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ATOS : Comparaison des trois possibilités/chemins d'entrée au capital du futur ATOS

18 juin 2024 16:28

Bonjour à tous,
Depuis le choix du repreneur, et au vu de ce qui était connu du contenu de son offre de reprises, quelques analystes financiers ont fixé un objectif de cours pour l’action Atos, une fois l’entreprise partiellement désendettée et recapitalisée.

Cet objectif de cours est compris, selon les analystes, entre 0,01 et 0,03 €/action, sur la base d’une dilution d’environ x1000 soit 100 milliards d’actions… et d'une capitalisation de l’entreprise comprise entre 1 et 3 Mds d’euro
s Je vous livre mes petits calculs qui visent à comparer très sommairement les trois manières de devenir actionnaire de cette entreprise :
1)La manière la plus simple, la moins risquée, celle qui n’immobilise pas d’argent : attendre 6 mois à 1 an et acheter des titres au marché, en espérant pouvoir les acheter entre 0,01 et 0,03 €, comme suggéré par les analystes. Si le scenario se produit : 1 action future aura couté entre 1 et 3 centimes. Si la situation empire, l'actionnaire n'aura rien perdu, puisqu'il n'aura pas investit... si elle prospère, il paiera plus cher... Qui vivra verra.


2)La manière « subie », celle qui va être imposée aux créanciers, dont la dette va être massivement convertie en actions. D’après ce que nous savons du contenu de l’offre de Layani, 2,9 Mds d’euros de dette seront convertis en 70% du capital futur, soit 70 Milliards d’actions. Un créancier détenant 1€ de dette d’ATOS, qui refuserait de participer à l’apport de new money demandé par ATOS, verrait donc son euro de dette converti en 24 actions environ (70 Mds / 2,9 Mds= 24,13). Une action future aura donc coûté à ce créancier l’équivalent de 1/24,13= 0,0414 € de la dette actuellement détenue.
Vous noterez que l’action revient bcp plus cher pour le créancier que pour le futur investisseur qui attend d’acheter des titres au marché. Ces dernières semaines, les obligations ATOS s’échangeaient autour de 20 à 25% du nominal, jusqu’à vendredi soir. On ne sait pas ce qui motivait des fonds à acheter ces obligations : le fait de pourvoir participer au refinancement d’ATOS en new money à des taux élevés, ou le fait d’obtenir le droit de convertir ces obligations en actions ? ou un peu des deux ? Ou le besoin de « peser » dans les négociations en cours sur le plan de sauvegarde, qui doit être approuvé par deux tiers des créanciers. Si on imagine que parmi ces fonds, certains achètent la créance ATOS dans le seul but de la convertir en actions après dilution, ça signifie que c’est comme si ces fonds achetaient la future action à un cours compris entre 0,2 et 0,25 fois le cours de 0,037 que je calculais précédemment, soit entre 0,001035 et 0.00828 euros par action future. Vous noterez que ce cours est inférieur au cours « marché visé » par les analystes…
C’est ce qui amène certains membres du forum à affirmer que les créanciers vendront leurs actions à un cours proche de leur "cours de revient", ce qui amènera le marché post AK vers ces niveaux très bas, comme ce fut le cas pour ORPEA.
Ce raisonnement est valable pour ce qui est du cours de conversion dette/capital : en effet, un ancien créancier qui attend de récupérer 1€ de dette qu’il ne reverra jamais, peut être enclin à se débarrasser de ses actions vite et pas cher pour retrouver des liquidités. Par exemple, un banquier, dont la dette a un cout de revient qui n’est pas soumis aux aléas du marché, va peut être chercher à liquider ses futures actions…. Mais son « cout de revient » des actions est de 0,0414 dans notre exemple… il n’a donc aucun intérêt à vendre aux alentours de 0,01… En revanche, un obligataire qui vient d’acheter ces dernières semaines à 20% du nominal, en connaissant parfaitement les données du projet de plan de sauvegarde, n’investit pas pour se débarrasse dans 6 mois à perte. Il investit pour gagner de l’argent dans 6 mois… et donc surement pas pour revendre sous 0.01 €/action.Nous aurons sans doute l'occasion d'échanger sur ces perspectives le moment venu.

