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ATOS : Le Scénario le plus PROBABLE :

31 déc. 2024 09:23

Une stratégie claire pour les créanciers d’Atos : préparer une valorisation optimale :

Avec désormais plus de 92 % du capital détenu par les créanciers, la priorité est évidente : "habiller la mariée" pour maximiser la valorisation de l’entreprise. Cette expression reflète une stratégie bien définie, visant à repositionner Atos sur une trajectoire de rentabilité et à lui offrir les meilleures perspectives avant une éventuelle cession à un industriel stratégique.

Les leviers d’action des créanciers
Retour à la rentabilité
Les créanciers chercheront à assainir les comptes d’Atos en maximisant l’efficacité opérationnelle. Cela passe par une réduction des coûts, une meilleure gestion des ressources, et une optimisation des activités rentables.

Baisse des provisions
En diminuant les provisions liées aux risques et pertes éventuelles, Atos pourrait améliorer significativement ses résultats financiers, augmentant ainsi son attractivité pour d’éventuels acquéreurs.

Cession des branches déficientes
L'objectif sera de recentrer Atos sur ses pôles d’excellence en se séparant des activités les moins performantes. Cette démarche permettra à l’entreprise de libérer des ressources et de se concentrer sur des secteurs stratégiques à forte valeur ajoutée.

Amélioration de la productivité
Par la mise en œuvre de nouvelles technologies et d’une gestion optimisée, Atos pourrait générer des gains de productivité significatifs, renforçant son image d’entreprise moderne et compétitive.

Une perspective de cession stratégique
Une fois ces transformations réalisées, l’objectif final des créanciers semble évident : vendre Atos à un industriel du secteur avec les meilleures conditions possibles. Un groupe industriel intéressé par l’expertise technologique d’Atos et son portefeuille d’activités se positionnerait comme un repreneur idéal. Cette vente, soutenue par une valorisation optimisée, offrirait aux créanciers une sortie lucrative de leur investissement.

Conclusion
Avec la restructuration en cours, Atos est en passe de devenir une entreprise allégée, rentable et prête pour un avenir prospère. Les créanciers, désormais majoritaires au capital, ont tout intérêt à mener à bien cette transformation pour maximiser la valeur de l’entreprise. En d’autres termes, Atos se prépare à être "la mariée idéale", prête à attirer un industriel capable de lui offrir un nouvel élan stratégique.

51 réponses

  • 31 décembre 2024 09:28

    0,010 euros

    Atos a récemment achevé une restructuration financière, réduisant sa dette de 2,1 milliards d'euros et augmentant sa liquidité de 1,6 milliard d'euros. Cette solidité financière devrait lui permettre d'investir dans des technologies de pointe, comme l'intelligence artificielle et le cloud, pour stimuler fortement sa croissance dès 2025. De plus, l'expansion de ses centres de cloud en Inde et en Pologne pourrait renforcer sa position sur le marché mondial.



    Pour augmenter rapidement ses marges opérationnelles, Atos va se concentrer sur la réduction des coûts, l'amélioration de l'efficacité opérationnelle, et l'optimisation de son portefeuille de services. Investir dans des technologies à forte marge comme le cloud, et la cybersécurité, ainsi que la vente d'actifs non stratégiques, pourrait aussi libérer des ressources pour des initiatives plus rentables.

    Objectif cours 0,010


  • 31 décembre 2024 09:30

    Atos va augmenter significativement ses parts de marché en intelligence artificielle pour 2025. Cependant, selon Zonebourse, le groupe vise à doubler sa part de marché dans les supercalculateurs d'ici 2026, atteignant environ 16 %. Selon l' estimation de Statista, le marché mondial de l'intelligence artificielle pourrait atteindre 420,5 milliards de dollars en 2025. Cette croissance est alimentée par des segments tels que l'apprentissage automatique, la robotique basée sur l'IA et le traitements automatiques industriels et informatiques ATOS est très bien placée pour en profiter 💃🧚💃


  • 31 décembre 2024 09:50

    0,010 c'est X4...horizon 2026 pourquoi pas...perso je conserve aussi ma petite ligne de 1 million de titres sans gros risque ama...


