.
    Sauf qu’ils se vante d’un fait qui n’est pas le leur: ils n’ont jamais voulu des banquiers en repreneurs. Ohama Beach a coupé le sifflet de tous ces énarques et maintenant, chacun se tient par la barbichette. Les banques laissent la com’ de ces énarques s’enorgueillir mais leur objectif est celui dans le contrat du PdG, la triple culbute. Et l’Etat était une corde au cou de Atos, il reste une épine dans le pied d’Atos, jamais été une aide.


  • 16:04

    Mon message a été gommé


  • 16:06

    Il ne faut surtout pas critiquer les banques 😉


  • 16:11

    Je ne suis pas convaincu qu’ils soient les « méchants » de l’histoire.

    Par contre, que quelqu’un vende en Europe et que cela achète côté fonds anglo-saxon, cela y ressemble depuis l’appel du pied de hier matin. Que Melqart soie à 10% (avec BSA) m’a convaincu sur la destinée internationale de Atos.

    Curieux de connaître l’entente de cours pour le S1


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