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ATOS : T.Breton VS E.Musk

14 janv. 2025 17:39

Elon Musk s'exprime, Thierry Breton s'indigne, leurs échanges sur les réseaux sociaux deviennent viraux. Alors que l'entrepreneur américain, figure de proue de la tech internationale, fait usage de sa liberté d'expression, comme tout usager de sa plateforme digitale X, l'ancien commissaire européen, le menace des pires représailles. En cause ? La prétendue « ingérence » d'Elon Musk dans la politique de certains Etats européens, notamment celle de l'Allemagne. Si l'inimitié entre les deux hommes n'est pas nouvelle, elle s'est considérablement accentuée ces dernières semaines, se focalisant récemment autour de la conversation d'Elon Musk avec Alice Weidel, la chef de l'AfD, le parti d'extrême droite allemand. Sans cautionner la politique de l'AfD, voire en la condamnant, on ne peut que regretter l'esprit de censure qui anime Thierry Breton. Évoquant la dernière élection présidentielle roumaine, remportée par le candidat d'extrême droite, Calin Georgescu, mais annulée par la Cour constitutionnelle du pays sur fond de suspicion d'ingérence russe via le réseau social TikTok, M. Breton est allé jusqu'à évoquer la possibilité d'une annulation des prochaines élections législatives allemandes, qui doivent avoir lieu en février. « On l'a fait en Roumanie, il faudra le faire si c'est nécessaire en Allemagne », a-t-il déclaré. Curieuse anticipation pour un homme qui prétend défendre la démocratie.
A l'heure actuelle, rien ne prouve qu'Elon Musk a enfreint le Digital Service Act (DSA), le règlement européen sur les services numériques, et donné un avantage public déloyal à l'AfD sur ses rivaux. La Commission européenne a indiqué qu'elle veillera à ce que X ne manque pas à ses obligations ; une réunion est prévue, à cet effet, le 24 janvier prochain. Une telle levée de boucliers aurait-elle eu lieu si Musk avait soutenu un parti progressiste ? En 2017, la vidéo publiée par Barack Obama en soutien à Emmanuel Macron n'avait pas suscité un tel tollé. Certes, Musk est aujourd'hui suivi par plus de 212 millions d'abonnés, mais la liberté d'expression est un droit irréfragable.

16 réponses

  • 14 janvier 2025 17:40

    Quel bon souvenir nous a laissé T.Breton de sa gestion d’Atos. Dommage qu’Elon Musk n’ait pas eu envie de racheter Atos.


  • 14 janvier 2025 17:42
    14 janvier 2025 17:40

    Quel bon souvenir nous a laissé T.Breton de sa gestion d’Atos. Dommage qu’Elon Musk n’ait pas eu envie de racheter Atos.

    Vu la valorisation de twitter apres son rachat, on serait peut etre pas mieux lotis.


  • 14 janvier 2025 17:44

    Avec T.Breton, on connaît tous la fin de l’aventure chez Atos. Sois patient, E.Musk n’a pas dit son dernier mot chez X.


  • 14 janvier 2025 21:16

    TB et EM les 2 caricatures de leurs pays respectifs!

    Le français arrogant pensant avoir la science infuse mais meilleur en théorie qu'en pratique.

    L'américain qui se prend pour le roi du monde sans maturité et réflexion a long terme.


  • 15 janvier 2025 00:05

    La liberté d'expression n'est pas la même notion d'un pays à l'autre. Elle n'est pas absolue en Europe, par exemple un propos raciste est une opinion aux US et un délit en France. Donc la liberté d'expression n'est pas un droit irréfragable partout.


  • 15 janvier 2025 09:34

    Je vois que certains se satisfont de notre liberté d’expression limitée. Que nos dirigeants ne se gênent pas pour la limiter encore un peu plus chaque fois que cela les arrange.


  • 15 janvier 2025 09:36

    On dirait que la liberté d’expression comme en union soviétique leur suffirait ?


  • 15 janvier 2025 09:54
    14 janvier 2025 21:16

    TB et EM les 2 caricatures de leurs pays respectifs!

    Le français arrogant pensant avoir la science infuse mais meilleur en théorie qu'en pratique.

    L'américain qui se prend pour le roi du monde sans maturité et réflexion a long terme.

    Il est Sud Africain, mais c'est tout comme.


