
La marge nette du groupe avoisine les 50%. (© GTT)
La société d’ingénierie a publié un chiffre d’affaires trimestriel de 56,8 millions d’euros, en baisse de 2,9%.
GTT encaisse principalement des redevances de la part des chantiers navals qui utilisent ses technologies de confinement, pour construire des navires destinés à transporter du gaz naturel liquéfié (GNL). Mais pas seulement.
Au premier trimestre, GTT a enregistré quatre commandes de FSRU, des unités flottantes de stockage et de regazéification du GNL. Les dates de livraison s’échelonnent de 2018 à 2020. En y ajoutant un méthanier, le carnet de commandes du groupe compte désormais 87 unités, après les 14 livraisons effectuées depuis le début de l’année.
Un rendement de 7,8% !Tandis que la demande de méthaniers se tasse, les dirigeants de GTT misent sur le relais de croissance constitué par les FSRU, un dispositif plus flexible et moins coûteux que les installations terrestres et qui séduit de nombreux pays émergents importateurs de GNL.
L’un des défis du leader mondial est aussi de maintenir son avance technologique. De ce point de vue, la présentation récente de GTT Mars, une nouvelle membrane dédiée au transport du gaz de pétrole liquéfié (GPL), a été bien perçue par les investisseurs.
En confirmant les objectifs 2017, les dirigeants ont su préserver une tonalité optimiste, malgré le recul du chiffre d’affaires. La société reste très rentable,
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