ATOS : CEUX (dont nous) qui ATTENDAIENT le 10……,

M2122226

10 décembre 2024 •13:10

Le 6 ou le 10, franchement, qu'est-ce que ça change ? ça cote au même niveau ...

Stefdemonaco

10 décembre 2024 •13:19

M2122226 Pas forcément puisque la Vad qui était impliquée devait se racheter sur d'autres bases ..?

Et forcément sur un cours théorique de 0,0037, qui aurait servi de base de rachat ..!

joker32

10 décembre 2024 •13:19

Le 6 ou le 10 ne change rien à l affaire.
Seuls les mauvais perdants y trouvent à redire pour trouver des explications à leurs MV ..
Leur attitude serait très différente si le cours était à 0,005 euro...

debutant2B

10 décembre 2024 •13:37

M2122226

10 décembre 2024 •13:10

Le 6 ou le 10, franchement, qu'est-ce que ça change ? ça cote au même niveau ...

M2122226
Rien ne vous permet d'affirmer que ça aurait coté au même niveau si les actions n'avaient été vendues qu'aujourd'hui, date où elles devenaient admissibles à la négociation sur Euronext.
Le cours depuis vendredi matin est totalement encadré (ce qui n'arrive jamais sur Atos), et son niveau a été déterminé par les évènements qui se sont produits mendant quelques heurs vendredi matin avant l'ouverture et pendant la suspension matinale, à savoir :
- côté vente : des ordres portant simultanément sur plusiuers centaines de millions ou milliards de titres (pour un capital de 110 millions en circulation seulement, cherchez la cohérence)
- côté achats : des acteurs qui, quel que soit leur profil ou leur projet, avaient vraisemblablement réglé leurs actions, robots, etc sur la seule base existante, à savoir un capital de 110 M de titres.


Quand vous voyez dans le CO avant ouverture et juste après pendant la suspension, des ordres à cours limité à l'achat, jusqu'à 0,27 €, mais pour quelques milliers de titres (14 000 titres sur 0,24 par exemple), et à la vente, des ordres à cours limité dont certains pèsent 20 millions de titres (pour un seul ordre, soit plus de 15 % du capital d'Atos, sachant qu'aucun actionnaire n'avait déclaré détenir plus de 5% du capital), avec un cours limité à 0,0024 ou 0,0025, vous arrivez mécaniquement à un cours d'équilibre théorique avant ouverture et avant cotation qui penche très défavorablement...

Des ordres 100 fois en dessous de cours de cloture, qui pèsent 20 M de titres chacun VS des ordres 10% au dessus du cours de cloture, qui pèsent quelques milliers ou dizaines de milliers de titres, soit mille fois moins.

Ce déséquilibre n'est pas seulement dû à une différence d'engouement des vendeurs ou des acheteurs, comme cela aurait pu se produire en conditions normales ce matin.

Ceci est dû au fait que les vendeurs avaient des centaines de millions ou millairds de titres à jeter, pendant que les acheteurs, même avec la plus grande envie du monde, ne pouvaient placer en préouverture que des ordres calés sur la réalité du capital d'Atos avant livraison des titres.

debutant2B

10 décembre 2024 •13:39

si vous ne parvenez pas à voir ce qui permet d'affirmer que ce cours a été totalement manipulé, alors c'est soit que vous êtes aveugle, soit de mauvaise foi, soit que vous êtes comme certains autres ici influencés par des considérations qui ne garantissent pas vos objectivité... (je teste la modération, là , vous aurez bien compris à quoi je fais référence)

debutant2B

10 décembre 2024 •13:45

Vous constaterez qussi que depuis que le cours s'est calé sur le plus bas des ordres à cours limités inscrits au CO vendredi matin (plus exactement sur le second plus bas, le plus bas étant à 0,0023), il y a un équilibre quasi parfait dans les CO en préouverture et en journée.

Le cours a été fixé a priori et le marché enfoncé pour y parvenir.

LE vrai mystère, c'est que depuis l'effraction, que constate t on :
- quasi plus de volumes : tout ça pour ça? à part quelques opportunistes qui ont au la bonne idée de se placer sur l'action à ce cours, personne n'achète ni ne vend
- un silence assourdissant des autorités et de la société, silence parfaitement relayé par la presse hormis ABC Bourse.


Pourquoi donc?

De mon point de vue, on est dans une situation ou les petits malins vont commencer à avoir peur de leur ombre.
La balle est dans le camp des magistrats à au moins deux niveaux :
- les juges du TC : je vois mal les mandataires, qui sont des grands courageux mais pas trop quand même, garder pour eux le secrète de la manip qu'on leur a signalée, sans en faire part au Tribunal
- le procureur (plaintes au PNF réceptionnées).

La seule chose qui effraie encore dans notre pays, ce sont les magistrats.

Ceci explique peut être le calme actuel