
Aujourd’hui Sodexo gère le gardiennage, l’accueil, le nettoyage, la sécurité et la maintenance. (© Sodexo)
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Sodexo a mal démarré 2017. Au premier trimestre de l’exercice qui sera clôturé le 31 août prochain, l’activité s’est effritée de 2,2%, à 5,5 milliards d’euros, marquant une décroissance interne de 1,5%.
Raison invoquée : la société a bénéficié l’an dernier de la Coupe du monde de rugby avec un chiffre d’affaires supplémentaire estimé à 131 millions d’euros. En outre, les difficultés persistantes de la division dédiée aux industries de l’énergie n’ont pas arrangé les choses.
Au total, malgré un net ralentissement de l’activité au premier trimestre, les objectifs annuels n’ont pas été modifiés par les dirigeants. Ils envisagent toujours une progression des ventes internes autour de 3%, ce qui implique une accélération significative de la croissance pour les trois trimestres suivants.
Mieux que l’indice en 2016Le titre a décroché de 3,2% lors de cette publication, le 12 janvier. Un évènement pour une valeur qui réalise un parcours boursier sans accroc, avec un gain de 79% sur cinq ans. Soit une croissance régulière de 12,3% par an.
En 2016, l’action s’est même adjugé 21,1%, contre une hausse de 4,9% du CAC 40. Mais depuis un plus-haut historique touché le 3 janvier 2017 à 111,15 euros, l’action a reculé de 7%. Est-ce la fin de la belle histoire boursière pour l’ancienne PME marseillaise devenue
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