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La Bourse, un placement imbattable à très long terme
information fournie par Le Revenu 28/12/2018 à 07:30

En 1968, la Bourse française représentait moins de 16% du PIB hexagonal, contre plus de 100% aujourd'hui. (© DR et Euronext)

En 1968, la Bourse française représentait moins de 16% du PIB hexagonal, contre plus de 100% aujourd'hui. (© DR et Euronext)

Les actions françaises affichent un rendement annuel moyen de 9% (dividendes compris) sur le long terme. Mais la Bourse n'est pas un long fleuve tranquille. En 50 ans, elle a connu 32 années de hausse et 18 de baisse.

En cinquante ans, la Bourse de Paris a radicalement changé de visage. Et de dimension.

En 1968, elle était intimement associée au palais Brongniart, du nom de l’architecte de Napoléon Ier, à l’intérieur duquel officiaient les agents de change autour de la corbeille. Il existait encore six Bourses de province : Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nancy et Nantes. Celle de Toulouse avait fermé ses portes en 1967.

Aujourd’hui, c’est un réseau d’information, de communication et de transactions qui permet, à partir de n’importe quel point du territoire ou de l’étranger, d’accéder en temps réel à un système de négociations unifié et transparent, via les entreprises d’investissement, version moderne des sociétés de Bourse.

En 1968, la capitalisation totale du marché français, c’est-à-dire la valeur boursière cumulée des 1.411 sociétés cotées, se limitait à 100,16 milliards de francs, soit 15,3 milliards d’euros. Elle représentait ainsi 15,6% du PIB de la France.

Autant dire que la Bourse était relativement secondaire, justifiant la phrase devenue célèbre du général de Gaulle : «La politique de la France ne se fait pas à la corbeille».

Aujourd’hui, Euronext Paris, l’entreprise qui coiffe désormais les marchés financiers réglementés, compte 879 sociétés pour une capitalisation de 2.354 milliards d’euros, soit plus d’une fois le PIB (2.290

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5 commentaires

  • 28 décembre 09:51

    une chose qui n'est jamais dite : les calculs de performance de la Bourse se font en retenant un indice, duquel on retire les mauvaises sociétés (celles qui baissent puis font faillite). Si on considérait l'ensemble de la cote, en prenant en compte toutes les sociétés y compris celles qui disparaissent et ruinent leurs actionnaires, la performance séculaire serait largement inférieure. Je n'a&i jamais vus publiés de tels chiffres...


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