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ATOS : souveraineté technologique, le réveil?

03 avr. 2025 15:02

Reprenons notre destin numérique en main avec lucidité et courage. Oui, on a été floués. La gestion passée d’Atos a manqué de transparence. Thierry Breton a contribué à masquer une réalité que beaucoup d’entre nous n’ont découverte que trop tard. Oui, la communication a été désastreuse. Oui, les actionnaires ont été enfumés, moi le premier.

Mais malgré tout cela, Atos reste une pépite industrielle que l’on ne peut pas abandonner. À l’heure où Trump refait surface, où Musk impose sa vision ultra-libérale de la tech, où la guerre commerciale s’intensifie chaque mois, il devient vital pour la France et l’Europe de sécuriser leurs infrastructures stratégiques. Les grandes industries comme Airbus, Dassault ou Thales le disent depuis dix ans. Nous avons besoin de serveurs souverains, d’une cybersécurité indépendante, d’un cloud français. Et pourtant, les commandes continuent de tomber chez Amazon ou Microsoft.

Atos possède déjà ce que nous recherchons ailleurs. Des serveurs implantés sur notre territoire. Une expertise forte en cybersécurité. Une vision responsable en matière de RSE, dans un secteur dominé par des géants américains qui s’en moquent royalement.

La désindustrialisation numérique serait une faute historique. Ne faisons pas l’erreur de la regarder se produire sans réagir. Il en va de notre sécurité. Le problème, c’est que notre gouvernement et l’Union européenne mettent dix fois plus de temps à accoucher d’une souris que les États-Unis n’en mettent pour faire avancer un projet concret. Et avec la dérégulation, eux vont aller trente fois plus vite que nous. Allez, on se réveille.

J’espère que le gouvernement va enfin sortir de sa torpeur et comprendre que la souveraineté numérique ne peut plus attendre. J’espère qu’il saura reconnaître les talents que nous avons ici, et qu’il soutiendra enfin une entreprise comme Atos, qui a tout pour rebondir si on lui en donne les moyens.

6 réponses

  • 03 avril 2025 15:15

    On verra les faits monsieur.

    Que les faits comptent.

    Il faut des contrats des chiffres une CR et bilan qui s’améliorent.


  • 03 avril 2025 15:34
    03 avril 2025 15:02

    Reprenons notre destin numérique en main avec lucidité et courage. Oui, on a été floués. La gestion passée d’Atos a manqué de transparence. Thierry Breton a contribué à masquer une réalité que beaucoup d’entre nous n’ont découverte que trop tard. Oui, la communication a été désastreuse. Oui, les actionnaires ont été enfumés, moi le premier.

    Mais malgré tout cela, Atos reste une pépite industrielle que l’on ne peut pas abandonner. À l’heure où Trump refait surface, où Musk impose sa vision ultra-libérale de la tech, où la guerre commerciale s’intensifie chaque mois, il devient vital pour la France et l’Europe de sécuriser leurs infrastructures stratégiques. Les grandes industries comme Airbus, Dassault ou Thales le disent depuis dix ans. Nous avons besoin de serveurs souverains, d’une cybersécurité indépendante, d’un cloud français. Et pourtant, les commandes continuent de tomber chez Amazon ou Microsoft.

    Atos possède déjà ce que nous recherchons ailleurs. Des serveurs implantés sur notre territoire. Une expertise forte en cybersécurité. Une vision responsable en matière de RSE, dans un secteur dominé par des géants américains qui s’en moquent royalement.

    La désindustrialisation numérique serait une faute historique. Ne faisons pas l’erreur de la regarder se produire sans réagir. Il en va de notre sécurité. Le problème, c’est que notre gouvernement et l’Union européenne mettent dix fois plus de temps à accoucher d’une souris que les États-Unis n’en mettent pour faire avancer un projet concret. Et avec la dérégulation, eux vont aller trente fois plus vite que nous. Allez, on se réveille.

    J’espère que le gouvernement va enfin sortir de sa torpeur et comprendre que la souveraineté numérique ne peut plus attendre. J’espère qu’il saura reconnaître les talents que nous avons ici, et qu’il soutiendra enfin une entreprise comme Atos, qui a tout pour rebondir si on lui en donne les moyens.

    Reco amigos 👍


  • 03 avril 2025 17:54

    Il faut surtout que notre pauvre gouvernement ouvre les yeux et se bouge!


  • 03 avril 2025 19:10

    Les ordinateurs ATOS: Hardware: AMD, Intel, Micron, etc... Software: Linux.


    Rien de francais 😁


  • 03 avril 2025 19:53

    Europe en ruine, à part Airbus qui survole la mêlée il ne reste pas grand chose… la route sera longue pour retrouver la gloire industrielle d’antan


  • 03 avril 2025 23:49

    Atos n'opère pas de datacenters, me semble-t-il.
    Les opérateurs de cloud ont tous des datacenters.


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