  • 31 décembre 2024 09:52

    Attendons déjà les résultats 2024 et les perspectives 2025. Ça devrait nous en dire plus sur la sincérité du plan de restructuration et de la rentabilité associée. Contrairement à ce que je l ai lu en vendant Wolgrid atos a vendu une des entités les plus rentables. J ai besoin de comprendre comment en 3 ans atos peut redresser la barque alors qu ils ont été incapables de le faire en 10 ans. Le volet financier doit s accompagner d un volet structurant capable d améliorer la marge opérationnelle. Pour l instant absolument rien n a été présenté dans ce cadre.


  • 31 décembre 2024 09:56

    Si par malheur atos revoit de nouveau sa prévision de marge opérationnelle 2025 et 2026 à la baisse, on aura clairement pas touché le point bas car la suspicion sera de nouveau de mise. L avantage d un nouveau patron c est que lui qui sera jugé sur les résultats n’a aucun intérêt à présenter un plan infaisable contrairement aux créanciers qui n avaient qu un objectif court terme : faire passer le plan de restructuration. Cette prise de fonction va donc être la clé de l évolution du titre


  • 31 décembre 2024 09:57

    Merci Chat gpt :) . si seulement L'IA était à la tête d'ATOS nous n'en serions pas là. Vous lui insérer le compte de résultats et le bilan et l'IA vous donne la stratégie.


  • 31 décembre 2024 10:17

    Il serait tout de même plus éthique
    que ceux qui reproduisent ici
    en ne les adaptant qu'à la marge
    des assertions proposées par des IA
    le signalent en toute confraternitude.


  • 31 décembre 2024 10:19

    Là, c'est un peu ... délicat,
    parce que ce n'est pas l'IA elle-même qui aurait ainsi disserté
    sur une seule hypothèse centrale de rachat par un autre groupe industriel.
    Il a fallu lui poser une question bien orientée en ce sens.


  • 31 décembre 2024 10:23

    Pour ma part, à moi-même et en mon for intérieur le plus personnel,
    je trouve que le "le plus probable" du titre du fil
    est très tendancieux et absolument pas étayé.

    C'est une hypothèse comme une autre
    et à classifier comme telle.

    Avec tout le respect que je te dois justinfo !


  • 31 décembre 2024 10:24

    L'expertise essentielle que doivent maintenant
    développer nos jeunes générations
    est la faculté à réécrire un texte fourni par une IA
    afin qu'il finisse par paraitre un tant soit peu personnel.
    C'est le grand défi imposé aux enseignants de demain,
    s'il en reste.


  • 31 décembre 2024 10:35

    Shamrock888 ,
    Ta critique est compréhensible, mais permet moi de préciser que ce scénario repose avant tout sur une logique économique simple et éprouvée.

    Lorsqu’on acquiert un actif en difficulté, comme une maison en ruine, il est bien plus rentable d’investir dans des travaux pour la remettre en état avant de la revendre.
    Cela permet non seulement d’attirer davantage d’acheteurs, mais également de maximiser la valeur de revente.
    Dans le cas contraire, si l’actif est revendu dans son état initial, l’acquéreur s’expose à un risque démesuré pour un rendement limité, ce qui va à l’encontre des principes de gestion rationnelle.

    C’est précisément cette logique qui soutient l’idée que les créanciers d’Atos ont tout intérêt à valoriser l’entreprise (via rentabilité, réduction de coûts, cessions d’actifs déficients, etc.) avant une éventuelle cession. Sinon, pourquoi auraient-ils accepté de prendre un tel risque financier, sachant qu’ils auraient pu se contenter de récupérer des miettes dans l’état actuel ?

    En résumé, ce scénario n’est pas une simple hypothèse, mais une projection étayée par des principes économiques fondamentaux.


  • 31 décembre 2024 10:35

    il est urgent d' attendre
    le jour où il y aura de la rentabilité on pourra se poser les bonnes questions
    pas avant


  • 31 décembre 2024 10:42
    31 décembre 2024 10:35

    il est urgent d' attendre
    le jour où il y aura de la rentabilité on pourra se poser les bonnes questions
    pas avant

    Ok tu peux attendre Sur le quai et regarder le TGV passer... tu prendras ton vélo pour essayer de nous rattraper ? 🤣🤣😂💃


  • 31 décembre 2024 10:46

    Belle réponse justinfo ; merci et bravo !

    Mais en contre-résumé :
    - ce scénario reste une hypothèse parmi d'autres,
    bâtie sur l'hypothèse initiale que les créanciers viseraient majoritairement une cession.

