((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
La société d'investissement activiste Engine Capital a poussé mardi la plateforme de covoiturage Lyft
LYFT.O à envisager des alternatives stratégiques, y compris une vente, dans le cadre d'une bataille de procurations.
L'investisseur, qui détient environ 1% de Lyft, a également appelé à des réformes de la gouvernance et de l'allocation de capital au sein de l'entreprise et a accusé son conseil d'administration de manquer d'expertise financière.
Engine a critiqué le conseil d'administration pour avoir rejeté ses quatre propositions d'administrateurs sans entretien et a affirmé que sept des dix administrateurs de Lyft n'avaient pas d'expérience préalable au sein d'un conseil d'administration d'une société publique.
Au début du mois, Engine a nommé deux administrateurs au conseil d'administration de Lyft et a déclaré que ses tentatives de dialogue avec les dirigeants de la société de covoiturage avaient été repoussées.
Engine a déclaré mardi que ses candidats au poste d'administrateur encourageraient le conseil d'administration de Lyft à explorer des alternatives stratégiques qui pourraient éventuellement conduire à la vente de l'entreprise ou d'une partie de celle-ci.
Elle a proposé à Lyft de procéder à un rachat accéléré d'actions pour un montant de 750 millions de dollars afin de contrebalancer la sous-performance de l'action et de donner un signal de confiance au marché.
Le solde de trésorerie et les investissements à court terme de Lyft s'élevaient à environ 2 milliards de dollars à la fin de l'année dernière.
Les actions de la société ont chuté d'environ 83% depuis son introduction en bourse en 2019, par rapport aux fortes hausses de son grand rival Uber Technologies UBER.O et des indices plus larges.
Lyft a une valeur de marché d'environ 5,2 milliards de dollars, contre 164 milliards de dollars pour Uber.
Lyft n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire de Reuters.
Engine a également critiqué la structure des actions à double classe de Lyft, qui concentre 30 % des droits de vote entre les mains de ses cofondateurs, qui détiennent aujourd'hui environ 2,3 % du capital de la société.
L'activiste a demandé au conseil d'administration d'éliminer les élections échelonnées et de s'attaquer à la dilution excessive des actions, qui, selon lui, s'est élevée en moyenne à près de 8 % par an, sapant ainsi la valeur actionnariale.
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