Thomas Kuhn, directeur général de Poxel, sur le plateau du Revenu TV, en 2015. (© Le Revenu)
Après des débuts boursiers en fanfare, début 2015, Poxel n’a pas su retenir l’enthousiasme des investisseurs. Dans le diabète les développements cliniques sont très couteux. Et la société n’a pas trouvé de partenaire industriels.
La montée de la concurrence et les pressions sur les prix a bouleversé, en deux ans, la stratégie des grands laboratoires engagés dans le diabète. Sanofi, Lilly et Novo-Nordisk sont devenus difficiles à séduire.
Alors le Japon pourrait bien représenter la planche de salut de Poxel. Ce pays représente le deuxième marché mondial des anti-diabétiques. Et les pressions tarifaires y sont moins fortes qu’aux États-Unis ou en Europe.
Les bons résultats obtenus devraient convaincre un acteur local pour co-financer la fin du développement clinique et la mise sur le marché.
De quoi relancer, à court terme, la dynamique boursière et de réveiller à plus long terme l’intérêt des grands acteurs mondiaux.
Achetez Poxel.
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