    Que certains créanciers cherchent maintenant à céder leur participation
    à d'autres qui prendront le relai pour la prochaine étape, avant les suivantes,
    c'est un jeu habituel en investissement industriel.
    Personne ne peut privilégier aujourd'hui si les repreneurs de ces parts de capital
    seront prioritairement des financiers ou des industriels
    et, encore moins, si un objectif sera de démanteler l'entreprise.

    D'autres scénarios sont tout aussi "probables".


  • 31 décembre 2024 10:50
    31 décembre 2024 10:35

    il est urgent d' attendre
    le jour où il y aura de la rentabilité on pourra se poser les bonnes questions
    pas avant

    Le choix d’investissement s’étend d’options sécurisées, comme les livrets d’épargne, à des placements comportant un niveau de risque plus ou moins élevé.
    Chaque stratégie présente ses propres opportunités de gains, mais aussi ses défis.
    À toi de choisir en fonction de ta tolérance au risque et de tes objectifs financiers.


  • 31 décembre 2024 10:52

    justinfo , si je comprends bien, tu as utilisé une IA pour écrire cet article ? 🤔


  • 31 décembre 2024 10:53

    Si tu peux m'éclairer d'un doute. 🤗


  • 31 décembre 2024 10:57
    31 décembre 2024 10:46

    Belle réponse justinfo ; merci et bravo !

    Mais en contre-résumé :
    - ce scénario reste une hypothèse parmi d'autres,
    bâtie sur l'hypothèse initiale que les créanciers viseraient majoritairement une cession.

    Que certains créanciers cherchent maintenant à céder leur participation
    à d'autres qui prendront le relai pour la prochaine étape, avant les suivantes,
    c'est un jeu habituel en investissement industriel.
    Personne ne peut privilégier aujourd'hui si les repreneurs de ces parts de capital
    seront prioritairement des financiers ou des industriels
    et, encore moins, si un objectif sera de démanteler l'entreprise.

    D'autres scénarios sont tout aussi "probables".

    Ok, Shamrock888 , ça reste un scénario parmi les autres ( même si pour moi le plus LOGIQUE)

    Même dans l’hypothèse où certains créanciers auraient une vision à court terme, ils seraient tout à fait capables de déclencher une forte spéculation à la hausse afin de maximiser la valeur de leurs actions avant de les vendre. On peut se rappeler de la spéculation qui a eu lieu juste avant la livraison des actions de l’augmentation de capital ultra dilutive : le cours avait bondi de 0,23 € à 1,73 €, soit une multiplication par plus de 7.
    Ce précédent illustre bien les mécanismes qui pourraient à nouveau être utilisés pour tirer parti de la situation.


  • 31 décembre 2024 10:57

    quand on voit les échanges de 1 voir 2 000 000 de titres d'un coup ce n'est surement pas des PP il est probable qu'un gros sorte et un autre rentre


  • 31 décembre 2024 11:00

    r4611 tous les mouvements que j'ai effectués ici
    se comptaient en plusieurs millions de titres.
    Ce sont des montants très raisonnables
    même pour un petit porteur.

    Mais je n'ai pas la moindre idée précise
    sur qui achète et vend en ce moment.


  • 31 décembre 2024 11:03

    Juste une remarque concernant les achats / ventes :
    je pense que les seuils bas, actuellement 0,25 € sont faits ATP
    alors que les seuils hauts, actuellement 0,26 €, sont faits à seuils
    par ceux qui se sont placés depuis longtemps.
    Je n'ai jamais été servi sur un ordre à seuil au niveau "haut"
    parce que les files d'attente sont trop remplies.

    Simple constatation sans aucune incidence opérationnelle.


  • 31 décembre 2024 11:17

    Shamrock888 , c'est aussi mon cas, je 'ai jamais pu qu'acheter au marché ces derniers temps, mais plus à court limite.


  • 31 décembre 2024 11:25
    31 décembre 2024 10:46

    Belle réponse justinfo ; merci et bravo !

    Mais en contre-résumé :
    - ce scénario reste une hypothèse parmi d'autres,
    bâtie sur l'hypothèse initiale que les créanciers viseraient majoritairement une cession.

