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Eric Pinon succède à Yves Perrier à la tête de l'AFG
information fournie par Newsmanagers06/06/2017 à 12:00

(NEWSManagers.com) - Passage de relais à l' AFG. Le conseil d'administration du 30 mai 2017 a nommé Yves Perrier président d'honneur et a ensuite élu Eric Pinon (associé dirigeant d' Acer Finance depuis 2006) à la présidence de l'association professionnelle et Philippe Setbon (directeur général de Groupama AM) à la vice-présidence, pour une durée de deux ans. L'assemblée générale avait auparavant approuvé les comptes de l'association et renouvelé pour trois ans les mandats d'administrateurs d' Alto Invest, Aviva Investors, Axa Investment Managers Paris, BNP Paribas Asset Management, CM-CIC Asset Management, CPR Asset Management et HSBC Global Asset Management France.

Dans son communiqué, l' AFG indique que le conseil d'administration a rendu hommage à Yves Perrier et à " l'action efficace " conduite au cours de sa présidence, " durant laquelle il a fortement contribué à accroître la visibilité de notre profession, et démontré la capacité de l' AFG à être force de propositions. Il a également renforcé l'action européenne et internationale de l' AFG tant en matière de lobbying que de promotion pour accompagner le développement des sociétés de gestion françaises à l'international " . Eric Pinon affirme quant à lui, que " l' AFG sera, demain encore plus qu'aujourd'hui, à l'offensive pour relever les nombreux défis rencontrés par notre activité. Afin de donner toute sa place à la gestion d'actifs, nous devons agir résolument pour l'éducation des investisseurs et renforcer la synergie entre tous les acteurs pour accroître notre compétitivité internationale" .

Dans un entretien publié par L'Agefi ce 31 mai, Eric Pinon ajoute par ailleurs que la mutualisation constitue l'une de ses priorités. " Je souhaite que l'on travaille davantage ensemble, explique-t-il. L'univers des sociétés de gestion françaises est très hétérogène. Sur un peu plus de 600 sociétés de gestion, environ 200 gèrent moins de 200 millions d'euros. Le risque, par exemple, est que certains intermédiaires refusent de référencer les petits fonds, notamment pour éviter des complications réglementaires. Dans ce contexte, on peut envisager des unions capitalistiques entre sociétés de gestion. Mais il peut aussi y avoir des rapprochements, sans forcément de prises de participation. Il n'y a pas encore assez de GIE (groupements d'intérêt économique). Il faut favoriser la mise en place de communautés de moyens entre sociétés de toutes tailles. Par exemple, si dix sociétés de gestion vont discuter ensemble chez un prestataire pour acheter des données, elles peuvent obtenir de bonnes conditions" .

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