3)La manière « courageuse », celle qui pourrait être accessible à tout actionnaire actuel dans le cas d’une application forcée interclasse du plan de sauvegarde : en utilisant la totalité de ses droits de préférence pour participer à l’AK numeraire aux mêmes conditions que D Layani. En cas d’application forcée du plan (si une majorité d’actionnaires le rejette), un actionnaire détenant 1 action (1€ de capital, au nominal), sera prioritaire pour la souscription de 1/111 Millions des actions émises dans l’AK numeraire, c’est-à-dire 30% du futur capital dilué.
La préférence porte donc sur l’émission de 30% x 100 Mds x 1/111 Millions soit 270 actions.
L’AK numeraire prévoit l’injection de 250 M€ pour 30% du capital, soit 30 Mds d’actions, soit un cours de souscription de 0.00833 € /action. Pour le détenteur d’une action, au prix de 1€, la souscription permet d’acheter 270 actions (pour en avoir 271 au final), pour une participation de 2,25 euros supplémentaires.
Notre actionnaire peut donc avoir 271 actions pour 3,25 € (en ajoutant le prix de son action initiale, le nominal et le cours de bourse étant aujourd’hui voisins). Soit un coût de revient de la future action post dilution de 3.25/271 = 0.0119.


Conclusion : Vous constaterez que ces règles de trois aboutissent à un constat convergent. Le cours des obligations jusqu’à la semaine dernière (20 à 25% du nominal), comme le cours actuel de l’action (voisin d e 1€/action), sont compatibles avec le scenario d’une entrée au capital des obligataires et des actionnaires (ceux qui achètent en ce moment) à un cours moyen de revient qui avoisinerait 0,01 €/action… (sorte de futur PRU), et l’espoir que l’action cotera sur le marché après AK à un niveau supérieur, au pire égal à 0,01 et au mieux égal à 0,03, soit une culbute par 3 pour ceux qui prennent le risque aujourd’hui…

C’est à mon avis une des raisons, sinon la principale, qui explique pourquoi le cours ne se dirige pas vers 0,03 € comme prédit par rooting et d’autres… mais semble s’attarder au-dessus de 1 €…. Voire plus ?

27 réponses

  • 18 juin 2024 16:31

    pardon erreur de transcription : il fallait lire 0,0414 et non 0,0037 dans la phrase "ça signifie que c’est comme si ces fonds achetaient la future action à un cours compris entre 0,2 et 0,25 fois le cours de 0,037 que je calculais précédemment, soit entre 0,001035 et 0.00828 euros par action future."
    Le résultat final lui, ne change pas


  • 18 juin 2024 16:33

    et juste après il fallait lire "0,01035 et 0.00828 euros par action future" et non 0.001035.... j'avais mis un zer0 de trop...
    pardon pour les coquilles sans impact sur la conclusion


  • 18 juin 2024 16:52

    Sacré dilution ca fais peur, t'es sur de toi


  • 18 juin 2024 16:57

    Bonjour, "soit un cours de souscription de 0,00833 € / action".
    Plutôt 0,0000833 € non ? (250000/30000000000)


  • 18 juin 2024 17:02

    Non Paotr
    Quand même pas ! J’aurais bien aimé une souscription mille fois moins cher que le cours cible mais fait pas rêver !
    L’ak numéraire injecté 250 millions
    Pas 250 000


  • 18 juin 2024 17:02

    Pardon c'est moi qui me suis trompé. Autant pour moi. (250000000/30000000000)


  • 18 juin 2024 17:03

    La dilution n’a pas à faire peur
    Elle est annoncée
    On se base sur cette dilution
    Plus la dilution est importante plus le nombre d’actions à souscrire par préférence sera élevé

    Donc plus la question du cours de conversion est cruciale


  • 18 juin 2024 17:19

    Les actions au nominatif donnent des conditions préférentielles pour participer à des augmentations de capital. à vous de voir !!


  • 18 juin 2024 17:38

    Une des solutions pour pas trop perdre


  • 18 juin 2024 17:42

    C’est exactement comme ça que je raisonne @A244252


  • 18 juin 2024 17:46

    debutant2B Je ne comprend pas la conclusion de votre long message: L'action n'a aucune raison rationnelle d'être à ce cours de 1 euro. Par ailleurs, je n'ai vu aucune annonce d'AK réservée aux actionnaire (a part Layani).


  • 18 juin 2024 18:33

    Bonsoir dutch2

    Si vous suivez bie. Les trois scénarios décrits et que vous imaginez que j’opte pour le troisième :

    Si j’achetais une action à 1€ aujourd’hui j’aurais potentiellement le droit d’acheter dans quelques semaines 270 futures actions à 0,02 centimes en dessous de fourchette basse de la valorisation future du cours (t’elle que prévue par les analystes)
    Je fais donc le pari que le cours post AK ne descendra pas plus bas que le cours ciblé par les analystes.

