Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Fermer
Forum CROSSJECT
1,6760 (c) EUR
-0,12% 

FR0011716265 ALCJ

Euronext Paris données temps réel
  • ouverture

    1,6820

  • clôture veille

    1,6780

  • + haut

    1,7060

  • + bas

    1,6720

  • volume

    112 267

  • capital échangé

    0,22%

  • valorisation

    85 MEUR

  • dernier échange

    22.08.25 / 17:35:23

  • limite à la baisse

    Qu'est-ce qu'une limite à la hausse/baisse ?

    Fermer

    1,5940

  • limite à la hausse

    Qu'est-ce qu'une limite à la hausse/baisse ?

    Fermer

    1,7580

  • rendement estimé 2025

    -

  • PER estimé 2025

    Qu'est-ce que le PER ?

    Fermer

    -

  • dernier dividende

    A quoi correspond le montant du dernier dividende versé ?

    Fermer

    -

  • date dernier dividende

    -

  • Éligibilité

    Qu'est-ce que le PEA ?

    Fermer

    Qu'est-ce que le PEA-PME ?

    Fermer
  • Risque ESG

    Qu'est-ce que le risque ESG ?

    Fermer

    -

  • + Alerte

  • + Portefeuille

  • + Liste

Retour au sujet CROSSJECT

CROSSJECT : Article dans Le Figaro 22/08/2025 Par Emmanuel Gentilhomme

22 août 2025 09:30

Et si en Bourse, la meilleure décision était le plus souvent de ne rien faire du tout ?


POINT DE VUE - Acheter des actions, les vendre, les racheter, les revendre, et ainsi de suite : voici à quoi ressemble souvent la vie du portefeuille boursier des épargnants. Mais si en faire moins permettait de gagner plus ? Éloge estival de l’immobilisme.

Pour qui gère son portefeuille d’actions dans une optique patrimoniale, toutes les décisions sont difficiles, qu’il s’agisse d’acheter une action comme de la vendre. Car il arrive que l’affaire ne tourne pas comme on l’avait souhaité : quel boursier peut honnêtement prétendre le contraire ?

Plus près de nous, qui n’a pas pris peur après l’une des innombrables vitupérations du président Donald Trump ? D’autant qu’il n’est pas ici question de casino, mais d’investir de l’argent que l’on se retient de consommer dans le but de le faire fructifier, par exemple dans la perspective de sa retraite.

Des actionnaires pris de bougeotte

Peut-on ainsi expliquer que «la durée moyenne de détention des actions américaines était de cinq mois et demi en juin 2020 quand elle se situait autour de cinq ans entre les années 1940 et 1980. La spéculation semble avoir pris l’ascendant sur l’investissement», comme l’écrivait dans sa thèse de doctorat Thibault Le Flanchec, désormais l’un des gérants du cabinet breton La Financière de La Clarté ?

Entre-temps, la Bourse a bien changé: la puissance des infrastructures de marché permet de traiter bien plus d’ordres qu’auparavant, d’où l’apparition du trading à haute fréquence, les frais de courtage ont chuté, et l’analyse technique, par essence court-termiste, a trouvé son public. Pourquoi pas. Après tout, il existe autant de pratiques de la Bourse que de boursiers.

Par-delà les effets de mode, une gestion «sereine»

Peu sensible aux effets de mode, La lettre des placements ne s’en tient pas moins à une approche plus sereine, mais pas nonchalante pour autant: bien sûr, nous tranchons dans le vif quand une dégradation des fondamentaux et/ou du momentum le commande. Sinon, les avis préconisant de conserver les valeurs sous conseil sont très nombreux dans nos colonnes, et ceux indiquant de renforcer ne sont pas en reste.

Pourquoi ? Car au-delà du vacarme du court terme, une entreprise a besoin de temps pour faire face aux aléas et déployer la stratégie menant à la croissance de ses bénéfices, qui était et reste le principal déterminant des valorisations boursières.

