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ADP: Augustin de Romanet ne veut pas rester PDG au-delà de 2024
information fournie par AOF 22/05/2024 à 09:36

(AOF) - Augustin de Romanet ne souhaite pas rester à la tête d’ADP au-delà du 31 décembre "au plus tard". C’est ce qu’a annoncé le PDG sortant du groupe hier à l’occasion de l’assemblée générale, invoquant selon la presse "l'intérêt social" du gestionnaire d'aéroports. Un communiqué publié mardi annonce sa nomination comme PDG par intérim du groupe. Matignon a annoncé fin mars qu'il serait maintenu en poste jusqu'aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris afin de « garantir leur bonne organisation", mais pas au-delà.

"M. Augustin de Romanet de Beaune assurera ses fonctions jusqu'à la nomination d'un nouveau Président-directeur général de la société Aéroports de Paris par décret du Président de la République sur proposition du Conseil d'administration de la société, et après consultation des commissions permanentes compétentes de l'Assemblé Nationale et du Sénat", précise le communiqué d'ADP.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Des résultats à nouveau fragilisés pour les compagnies européennes

Alors que le carburant représente jusqu'à 35% de leurs coûts, les professionnels estiment que les compagnies aériennes européennes ne devraient pas revenir aux bénéfices avant 2023 ou 2024 au plus tôt. Ces acteurs prévoient que les prix de l'énergie resteraient élevés au moins jusqu'en 2023. L'Association internationale du transport aérien (IATA) a annoncé une prévision de pertes cumulées de 9,7 milliards de dollars en 2022 pour les compagnies aériennes à travers le monde il faudra encore attendre 2023 pour voir le retour aux bénéfices à l'échelle globale du fait notamment de la flambée des coûts du pétrole et de la hausse des coûts de main-d'œuvre. Point positif : la demande de voyage semble résister aux incertitudes provoquées par la situation économique et politique internationale. Toutefois les incertitudes concernant le Covid, la guerre en Ukraine, ainsi que la hausse des prix renforcent les réservations de dernière minute. Selon l'Iata, seulement 8 % des réservations internationales passées fin mai allaient au-delà de septembre.

Le climat social se dégrade dans les compagnies low-cost

Ces compagnies bénéficient d'un redémarrage très fort. Elles avaient déjà réussi à accaparer 40% du trafic aérien en 2021, cette proportion pouvant même monter à 50% cette année. Toutefois des mouvements de grève ont affecté l'activité de Volotea, d'EasyJet et de Ryanair, avec des confrontations sur les rémunérations et les conditions de travail. De façon générale, le secteur se heurte à une pénurie de personnel. Après avoir coupé sévèrement dans leurs effectifs en 2020 et 2021, les compagnies et les aéroports doivent recruter urgemment pour accompagner le redécollage de l'activité.

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ADP
112.80 EUR Euronext Paris -4.73%

1 commentaire

  • 23 mai 12:14

    Avant de savoir qu’il était « débarqué, il disait exactement l’inverse lol
    Soit ce monsieur est une girouette soit il met une p’tite pression pour avoir le poste d’après


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