
Sercel, filiale de CGG. (© CGG)
En dix-huit mois, la capitalisation de CGG a fondu de 1,4 milliard d’euros. Le titre est l’un des plus affectés parmi les valeurs pétrolières. La cause est en partie structurelle : l’exploration est toujours l’activité la plus rapidement touchée par une dépréciation de l’or noir ; les majors coupant d’abord les investissements les plus faciles à réduire.
Pour CGG, la lourde sanction boursière est aussi liée à son endettement élevé. Le titre est au final devenu l’un des terrains de jeux favoris des spéculateurs, qui ont largement vendu l’action à découvert.
Mais l’action semble aujourd’hui intégrer le scénario du pire. Sa capitalisation représente aujourd’hui 0,3 fois les fonds propres 2015. En outre, l’action CGG sera la première à profiter du rebond de l’or noir… que nous anticipons pour les prochains mois.
Nous conseillons d’acheter à titre spéculatif.
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