((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajoute des détails tout au long de l'article)
Le fabricant de puces Wolfspeed
WOLF.N a annoncé lundi que son conseil d'administration avait évincé Gregg Lowe de son poste de directeur général sans motif, dans un contexte de difficultés croissantes liées au ralentissement de la demande de véhicules électriques, ce qui a fait grimper ses actions d'environ 6 %.
La société basée à Durham, en Caroline du Nord, a été confrontée à des problèmes de fabrication dans son usine, dont elle a annoncé la fermeture. Elle a également dû faire face à un ralentissement des commandes des marchés finaux de l'industrie et de l'énergie.
Entre la faiblesse de la demande, le plan de restructuration existant de Wolfspeed et la réduction des dépenses d'investissement pour l'exercice 2025, la nouvelle direction ne peut pas faire grand-chose pour déclencher une reprise des actions, si ce n'est une vente pure et simple, ont déclaré les analystes de Charter Equity Research.
Les actions de Wolfspeed ont chuté d'environ 85 % depuis le début de l'année, sous-performant largement le S&P 500 .SPX et l'indice des semi-conducteurs de Philadelphie .SOX .
La société, qui fabrique des puces à base de carbure de silicium (SiC), un matériau plus économe en énergie que le silicium standard, compte General Motors GM.N et Mercedes-Benz
MBGn.DE parmi ses clients.
Lowe, qui a occupé le poste de directeur général de la société depuis 2017, recevra une indemnité de départ dans le cadre du règlement, a déclaré la société dans un dépôt.
Lowe n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire de Reuters.
La société a également nommé le président Thomas Werner en tant que président exécutif et a déclaré que son conseil d'administration était à la recherche d'un directeur général permanent.
Au début du mois, Wolfspeed avait prévu un chiffre d'affaires trimestriel inférieur aux estimations de Wall Street et avait indiqué qu'elle comptabiliserait 174 millions de dollars de frais de restructuration pour la fermeture prévue d'une usine.
L'entreprise a également annoncé qu'elle allait licencier 20 % de ses effectifs lors de sa dernière conférence téléphonique après la publication des résultats. Le mois dernier, elle a également abandonné son projet de construction d'une usine à Ensdorf, en Allemagne, en invoquant le ralentissement de l'adoption des VE en Europe.
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