((Traduction automatisée par Reuters à l'aide de l'apprentissage automatique et de l'IA générative, veuillez vous référer à l'avertissement suivant: https://bit.ly/rtrsauto)) par Jaspreet Singh
Meta Platforms META.O a réduit ses prévisions de dépenses en capital mercredi, sous l'impulsion de la poussée du géant des réseaux sociaux vers la "superintelligence", alors que la course aux armements en matière d'intelligence artificielle s'intensifie dans la Silicon Valley.
La société mère de Facebook et Instagram s'attend désormais à ce que les dépenses en capital se situent entre 66 et 72 milliards de dollars, alors qu'elle prévoyait auparavant entre 64 et 72 milliards de dollars.
Cette décision fait suite à une annonce similaire du rival Big Tech Alphabet GOOGL.O , qui a relevé la semaine dernière ses perspectives de dépenses d'investissement de 10 milliards de dollars pour les porter à 85 milliards de dollars , grâce à la forte croissance de ses activités de recherche et de cloud induite par l'IA.
La formation et le déploiement de systèmes d'IA avancés restent une entreprise à forte intensité de capital, nécessitant du matériel coûteux, des ressources informatiques massives et des talents d'ingénierie de premier plan.
Après l'accueil mitigé réservé à son modèle Llama 4, qui a entraîné des départs, Meta a tenté de redynamiser ses efforts en matière d'IA en déclarant une guerre des talents aux enjeux considérables, qui l'a amenée à distribuer plus de 100 millions de dollars de salaires à des chercheurs d'entreprises concurrentes.
Le PDG Mark Zuckerberg s'est engagé à dépenser des centaines de milliards de dollars pour construire des centres de données d'IA massifs, après avoir déboursé 14,3 milliards de dollars pour une participation dans la startup Scale AI et débauché son PDG milliardaire Alexandr Wang, âgé de 28 ans.
Pour financer cette initiative, le fondateur milliardaire s'appuie sur la vaste base d'utilisateurs de Meta ainsi que sur les améliorations apportées par l'IA à l'engagement des contenus, ce qui en fait un pari stable pour les annonceurs, même en période d'incertitude économique.
Le géant des réseaux sociaux a récemment introduit un outil de création de publicités image-vidéo piloté par l'IA dans le cadre de sa suite Advantage+, permettant aux spécialistes du marketing de générer des publicités vidéo à partir d'images statiques.
Instagram, dont le produit Reels est en concurrence avec TikTok de ByteDance et YouTube Shorts pour les recettes publicitaires dans le format vidéo court populaire, devrait représenter plus de la moitié des recettes publicitaires de Meta aux États-Unis cette année, selon le cabinet d'études eMarketer.
Meta a également accéléré ses efforts pour monétiser ses plateformes de médias sociaux WhatsApp et Threads en y intégrant des publicités.
Le mois dernier, la société a nommé Connor Hayes, un initié, à la tête de Threads, signe qu'elle éloigne la plateforme à l'ombre d'Instagram après s'être appuyée sur l'application de partage de photos pour assurer sa croissance.
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