
Le titre du spécialiste des technologies Internet perd 9% sur un an. (© Claranova)
Le groupe technologique continue d’afficher une forte croissance, appelée à se poursuivre d’ici 2023. Au-delà de la décote de holding, comment expliquer pourtant la sous-performance et la sous-valorisation de l’ex-Avanquest ? Et quel élément est-il susceptible d’y remédier ?
Malgré la crise sanitaire, le groupe de technologies affiche une dynamique commerciale soutenue.
Au premier semestre de l’exercice clos au 30 juin, son chiffre d’affaires s’est envolé de 19%, à 278 millions d’euros.
Principal moteur de croissanceRenforcée par les acquisitions des américains Personal Creations et Cafepress, la division d’impression numérique de photos et d’objets personnalisés Planetart constitue le principal moteur de croissance et le plus gros contributeur de Claranova , avec un bond de 26% des facturations sur six mois, à 234 millions d’euros.
Sur la période, les ventes de la branche logicielle Avanquest (42 millions) ont reculé de 12%, pénalisées par la transition vers un modèle plus récurrent d’abonnement de solutions propriétaires.
La plateforme d’objets connectés Mydevices reste, elle, à l’état embryonnaire, avec des revenus de 2,2 millions d’euros (-3%).
La direction prévoit toutefois un doublement du résultat opérationnel courant au premier semestre. Et confirme ses objectifs à fin juin 2023, soit 700 millions d’euros de chiffre d’affaires et une marge opérationnelle supérieure à 10% (4,3% en 2019-2020).
Le titre stagneCes belles annonces n’ont pas fait bonne impression, comme le montre la stagnation du titre sur la semaine mais aussi sur trois
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