D’où cet apparent paradoxe: après avoir acheté une action de qualité – une précision de taille –, la meilleure décision de gestion consiste bien souvent à ne rien faire du tout, sinon tout simplement à attendre, voire à acquérir des titres supplémentaires au gré de la hausse du titre et de ses disponibilités financières.

A méditer

5 réponses

  • 22 août 2025 09:41

    Concernant Crossject, les fondamentaux sont bons.
    Ceux qui y croient sont rentrés et ont parfois accumulé lors des baisses pour se retrouver avec un bon paquet de titres. Comme pour Abivax et d'autres, la patience finit par payer.
    Les DT et CT ont profité des aubaines, chacun aura son tour.
    A part critiquer la communication de PA et les retards chroniques, même les plus "anti" n'ont rien à reprocher au process. Laissons-les vociférer, c'est leur seule raison d'être.


  • 22 août 2025 09:50

    Le problème, pour Crossject, c'est qu'on n'est malheureusement pas dans le cas de figure évoqué : savoir, renforcer suivant se moyens quand le cours monte....j'aimerais bien ce cas de figure pourtant....


  • 22 août 2025 10:30

    Je suis en partie d’accord avec vous.

    Mais tout dépend si on croit en la réussite de Zeneo et là c’est tout à chacun, malgré toute les péripéties de Crossject, de toujours y croire ou de ne pas y croire.

    Pour exemple, j’ai cru en une valeur qui avait déjà de la bouteille et dite de valeur de bon père de famille, à savoir Air Liquide. Sur mon compte action personnel et non société, j’ai toujours conservé ces actions, réinvestis les dividendes et souscrit aux actions gratuits avec bonus 10%.
    Résultat :

    AIR LIQUIDE achat 1994 181,58 francs d’époque, soit 27,68€ aujourd’hui cours 183,30€ soit 562,18% de plus value.

    Vous allez me dire, aucune comparaison n’est possible avec une action du CAC40 et une action en devenir qui n’a encore rien prouvé.

    En 1994, l’eau de jouvence a coulé sous les ponts, j’était un juvénile boursier. Ce parcours me fait penser à Voxal du haut de ses 24 ans.
    J’étais jeune, j’ai cru en Air Liquide et j’y crois toujours.
    J’ai vieilli, je crois en Zeneo et je pense qu’elle aura un beau parcours boursier dans un avenir proche.

    Croire ou ne pas croire, voilà la question…


  • 22 août 2025 11:31

    "D’où cet apparent paradoxe: après avoir acheté une action de qualité – une précision de taille –, la meilleure décision de gestion consiste bien souvent à ne rien faire du tout, sinon tout simplement à attendre, voire à acquérir des titres supplémentaires au gré de la hausse du titre et de ses disponibilités financières."

    Discutable car le plus souvent c'est "acquérir des titres supplémentaires au gré des baisses" et des AK


  • 22 août 2025 11:39

    Le problème est surtout que 1% du budget de l' A380 a été levé.
    D'un côté un ensemble complexe de 4 millions de pièces d'aérostructure et de systèmes qui s'industrialise en 10 ans (hors études initiales de faisabilité), de l'autre un Zeneo composé d'une trentaine de micro pièces élémentaires et un projet initié il y a 27-28 ans.
    Le périmètre comptable peut être discuté...mais le ratio des coûts de développement reste vertigineux.
    On peut reconnaître le génie et l'exploit de PA en tant que VRP et le programme aurait apprécié les mêmes talents en tant que gestionnaire.

    A l'obtention de l'EUA et d'un flux de ressources plus conséquent, j'espère qu'une profonde réflexion sera mise en place en interne pour identifier les faiblesses et faire évoluer comme il se doit l'organigramme.
    Il en va de la réussite d'une entreprise évoluant dans un univers à fortes contraintes réglementaires.


Signaler le message

Fermer

Qui a recommandé ce message ?

Fermer
Retour au sujet CROSSJECT

Mes listes

Cette liste ne contient aucune valeur.
Chargement...