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LDC : hausse de son chiffre d'affaires trimestriel
information fournie par AOF 04/01/2024 à 18:13

(AOF) - Sur le troisième trimestre 2023-2024, LDC a fait état d'une hausse de 2,6% de son chiffre d’affaires, s'affichant à 1,530 milliard d'euros avec des volumes en hausse de 0,4% par rapport au troisième trimestre 2022-2023. A l'international, le chiffre d'affaires du groupe agroalimentaire spécialisée dans la transformation de volailles s‘élève à 186,2 millions d'euros, en recul de 7,9% avec des volumes qui progressent de 0,5%.

Au regard du déroulement des fêtes de fin d'année globalement conforme aux attentes, le groupe confirme son ambition de dépasser les 6 milliards d'euros de chiffre d'affaires associé à un résultat opérationnel courant supérieur à 350 millions d'euros.

A moyen terme, LDC confirme également l'ensemble des objectifs fixés dans le cadre de son plan stratégique : franchir le cap des 7 milliards d'euros de chiffre d'affaires à 5 ans.

Cette nouvelle dimension doit s'accompagner d'une progression de la rentabilité avec un objectif de près de 560 millions d'euros d'Ebitda sur l'exercice 2026-2027, en progression de 40% par rapport à 2021-2022.

Dans le prolongement des négociations annoncées le 11 octobre 2023 avec le Groupe Agromousquetaires, LDC annonce l'acquisition de l'usine les Délices de Saint Léonard.

Cette usine située à Theix dans le Morbihan est spécialisée dans l'activité de sandwiches, pizzas, crêpes, quiches et tartes en frais et surgelé. Elle a réalisé un chiffre d'affaires 2022 légèrement inférieur à 50 millions d'euros.

AOF - EN SAVOIR PLUS

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Des prix de l'énergie qui flambent et un appel à l'aide

Dans le passé, l'énergie représentait un coût fixe de 3% du chiffre d'affaires. Cette année, ce pourcentage grimpe à 5% voire à 7% pour les TPE-PME, selon l'Ania (Association nationale des industries alimentaires. Les professionnels sont très inquiets car jusqu'à fin 2022 ils bénéficient généralement de couvertures pour amortir ces augmentations. Or elles ne sont pas reconduites pour 2023 et après. Par conséquent, 25 des principales organisations interprofessionnelles (Intercéréales, Inaporc, Semae, etc.) appellent l'Etat au secours face à l'érosion de leurs marges et de leur capacité d'investissement.

L'Etat a proposé plusieurs dispositifs, dont un " amortisseur électricité ", qui sont jugés insuffisants. Les organisations déplorent également l'échec des négociations européennes pour aboutir à un bouclier tarifaire permettant d'éviter les distorsions de concurrence. L'agriculture et l'agroalimentaire demandent un prix plafond maximum à 180 €/MWh alors que de nombreuses entreprises achètent à des prix supérieurs à 500€/MWh sur le marché français.

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