    Que certains créanciers cherchent maintenant à céder leur participation
    à d'autres qui prendront le relai pour la prochaine étape, avant les suivantes,
    c'est un jeu habituel en investissement industriel.
    Personne ne peut privilégier aujourd'hui si les repreneurs de ces parts de capital
    seront prioritairement des financiers ou des industriels
    et, encore moins, si un objectif sera de démanteler l'entreprise.

    D'autres scénarios sont tout aussi "probables".

    Shamrock,

    Il ne faut jamais oublier l'exemple de' ALSTOM dans les années 2004-2005 après sa récap, et l'acquisition des parts de créanciers actionnaires par BOUYGUES


  • 31 décembre 2024 11:26

    Certains voient le verre a moitié vide d'autres le verre a moitié plein et le potentiel de recovery. Je fait partit des seconds.


  • 31 décembre 2024 11:42

    Le scénario le plus probable qui reste d actualité, jusqu a preuve du contraire a la publication des perspectives 2025. En changeant paramètres de l IA ça aurait abouti a ça surtout en intégrant une pente de rétablissement aussi forte , qui n a jamais été réalisée dans ce secteur :

    Matthieu Pechberty
    Le 15/10/2024 à 17:04
    .
    Le Tribunal de commerce de Nanterre doit valider ce mardi le plan de sauvegarde du groupe de services informatiques. L’effort financier reste insuffisant alors que les comptes se dégradent. Tous les acteurs se préparent à une deuxième restructuration.

    Les nouveaux propriétaires d’Atos faisaient grise mine ce mardi à la barre du Tribunal de commerce de Nanterre. Le plan de sauvetage du groupe de services informatiques doit être validé après six mois de conciliation avec les créanciers et une procédure de sauvegarde accélérée. Finalement, le Tribunal rendra son délibéré fin octobre.

    Dans la foulée, une vingtaine de fonds d’investissement convertiront 2,8 milliards de dettes -sur un total de 5 milliards- en actions pour prendre le contrôle d’Atos. En parallèle, ils vont prêter 1,75 milliard d’euros au groupe pour assurer sa survie. Mais ces nouveaux crédits risquent de l’étouffer. Les actionnaires ont appliqué à Atos des taux d’intérêt très élevés, de 10 à 13%. Selon nos informations, la charge de la dette devrait s’élever à environ 260 millions d’euros dès l’an prochain. Un poids énorme alors que les résultats du groupe ne cessent de se dégrader.

    Début septembre, Atos a revu à la baisse ses perspectives financières. Ses marges atteindront cette année 238 millions d’euros, 16% de moins que ce que prévoyait le groupe seulement quatre mois plus tôt. Et en 2025, elles seront 25% moins élevé qu’anticipé au début de la restructuration. La dette, déjà lourde à porter, sera trois fois plus élevée que les marges dès 2026. Un niveau insoutenable qui risque de s’aggraver.

    Le secteur des services informatiques souffre au global. Avec l’inflation et l’économie mondiale qui ralentit, les entreprises ont resserré leurs budgets. Les leaders français Cap Gemini et Sopra Steria prévoient désormais un recul de leur chiffre d’affaires pour 2024. Difficile d’imaginer qu’Atos fera mieux. « Cap et Sopra leur piquent de grands clients », assure un ancien dirigeant du groupe.

    Un milliard de dette en trop

    Dans ces conditions, une nouvelle restructuration apparait inévitable. « Il faut effacer un milliard d’euros de dette en plus », assure un créancier d’Atos.

    « Il va surtout manquer un milliard d’euros de cash », prédit un bon connaisseur.

    Atos a besoin d’un milliard de trésorerie d’ici fin 2025 et après le coût de la dette, il ne restera plus grand chose des 1,75 milliard d’euros des nouveaux prêts.

    Le cash, le cash, le cash: les banques du groupe n’ont que ce mot à la bouche. Après avoir perdu environ 150 millions d’euros chacune, les banques françaises vont couper leurs liens avec Atos. BNP Paribas a déjà annoncé qu’elle vendra ses actions Atos et ne participera pas à son financement. Les autres devrait suivre.

    Le PDG d’Atos, Jean-Pierre Mustier, qui cèdera sa place à Philippe Salle en février, a bien essayé de les retenir au mois de septembre, en vain. Il sait que sans banque française pour tenir la barre, le bateau risque le naufrage. Pour le moment, seules Barclays et Deutsche Bank continueront à assurer sa liquidité au quotidien. « Le groupe va être débranché des banques », reconnaît un proche des nouveaux actionnaires qui assure qu’ils restent toutefois « sereins ».

