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LDC annonce une division par deux du nominal de l'action
information fournie par AOF 10/09/2024 à 18:18

(AOF) - L'assemblée générale des actionnaires de LDC du 22 août 2024 a décidé de diviser par deux la valeur nominale de l'action. Le directoire, sur délégation de l'assemblée, a fixé au 30 septembre 2024 la date à laquelle la division du nominal sera effective. Cette opération rendra l'action LDC plus accessible notamment aux actionnaires individuels et devrait permettre d'accroître la liquidité du titre. Le 30 septembre 2024, pour toute action de 0,40 euro de valeur nominale détenue à cette date, les actionnaires recevront en échange deux actions de 0,20 euro de valeur nominale.

Cette opération n'aura pas d'impact sur la situation fiscale ou les droits des actionnaires. Elle sera réalisée sans frais ni formalité pour eux.

Du fait de la division du nominal, le nombre total d'actions composant le capital social se trouvera multiplié par deux et l'action LDC se négociera sur la base du cours d'ouverture du 30 septembre 2024 divisé par deux.

Un avis Euronext Paris sera publié le 23 septembre 2024.

AOF - EN SAVOIR PLUS

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Des prix de l'énergie qui flambent et un appel à l'aide

Dans le passé, l'énergie représentait un coût fixe de 3% du chiffre d'affaires. Cette année, ce pourcentage grimpe à 5% voire à 7% pour les TPE-PME, selon l'Ania (Association nationale des industries alimentaires. Les professionnels sont très inquiets car jusqu'à fin 2022 ils bénéficient généralement de couvertures pour amortir ces augmentations. Or elles ne sont pas reconduites pour 2023 et après. Par conséquent, 25 des principales organisations interprofessionnelles (Intercéréales, Inaporc, Semae, etc.) appellent l'Etat au secours face à l'érosion de leurs marges et de leur capacité d'investissement.

L'Etat a proposé plusieurs dispositifs, dont un " amortisseur électricité ", qui sont jugés insuffisants. Les organisations déplorent également l'échec des négociations européennes pour aboutir à un bouclier tarifaire permettant d'éviter les distorsions de concurrence. L'agriculture et l'agroalimentaire demandent un prix plafond maximum à 180 €/MWh alors que de nombreuses entreprises achètent à des prix supérieurs à 500€/MWh sur le marché français.

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