
Des personnes jouent à Tom Clancy’s The Division, publié par Ubisoft, le 28 octobre 2015 à Paris. (© P. Kovarik / AFP)
«Nous sommes intéressés par des sociétés qui veulent se vendre, en Asie ou aux Etats-Unis, pour des montants entre 50 et 100 millions d'euros», a indique le PDG d' Ubisoft , Yves Guillemeot à des journalistes lors d'un briefing à l'occasion des 30 ans d'Ubisoft.
Le groupe veut en priorité se renforcer dans les jeux sur mobiles, qui représentent aujourd'hui moins de 5% de son activité. «Ca reste un métier que l'on va faire grandir», a-t-il précisé.
Ubisoft s'est ainsi offert l'éditeur de jeux mobiles Ketchapp en septembre.
RecrutementsPour grandir, Ubisoft a aussi «l'ambition de recruter 500 à 1.000 personnes dans les dix ans qui viennent en France», a précisé Yves Guillemot, dont 500 personnes dans les cinq années à venir.
Ubisoft, qui compte 10.000 salariés dans le monde, a une forte empreinte au Canada avec environ 3.000 employés où le groupe bénéficie de crédits d'impôts très favorables, mais il a déjà renforcé sa présence en France avec environ 800 embauches au cours des cinq dernières années pour atteindre quelque 2.000 personnes.
L'extension du crédit jeu vidéo par le gouvernement français a créé des conditions plus favorables au développement des embauches en France, a reconnu le responsable en soulignant que l'Hexagone avait aussi «de très bons ingénieurs».
Concernant sa relation conflictuelle avec son premier actionnaire Vivendi, dont Yves
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