    Si mon pari se réalise, l’avantage que me procurera l’action acquise aujourd’hui vaudra dont 0,02x 270 soit de l’ordre de 5,4 euros

    Vous avez raison sur le fait que la Yani n’évoque aucune ak réservée aux actionnaires (a part lui)
    Il peut nous priver de ce droit de préférence… uniquement s’il assure la majorité de l’AG
    Dans le cas contraire il y sera contraint
    C’est la loi…

    Donc soit layant ou les créanciers achètent pour avoir la majorité et ça tire le titre à la hausse
    Soit ils ne cherchent pas la majo et nous avons droit à cette AK… et mon action peut me procurer un avantage de l’ordre de 5 euros d’après mon calcul sommaire

    Soit la Yani a déjà la majorité , le cours n’est pas vraiment monté et nous sommes cuits sans autre perspective d’éviter le naufrage

    Le champ des possibles est très large
    C’est ce qui crée les conditions de cette volatilité spéculative … ce n’est pas que de la technique de traders


  • 18 juin 2024 19:05

    Oui debutant2B très pertinent, mais tout ceci n'est en fait échafaudé QUE sur des suppositions. !
    Et dont nous sommes condamnés à attendre le dénouement probable...!
    Même à rajouter que certains investigateurs (et donc au courant avant nous) doivent bien rigoler..!


  • 18 juin 2024 19:10

    C’est très juste @Scyllia
    Nous ne savons pas tout
    Mais nous pouvons espérer, en l’absence de d et la rations de franchissement de seuils, que la majorité n’est pas encore acquise

    Et dans le cas extrême ou comme @victorda l’a envisagé, on nous confisquerait la montée du cours par une OPA rampante et masquée , nous aurions alors un argument massue pour demander à la mandataire de nous constituer en une classe d’actionnaires distincte de celle des fonds entrés dans la dernière ligne droite pour nous spolier

    Et si nous sommes regroupés dans une classe à part, nous sommes presque sauvés, puisque nous aurons le droit à notre priorité sur l’AK en numéraire


  • 18 juin 2024 19:19

    Oui et en gros, il ne faut pas écarter ceci et donc l'éventualité qu'une bonne partie des acheteurs (soutenants indirectement le cours) seraient en train de se constituer un capital titres en vue de l'AK ..?


  • 18 juin 2024 19:22

    Si ce n'est pas la majorité, ça peut tout de même contribuer à ce qu'on assiste ..?
    Et également répondre surement (en partie) à ma question sur le cours ...?


  • 18 juin 2024 19:29

    Bonsoir à vous,

    Je me permets de vous demander vos impressions. Au regard de son narratif dans le médias (peu d’interviews mais une certaine continuité dans le contenu), vous imaginez monsieur Layani déterminé à sacrifier sa possible montée au capital pour s’accorder l’AK réservée, sans nous demander d’y participer?

    Face à l’Etat et ses alliés, quid du prix, trop bas n’est plus à son avantage non?


  • 18 juin 2024 19:34

    Désolé debutant2B ,

    Je sais l’hypothèse d’une OPA rampante déprimante mais je préfère imaginer aussi le scénario du pire. Et la, quid des autorités, car on peut sérieusement se poser des questions depuis le coup de l’homonymie avec la dirigeante de l’AMF


  • 18 juin 2024 19:43

    Bonjour, Honnêtement je ne comprends rien, j'ai 310 actions en MV de 83%, je fait quoi ? Perso je suis tenté de prendre la perte maintenant mais naturellement j'hésite en voyant une remontada incompréhensible.


  • 18 juin 2024 19:50

    Bonsoir Victorda, oui ça peut paraître évident, et selon ce que debutant2B à eu la gentillesse de détailler, il semble indéniable que du soutient (via achat) s'impose sur le cours.!
    Et naturellement quelque chose semble se dessiner, (dont votre possibilité) mais ce dont on ne peut pour l'instant que laisser supposer ...?

    Désolée d'être si peu affirmative, mais je suppose que bon nombre ici ne s'y retrouvent plus non plus .!