    Le démantèlement revient sur la table

    Une période de survie en apnée inédite pour un grand groupe français, autrefois au Cac 40.

    « Atos ne passera pas 2025, prédit un des négociateurs les plus impliqués dans la restructuration. Le groupe n’aura pas d’autre choix que d’être démantelé. »

    C’est ce à quoi se préparent tous les acteurs du dossier. Une scission entre, d’un côté, les activités d’info-gérance et de l’autre, le cloud et la cybersécurité avait été envisagée il y a un an, avant la restructuration d’Atos. C’est là que les deux candidats à la reprise du groupe, Daniel Kretinsky et David Layani s’étaient manifesté. Le milliardaire tchèque lorgnait les activités historiques d’info-gérance quand le fondateur de Onepoint visait les métiers du digital et du cloud. Ce scénario pourrait revenir.


  • 31 décembre 2024 11:47

    Depuis atos a validé environ 850 Meuros de vente d une activité peu rentable céder a l état et d une activité très rentable céder à alten. En espérant que ca suffira


  • 31 décembre 2024 11:49

    Cédée pardon


  • 31 décembre 2024 12:23

    Citation de rooting

    «C’est ce à quoi se préparent tous les acteurs du dossier. Une scission entre, d’un côté, les activités d’info-gérance et de l’autre, le cloud et la cybersécurité avait été envisagée il y a un an, avant la restructuration d’Atos. C’est là que les deux candidats à la reprise du groupe, Daniel Kretinsky et David Layani s’étaient manifesté. Le milliardaire tchèque lorgnait les activités historiques d’info-gérance quand le fondateur de Onepoint visait les métiers du digital et du cloud. Ce scénario pourrait revenir.»

    Déjà recalé par les créanciers qui ont préféré se couper un bras, l'offre de Layani ou de Kretinsky est vraiment le scénario le plus improbable, à moins qu'elle ne soit vraiment améliorée. Leur idée c'était d'acheter à la casse, l'idée des créanciers c'est qu'une meilleure option devait être possible, à la date de la décision, est-ce qu'ils s'en mordent les doigts ? Mystère.

    Je n'ai aucun scénario le plus probable, les Ak sont comme une rustine sur une chambre à air

    cas n°1 le trou est bouché, les affaires reprennent sans faire de miracle

    cas n°2 le trou est bouché mais mêmes causes mêmes effets, Atos continue à brûler du cash = rebelote AK ou liquidation.


  • 31 décembre 2024 12:25

    Les AK sont comme une rustine, mais si les pneus sont po*urris ou inadaptés, même un bon pilote ne fera pas bien avancer le bouzin. Les activités d'Atos sont peut-être en régression et les relais de croissance difficiles à trouver.

    Mais pour un autre acteur du secteur, Atos pourrait être une opportunité de croissance, sans rester dans le franco-français, ce n'est pas les entreprises qui manquent dans ce secteur. Ce n'est pas dit que les actionnaires en profitent beaucoup en cas d'une opération par bloc à petit prix (mais un peu plus que ce que donnaient Layani ou Kretinsky)


  • 31 décembre 2024 12:42

    Oui et le juge de paix sera lors des perspectives 2025 ou avant si PW. Atos a revu de façon majeure ses perspectives simplement 4 mois après plan de restructuration ce qui montrait qu il ne maîtrisait pas grand chose. Si rebelotte à la prochaine publication je ne donne pas cher du titre. J ai du mal à croire que le marché va faire monter le titre significativement avant ce point annuel vu les déconvenues successives. Si confirmation des perspectives de Marge opérationnelle pourrait monter significativement.


  • 31 décembre 2024 12:54

    justinfo tu repars dans la démagogie alors que tu avais désormais une approche très saine.

    Le chiffre d'affaire que j'ai estimé et qui fera l'objet d'un article peut-être ce soir, sera l'effondrement du CA de 2025 de 10.5Md€ prévu à entre 8.3 et 8.5Md€ réalisés et environ 1Md€ de cash brulé en 2025.


  • 31 décembre 2024 12:56

    Ils seraient bien inspirés en se séparant de ceux qui ont faillis.


  • 31 décembre 2024 13:01

    Dîtes-moi à quelle église elle nous attend, j'y accours 🐧​.


