Benoit Peloille et Olivier David, deux gérants en charge du fonds Vega Disruption. (© DR)
Les gérants de Vega IM ont lancé en février dernier un nouveau produit investi dans des entreprises qui profitent des grands bouleversements liés à la numérisation et à l’essor d’Internet. Ils nous présentent leurs choix de valeurs et de fonds.
Deux gérants sont en charge du fonds Vega Disruption lancé en février dernier par Vega Investment Managers.
Benoit Peloille sélectionne des fonds thématiques diversifiés à l’international (70% de l’encours) et Olivier David choisit des valeurs européennes (30% de l’actif).
Pénalisé par la baisse des marchés en octobre, le fonds a perdu près de 5% depuis son lancement. Mais l’objectif est de profiter à long terme du pénomène de «disruption» lié à la digitalisation de l’économie, qui touche la plupart des secteurs d’activité, avec une remise en cause des positions établies et l’émergence de nouveaux acteurs.
Les gérants privilégient des entreprises qui créent de nouveaux marchés ou qui prennent l'ascendant sur des marchés existants. Ils investissent également dans des sociétés offrant un avantage compétitif important et capables de s'adapter à la «disruption».
À la recherche des technologies de ruptureParmi les fonds sélectionnés dans le portefeuille, le gérant donne la priorité aux thématiques issues des nouvelles technologies : Pictet Robotics, CPR Global Silver Age, Parvest Global Environment, UBS Equity Biotech, Pluvalca Disruptive Oppotunities, Robeco Global fintech Equities, etc.
Dans le choix des valeurs, on retrouve des titres comme Adyen (fintech néerlandaise), Infineon (semi-conducteurs utilisés dans la voiture autonome),
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