  • 18 juin 2024 20:27

    Bonsoir Scyllia ,

    Autant le mois de Mai a été un game changer dans la bataille contre le premier triumvirat, autant la dissolution est un game changer au détriment du second triumvirat. J’ai envie de croire que c’est à l’avantage de monsieur Layani et qu’il aura à cœur de restaurer la confiance brisée par les précédentes manœuvres…
    (J’ai une hypothèse d’une confiscation des titres par les créanciers depuis 10 mois et que depuis, il y a une organisation hors marché pour transmettre la majorité au capital au consortium OnePoint/BI/Econocom, celui-ci n’ayant pas vocation à nous écraser mais à proposer une AKthena avec tous les résistants à un prix suffisamment intéressant pour que l’Etat n’aie plus de billes pour tenter la spoliation, ni la nationalisation)

    À suivre


  • 18 juin 2024 20:52

    Bonjour Scyllia
    Le Mistral souffle toujours?


  • 18 juin 2024 21:40

    De retour @Y8426691..., petit repas expéditif (seule) mon copain regarde le foot avec ses copains et ils mangent un peu ce qu’ils veulent,
    certainement pizzas, bref, oui avec ce comportement du cours c’est sur que ça interroge et que toutes les hypothèses sont pourquoi pas crédibles sinon probables,?


    Mais j’avoue modestement ne rien écarter, et je me garderai bien d’avoir un avis arété et tranché…!

    Oui, Alain-Paris, pas très fort mais nous avons toujours un peu de mistral, faut dire aussi que ça concerne surtout le golfe du lyon (Marseille et ses environs) alors que moi je suis située tout à fait à l’est du département du var ou le mistral n'est que rarement très fort..!

    PS avec ce cours agité vous devez vous prendre plein de + values, plus modestement moi aussi un petit peu, quelques centaines d'€ par trade, mais c'est toujours bon à prendre..!


  • 18 juin 2024 21:55

    Pardon, "quelques centaines d'€ par trade", sans vouloir être prétentieuse, c'est plutôt quelques centaines d'€ grâce à quelques trades, ! Là c'est plus correct.


  • 18 juin 2024 23:04

    Bonsoir @victorda
    Votre hypothèse de l’opa rampante est plausible. Je n’y crois Ps, mais uniquement du fait d’un biais de perception . En réalité, je veux ne pas y croire

    Néanmoins si ce processus était celui qui est en train de se réaliser, que pourrions nous en retirer :
    - un bon argument pour nous constituer en partie lésée, délibérément et par un moyen qui contourne les règles applicables, dans une phase critique

    - un moyen de plaider auprès de la mandataire et du TC pour obtenir la constitution de plusieurs classes de péries d’actionnaires, en demandant à bien être séparés des « gros » venus à notre insu pour prendre le contrôle du K en vue d’un seul vote en AG. Nous aurions toutes les cartes en mains pour prouver que ces gens et nous ne partageons pas les mêmes intérêts… et donc pour que nous ne soyons pas noyés dans leur classe de partie. Si nous sommes une classe « à part » nous avons certitude de pouvoir être traités comme classe dissidente et nous sommes sauvés

    Dans le cas de casino, impossible pour les PP de contester qu’ils avaient de longue date partagé des intérêts avec Naouri qui faisait pencher la balance au moment du vote
    Dans le cas orpea, il y a eu contestation sur la définition des classes de parties et le recours était pendant au moment de l’approbation du plan… mais même en cas de victoire, la caisse des dépôts ne serait Pas ça près ! Donc ils ont assumé ce risque juridique


    Dans le cas Atos : Quel intérêt laYani aurait il a prendre un tél risque juridique vis à vis de nous? Et tout ça, uniquement pour nous faire la peau? Ça me semble dénué de sens …

    Bonne soiree


  • 18 juin 2024 23:44

    Bonsoir debutant2B ,

    Disons que tout doit être imaginé, surtout que le pool créancier, par sa diversité, a tout loisir de nager sous les 5%, comme LGIM entre 5 et 9,9%…

    La question centrale réside en les relations entre monsieur Layani et ce pool. Serons nous bien traité ou pas, et la caution française peut elle avoir une quelconque valeur pour que nous soyons invités à la table républicaine. J’ose espérer que les propos que j’ai lu pour être resté sur le front ne sont pas des erreurs d’appréciations de ma part mais tout doit être envisager car en définitive, nous ne savons rien.


  • 19 juin 2024 08:01

    L’offre de l’état porte sur une valeur d'entreprise globale de 700 millions d'euros minimum et les étalements de la dette sur les 10 prochaines années pour les créanciers suffit de faire monter le cour .


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