NOVACYT : Mpox UK: cas no. 7

jean-n23

27 janvier 2025 •19:52

Très intéressant pour un novice comme moi !!!!! Il y aurait une bonne explication française ce serait plutôt sympa !!!

lenoirt1

27 janvier 2025 •20:43

Un autre cas de la nouvelle souche mortelle de mpox a été détecté au Royaume-Uni, ont confirmé aujourd'hui les autorités sanitaires.

La mutation du clade 1b, que les experts ont qualifiée de « la plus dangereuse jusqu'à présent », tue une personne infectée sur dix et serait à l'origine d'une vague de fausses couches.

Cela porte désormais à sept le nombre total de cas confirmés en Grande-Bretagne.
Les autorités ne savent pas encore comment ils ont été infectés par cette souche.

Mais ils étaient « récemment » revenus d'Ouganda au Royaume-Uni, a déclaré l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA).

Les responsables de la santé affirment qu'ils considèrent toujours que la menace que représente le clade 1b pour la population est « faible ».

La professeure Susan Hopkins, conseillère médicale en chef de l'UKHSA, a déclaré : « Le risque pour la population britannique reste faible.

« Les contacts proches ont été identifiés et ont reçu des conseils appropriés afin de réduire le risque de propagation supplémentaire. »
Le premier cas de mpox au Royaume-Uni a été détecté après que le patient non identifié a développé des symptômes pseudo-grippaux, suivis d'une éruption cutanée et s'est rendu aux urgences le 27 octobre où il a été testé.

Ils ont ensuite été transférés dans une unité d’isolement de haut niveau du Royal Free Hospital, dans le nord de Londres , le même établissement où les cas importés d’ Ebola ont été traités en 2015.

En novembre, les autorités ont confirmé que quatre autres patients étaient traités au Guy's and St Thomas' NHS Foundation Trust et au Sheffield Teaching Hospitals NHS Foundation Trust avec cette souche.

Plus tôt ce mois-ci, un sixième cas – qui n’avait aucun lien antérieur avec les autres cas – a également été détecté dans l’East Sussex.

Ils étaient également récemment revenus d'Ouganda et les autorités ont déclaré qu'ils étaient désormais sous soins spécialisés au Guy's and St Thomas' NHS Foundation Trust.

Une épidémie mondiale de mpox, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a débuté en Afrique en mai 2022.

Mais la dernière souche Clade 1b est considérée comme beaucoup plus mortelle.

L'épidémie s'est propagée en Afrique centrale, tuant au moins 1 000 personnes depuis le début de l'épidémie.

lenoirt1

27 janvier 2025 •20:44

Des pays comme la République démocratique du Congo ont été particulièrement touchés, avec des cas également détectés au Burundi, au Rwanda , en Ouganda et au Kenya.

Toutefois, les experts affirment que les taux de mortalité du clade 1b d’Afrique centrale sont peu susceptibles d’être reproduits dans les pays développés comme le Royaume-Uni en raison d’un meilleur accès à des soins de santé de meilleure qualité.

Les cas recensés en Grande-Bretagne signifient qu'elle rejoint des pays comme les États-Unis, la Suède, la Thaïlande , l'Inde et l'Allemagne, qui ont enregistré des cas en dehors de l'Afrique.

En juillet, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré qu’une épidémie de mpox en cours dans plusieurs pays d’Afrique centrale constituait une « urgence de santé publique de portée internationale ».

En savoir plus
Avertissement : un nouveau cas de la souche terrifiante de mpox découvert au Royaume-Uni - désormais pris en charge dans un hôpital de Londres
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Il s’agit de la même appellation que l’OMS a donnée au Covid fin janvier 2020, quelques semaines seulement avant que le virus ne se propage à travers le monde.

La Mpox provoque des lésions grumeleuses caractéristiques, ainsi que de la fièvre, des douleurs et de la fatigue.

Cependant, dans un petit nombre de cas, il peut pénétrer dans le sang et les poumons, ainsi que dans d’autres parties du corps, et devenir alors mortel.

Les vaccins MPO actuels, conçus pour agir sur la variole, un proche parent du virus MPO, ont été utilisés lors de l’épidémie de 2022 contre la souche la plus bénigne.

Mais ils n’ont pas encore été largement testés contre la souche plus puissante du clade 1b.

L’OMS et le NHS recommandent un vaccin dans les quatre jours suivant le contact avec une personne atteinte du virus ou dans un délai maximum de 14 jours en l’absence de symptômes.

Il est conseillé aux professionnels de la santé et aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes de se faire vacciner même s’ils n’ont pas été exposés au MPOX.

Il n’existe pas de traitement direct disponible, les médecins se concentrant plutôt sur l’accompagnement du patient pour aider son corps à combattre le virus.

alinoe_

04 février 2025 •23:04

"Les vaccins MPO actuels, conçus pour agir sur la variole, un proche parent du virus MPO, ont été utilisés lors de l’épidémie de 2022 contre la souche la plus bénigne.



Mais ils n’ont pas encore été largement testés contre la souche plus puissante du clade 1b."

Et pour cause... on en est a considérer les cas 1 par 1