  • 31 décembre 2024 13:07

    Map. Pour ma part je visais 9 mds en 2025 avec ventes d actifs et une décroissance organique de l ordre de 5%, atos vu son carnet de commandes ne pouvant que faire bcp moins bien qu un secteur qui sera en berne en 2025 mais qui présente des ratios de carnet de commande très supérieurs à atos. Le nouveau patron qui sera jugé sur l atteint des objectifs n aura pas d autre choix que de les rendre atteignable à la prochaine publication.


  • 31 décembre 2024 13:41

    Toutes ces supputations tant soient peu réalistes négativement, seront attiser à l’inverse, mais seulement si rétablissement de la confiance et retour des investisseurs..! Les actionnaires actuels (créanciers d’Atos) dont déjà un partie à clairement annoncée ses intentions de sorties, n’ont aucune vocation à gérer une boîte comme Atos et à y rester investie, leur but prioritaire actuellement étant de limiter la casse sur leur investissement (très mal engagé), ce constat ne laissant la place à aucun doute, il est donc à souhaiter pour Atos et naturellement les éventuels actionnaires présents, que le nouveau management soit capable de démontrer quelques signes encourageants et sous très peu de temps ce qui n’est pas du tout à exclure non plus, il est donc inutile de tirer des conclusions hâtives et de tirer sur l’ambulance avant que de probables futures décisions puissent donner une nouvelle chance à un groupe qui représente tout de même être un leader dans de nombreuses spécialités de son métier.


    Donc un peut d’attentisme est surement préférable à des propos lapidaires qui n’ont actuellement aucun sens.
    wait and see..!


  • 31 décembre 2024 14:10

    Je vois plutôt une vente à la découpe des meilleurs morceaux, et retour de valeur aux créanciers.


  • 31 décembre 2024 14:16

    "Lorsqu’on acquiert un actif en difficulté, comme une maison en ruine, il est bien plus rentable d’investir dans des travaux pour la remettre en état avant de la revendre.
    Cela permet non seulement d’attirer davantage d’acheteurs, mais également de maximiser la valeur de revente."

    Pas forcément. Parfois, les travaux de réfection delà maison en ruine n'en valent pas la chandelle. Mieux vaut raser, évacuer les gravats, et vendre le terrain nu.

    De même, selon le lieu, l'etat du marché, etc. certains préféreront faire des travaux pour améliorer le DPE avant de vendre, et d'autres non.


  • 31 décembre 2024 14:19

    Idem quand on achète un terrain : les promoteurs voudront construire et maximiser la valeur, mais ça va être long (permis, recours, repermis, re-recours, construction, retards, ...) et les aménageurs se contenteront de mettre en place les arrivées d'eau et d'électricité, de découper le terrain, et de revendre les lots. C'est beaucoup plus rapide, on immobilise moins longtemps les fonds propres.


  • 31 décembre 2024 15:20

    Il n y aucune supputation sur la décroissance organique 2025 vu les très mauvais booking T2 et T3 et l inertie contractuelle du secteur. Elle est certaine. Je la vois à 5% et Map à 10%. Il faudra revoir objectifs 2025 de «marge opérationnelle en absolu en fonction lors des résultats 2024.


  • 31 décembre 2024 16:27

    Bonjour map

    Sincèrement, votre travail pour sensibiliser les petits porteurs avant l'effondrement, principalement causé par le mur de la dette, a été remarquable. Aujourd'hui, la situation d'Atos a changé : la société n’a plus de dette à rembourser avant 2029. Il est donc crucial de lui laisser le temps nécessaire pour rebondir.
    Certes, le chiffre d’affaires (CA) va probablement s’effondrer, mais cela n’a rien d’inquiétant. Bien au contraire, c’est une bonne chose.
    Une entreprise ne se valorise pas sur la base de son CA, mais sur ses marges et sa rentabilité.
    L'objectif pour Atos doit être de se débarrasser des branches de CA non rentables pour se concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée.

    D’ailleurs, à quoi servait à Atos d’afficher un CA de 11 milliards d’euros alors que la société était devenue une penny stock ? Absolument à rien. Sans rentabilité, un gros CA est vide de sens.
    Atos doit se recentrer sur des activités rentables car ça sera la clé pour restaurer la crédibilité et la valorisation d’Atos à l’avenir.


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