  • 15 janvier 2025 16:18

    « E rilibéralisme? C'est ce que linteligentsa progresiste cherche à nous faire croire ces derniers jours. On reproche au premier ses prises de position politiques intempestives sur son réseau social X, et au second son virage à 180 degrés contre le wokisme et la censure. Tant que Facebook et Twitter œuvraient à la diffusion des idées inclusives, qu'ils propageaient le feu de #MeToo ou de Black Lives Matter, ils étaient considérés comme de merveilleux outils démocratiques. Mais maintenant que s'y expriment des points de vue conservateurs ou nationalistes, les voilà dangereux. Vérité en deçà du politiquement correct, mensonge au-delà.
    Trois reproches sont faits aux réseaux sociaux : de propager les discours de haine et la violence, de diffuser des fausses informations, de pratiquer l'ingérence au service d'un projet politique précis. Répondons à ces trois accusations.
    On accuse les réseaux sociaux de libérer la violence en politique. Il est indéniable que la polarisation politique est accélérée par la culture du clash et de l'extrait qui se pratiquent sur ces plateformes. Mais la censure n'a jamais permis une réduction de la violence. Rappelons que la prise du Capitole par les trumpistes fanatisés a eu lieu au moment même où Twitter était entre les mains de dirigeants prodémocrates qui censuraient à tour de bras les comptes d'alt-right ou complotistes. Quand la liberté d'expression est bâillonnée, le risque est de transférer la catharsis médiatique dans la rue par des moyens physiques plus violents ».


  • 15 janvier 2025 16:21

    Elon Musk et Mark Zuckerberg seraient-ils les nouveaux chantres de l’illibéralisme ? C'est ce que linteligentsa progresiste cherche à nous faire croire ces derniers jours. On reproche au premier ses prises de position politiques intempestives sur son réseau social X, et au second son virage à 180 degrés contre le wokisme et la censure. Tant que Facebook et Twitter œuvraient à la diffusion des idées inclusives, qu'ils propageaient le feu de #MeToo ou de Black Lives Matter, ils étaient considérés comme de merveilleux outils démocratiques. Mais maintenant que s'y expriment des points de vue conservateurs ou nationalistes, les voilà dangereux. Vérité en deçà du politiquement correct, mensonge au-delà.
    Trois reproches sont faits aux réseaux sociaux : de propager les discours de haine et la violence, de diffuser des fausses informations, de pratiquer l'ingérence au service d'un projet politique précis. Répondons à ces trois accusations.
    On accuse les réseaux sociaux de libérer la violence en politique. Il est indéniable que la polarisation politique est accélérée par la culture du clash et de l'extrait qui se pratiquent sur ces plateformes. Mais la censure n'a jamais permis une réduction de la violence. Rappelons que la prise du Capitole par les trumpistes fanatisés a eu lieu au moment même où Twitter était entre les mains de dirigeants prodémocrates qui censuraient à tour de bras les comptes d'alt-right ou complotistes. Quand la liberté d'expression est bâillonnée, le risque est de transférer la catharsis médiatique dans la rue par des moyens physiques plus violents.


  • 15 janvier 2025 17:50

    Ces débats autour de la liberté d'expression trahissent la panique d'un camp progressiste qui ne supporte pas la remise en cause d'un monopole médiatique. En voulant interdire les réseaux sociaux, ils nous font songer au roi Charles X promulguant ses ordonnances abolissant la liberté de la presse en juillet 1830 pour sauver son ancien régime agonisant. L'ancien régime technocratique a peur de la liberté d'expression. On arrive à une forme de retournement insensé formulé par la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet: « La libéralisation des réseaux sociaux américains est une menace pour la démocratie. » Orwell n'aurait pas mieux dit.
    La guerre, c'est la paix. La liberté d'expression, c'est une menace pour la démocratie.
    Les dirigeants européens devraient se souvenir que les États-Unis, pays où la liberté de parole est sacralisée par le 1er Amendement, sont l'une des seules démocraties à n'avoir jamais sombré dans la dictature. Alors oui, le risque de la liberté d'expression, c'est de voir des mensonges prospérer dans le débat public. Une liberté d'expression qui serait réservée à des propos vérifiés par l'Etat n'en est pas une. Aucun régime n'est parfait et chacun doit être vigilant. Les réseaux sociaux ne doivent pas être des zones de non-droit. Mais le risque encore plus grand de la censure, c'est de voir prospérer une vérité officielle déterminée par un nombre restreint de personnes. À l'heure où l'écrivain Boualem Sansal croupit dans une prison pour quelques mots, il est lamentable que ceux qui nous gouvernent oublient le sens du pari démocratique.


  • 15 janvier 2025 18:17

    Comme l'a dit Clara Chappaz, ministre temporaire : " les Français sont dotés "d'outils qui permettent de s'assurer que les fausses opinions soient sorties des plateformes numériques"

    Ne pas être d'accord avec le progressisme, c'est avoir une fausse opinion. Epicétou.


