((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Remaniement pour refléter la déclaration d'Elliott, changement de titre, ajout de détails sur Elliott)
Elliott Investment Management a déclaré mercredi qu'il n'était pas entré en contact avec l'entreprise allemande de services publics RWE AG RWEG.DE au sujet d'un investissement dans la société et qu'il n'avait pas formulé d'exigences.
Le fonds spéculatif a publié une déclaration en réaction à un rapport de Bloomberg News, citant des sources anonymes, qui affirmait qu'Elliott avait constitué un investissement significatif dans RWE. Le rapport indique également qu'Elliott pousse l'entreprise à lancer un programme de rachat d'actions.
"Le rapport de Bloomberg est faux. Elliott n'a engagé aucun dialogue avec qui que ce soit chez RWE au sujet d'un investissement dans la société et n'a partagé aucun point de vue avec RWE concernant les rachats d'actions ou toute autre demande", indique le communiqué.
Elliott s'est refusé à tout commentaire sur la constitution d'une position ou sur le processus de constitution d'une position.
RWE s'est refusé à tout commentaire.
Les actions cotées à Francfort de RWE RWEG.F sont devenues positives suite au rapport et étaient en hausse de 0,6 % à 1803 GMT.
Le mois dernier, l'Allemagne a examiné si elle pouvait exiger des investisseurs qu'ils divulguent une participation de 3 % qui comprend une combinaison d'actions et de produits dérivés après que l'Italien UniCredit a acquis une participation importante dans la Commerzbank allemande.
Les rachats ont été un point d'achoppement majeur pour les investisseurs de RWE qui ont pressé sa direction de clarifier le sujet lors d'un appel sur ses résultats annuels finaux en mars.
Puis, en mai, le directeur financier Michael Mueller a donné à le signal le plus clair à ce jour qu'elle pourrait envisager de restituer des liquidités aux investisseurs par le biais de rachats.
En 2023, RWE a rejeté une motion du fonds activiste ENKRAFT contre le projet de la compagnie d'électricité de demander l'autorisation aux actionnaires d'émettre des obligations convertibles sans donner aux investisseurs existants la possibilité de souscrire.
Elliott est l'un des plus grands investisseurs activistes au monde, avec environ 70 milliards de dollars d'actifs et le goût de s'attaquer à des entreprises emblématiques s'il estime qu'elles peuvent améliorer leurs performances.
Ces derniers mois, il a poussé la chaîne de cafés américaine Starbucks à opérer des changements et a conclu une trêve avec Southwest Airlines, qui a ajouté un certain nombre de nouveaux administrateurs au conseil d'administration dans le but d'accroître les rendements.
Le fonds spéculatif a déjà pris des positions dans certaines entreprises par le biais de produits dérivés, qu'il a ensuite convertis en actions ordinaires. D'autres investisseurs suivent de près les activités de transactions d'Elliott pour savoir quelles entreprises le fonds spéculatif pourrait envisager de prendre pour cible.
Les investisseurs activistes ont tendance à essayer d'accroître leur participation avant d'approcher la direction pour lui faire part de leurs critiques.
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