  • 16 janvier 2025 15:55

    Très bonne file M3272884 @adnstep. 👍👍 Même si on s'éloigne quelque peu du sujet Atos. Quoique... Comme l'a noté récemment "le nouveau" Zuck, liberté d'expression, innovation et création de valeur sont liées...


  • 16 janvier 2025 16:41

    La large victoire de Donald Trump s’inscrit dans un contexte global de rejet du progressisme par les opinions publiques occidentales. En Amérique du Nord comme en Europe, et naturellement en Argentine, les électeurs jadis modérés expriment dans les urnes leur ras-le-bol face aux politiques molles, sourdes à leurs revendications. L'effet domino est mondial, rapide. Il provoque la panique de ceux qui ont échoué à protéger leur population de l'immigration incontrôlée, de l'insécurité qui en découle, du déclin économique, de l'écologie punitive et des excès du wokisme. Donald Trump n'a pas gagné les élections grâce à une vague de soutien enthousiaste à sa personnalité borderline. C'est le camp démocrate, englué dans son discours bien-pensant, éloigné des préoccupations des Américains, qui lui a offert la victoire. Le triomphe de Trump, malgré l'hostilité de la majorité des médias et du monde de la culture, en dit long sur la perte d'influence des faiseurs de roi. Le décalage entre les aspirations des citoyens et le projet progressiste s'est transformé en gouffre. C'est la leçon de l'époque: les canaux officiels d'information, considérés à tort ou à raison comme des outils ringards, de propagande, ou de maintien du statu quo, ont perdu le monopole de l'influence. Qu'on le veuille ou non, l'opinion publique se fait désormais aussi sur les réseaux sociaux.
    Les nouvelles aspirations des électeurs, en France comme à peu près partout en Europe, boostés par les victoires de Milei, Trump ou Meloni, provoquent naturellement la panique des pouvoirs en place. Si le peuple pense mal, et n'adhère plus aux politiques de Biden, Macron ou Merkel, comment dompter le peuple? À défaut de calmer la fièvre, l'idée de casser le thermomètre X se fait entendre.
    S'exprime depuis quelques semaines, dans la bouche de Thierry Breton, Marine Tondelier ou la ministre du Numérique, Clara Chappaz (et de bien d'autres), l'idée de l'interdiction du réseau social X. La grande vague conservatrice exprimée dans les sondages et dans les urnes serait le fruit d'une manipulation des esprits par les méchants milliardaires de la tech, Elon Musk en tête. Rien à voir donc avec le bilan des apprentis censeurs: dette massive, effondrement industriel, vagues migratoires incontrôlées, excès de normes, ou dogmatisme écolo qui détruit nos industries nucléaires et chasse les voitures des plus modestes des centres-villes...
    Si les provocations d'Elon Musk sont parfois pénibles, en faire le responsable de nos propres turpitudes n'est pas sérieux. C'est aussi une insulte à l'intelligence et au sens civique des électeurs qui se déplacent encore dans les urnes, malgré des décennies de promesses non tenues et de mépris de leurs revendications. Alors, que reprochent ses opposants au patron de X, réseau social librement utilisé par tous les responsables politiques de la planète? D'abord son succès, dont l'ampleur remet en cause le monopole et l'entre-soi du vieux système médiatique que les élites imaginaient pérenne pour l'éternité. Utilisé quotidiennement par des centaines de millions de personnes, X est une fenêtre proposant une intéressante multiplicité de points de vue et de témoignages. Le qualifier de média au service « d'une internationale réactionnaire » n'a aucun sens, puisqu'il est - contrairement aux médias traditionnels, qui tous défendent une ligne éditoriale - ouvert à toutes les sensibilités politiques. L'extrême gauche française n'utilise-t-elle pas X pour cogner sur notre police nationale ou relativiser les crimes du Hamas, y compris depuis le rachat par Musk ?


  • 16 janvier 2025 16:50

    Si, Mercutio, il y a un lien entre T.Breton et E.Musk. L’échec patent de T.Breton dans toutes les entreprises où il est passé après son départ ne s’arrête pas à cet instant. Il a poursuivi sa néfaste industrie à la commission européenne. A ce poste, il s’est comporté en opposant à E.Musk champion de la liberté d’expression. E.Musk s’est vigoureusement défendu. Ici, chez Atos, T.Breton n’a pas fait que du bien à cette entreprise. Pire, maintenant, son nom a été cité pour éventuellement redevenir ministre.
    Mes posts expriment une opinion, libre à tous de penser autrement mais laissez moi dire ce que je pense.


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