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VALLOUREC : VK - HYDROGÉNÉ, SOLAIRE, GÉOTHERMIE ,PÉTROLE…

27 janv. 2023 12:16

Retour sur les activités de Vallourec dans les nouvelles énergies
19/12/2022
2022 a été une année riche en réalisations pour Vallourec dans le domaine de la transition énergétique. Dès mai 2022, Vallourec a nommé Ulrika Wising au poste de Senior Vice President Energy Transition afin de renforcer ses engagements en faveur de la transition énergétique et de développer de nouvelles opportunités commerciales rentables pour le Groupe. C'est dans ce contexte qu'a été lancé en septembre Vallourec® New Energies, le portefeuille de solutions de Vallourec pour les marchés de l'hydrogène, du CCUS (Captation, Utilisation et Stockage du Carbone), de la géothermie et du solaire. Des étapes importantes ont été franchies dans chacune des activités, prouvant ainsi l’ambition de Vallourec d’être un acteur à part entière des industries bas-carbone.

Hydrogène

Vallourec est à même de fournir des solutions et des tubes pour le transport et le stockage de l'hydrogène, quelles que soient les quantités à stocker : stockage en cylindres, dans des tubes ou stockage souterrain à grande échelle. En 2022, Vallourec a été choisi par Storengy, filiale d'ENGIE, l'un des leaders mondiaux dans le stockage souterrain de gaz naturel et acteur-clé dans le développement des gaz renouvelables, pour fournir une offre complète de solutions tubulaires et de services associés, dans le cadre du projet « HyPSTER », le premier projet de stockage d'hydrogène renouvelable soutenu par l'Union européenne. En octobre 2022, le Groupe a également fourni des tubes haute pression pour la fabrication d'accumulateurs à piston destinés au premier système mondial de ravitaillement en hydrogène des trains de voyageurs lancé par Linde en Allemagne.
Vallourec est également largement impliqué dans le développement de nouveaux standards industriels pour les applications liées à l’hydrogène. Le Groupe a ainsi développé un protocole de qualification validant l'étanchéité de ses connexions VAM® pour le stockage de l'hydrogène jusqu'à 560 bar, tout en qualifiant en parallèle sa solution sans graisse CLEANWELL®. Vallourec a également réalisé avec succès une première série de tests, visant à valider la résistance à la fracturation d'une sélection de grades d'acier en présence de gaz H2 pur, pour des tubes OCTG, des tubes de conduite et des cuves sous pression.

Enfin, Vallourec participe également à de nombreux projets industriels conjoints et à des programmes de recherche, visant à élargir les connaissances sur l'hydrogène. Ainsi, en 2022, Vallourec a rejoint le programme de recherche norvégien HYDROGENi.

Solaire

Solaire Vallourec fournit à l'industrie solaire des tubes de torsion, ainsi que des profilés ouverts façonnés à froid pour la construction de trackers solaires. En mai 2022, Vallourec a remporté un contrat pour fournir 1 050 tonnes de tubes de torsion et 1 200 tonnes de profilés ouverts façonnés à froid à Nextracker pour une ferme solaire, située dans le nord-est du Brésil.

Grâce à ces différents projets, Vallourec a d’ores et déjà prouvé son engagement dans la transition énergétique. Fort de ces réalisations, le Groupe est aujourd’hui prêt à poursuivre sa démarche d’accompagnement de ses clients dans leurs projets en 2023 et au-delà.

Géothermie

Vallourec est également un acteur majeur de l'industrie géothermique depuis plus de 30 ans, qui fournit des solutions tubulaires résistantes à la chaleur pour extraire de l'énergie propre de la terre. Nos dernières connexions VAM® sont qualifiées jusqu'à 350°C en cycles thermiques selon le protocole TWCCEP (Thermal Well Casing Connection Evaluation Protocol). De plus, la solution innovante THERMOCASE® VIT (tube isolé sous vide) du Groupe est un élément-clé des systèmes géothermiques en circuit fermé, destinés à produire de la chaleur et de l'électricité avec un minimum de pertes.

En 2022, Vallourec a annoncé un investissement dans GreenFire Energy Inc, une start-up américaine qui développe des systèmes géothermiques de pointe, basés sur leur innovation technologique, appelée GreenLoop ™ et dont le THERMOCASE® VIT est un élément essentiel.

Début 2022, nous avons, par ailleurs, fourni à Geo Dipa Energi des connexions VAM® 21 pour ses puits géothermiques sur le plateau de Dieng, en Indonésie, afin qu'ils puissent résister à des températures allant jusqu'à 330°C.
CCUS

Capter le CO2 émis par les activités industrielles et le stocker dans le sous-sol est essentiel pour limiter le réchauffement climatique. Dans ce contexte, Vallourec a joué un rôle important en testant et en qualifiant des matériaux résistants à la corrosion pour transporter et stocker le CO2 contenant des impuretés, ainsi qu'en validant l'étanchéité de ses connexions VAM® pour stocker le carbone dans des réservoirs pétroliers désaffectés.

Le protocole de qualification des connexions VAM®, développé par Vallourec, teste l'étanchéité des connexions dans plusieurs phases de pression et de cycles thermiques avec des températures descendant jusqu'à -80°C dans le cadre de scénarios d'éruption.

Début 2022, Neptune Energy a fait appel à Vallourec pour réaliser une série de tests visant à valider des matériaux pour l'injection de CO2 en toute sécurité dans des puits désaffectés de la mer du Nord néerlandaise.

13 réponses

  • 27 janvier 2023 13:11

    Combien de sociétés disposent d'un tel potentiel aujourd'hui dans ces domaines d'activité ?
    Bien peu !
    La restructuration suit son chemin et la patience est la meilleure des vertus ...
    Qui va piano va sano y va lontano ....


  • 27 janvier 2023 15:54

    jean123 
    Merci pour ce beau résumé des activités de VK.
    Avec tout ça, espérons que le meilleur est devant nous. 


  • 27 janvier 2023 18:08

    Ça vaut trois fois plus !
    Bon week-end 


  • 29 janvier 2023 01:43

    Merci jean123 pour cette synthèse très enrichissante pour ce forum. 


  • 29 janvier 2023 06:30

    Oui mais voilà...il y a une dette qui malheureusement est bien trop lourde face au CA


  • 31 janvier 2023 06:20

    OPA ? Apollo possède déjà 28,5 capitale… 


  • 31 janvier 2023 06:30

    Les choix stratégiques opérés pour ces sociétés, introduites en Bourse, se sont souvent avérés payants, selon les observateurs. Mais certaines manoeuvres industrielles ont été perdantes pour Apollo. Comme la reprise du producteur français d'aciers spéciaux Ascométal en 2011. La crise économique et l'échec des négociations avec les banques avaient poussé l'entreprise vers le redressement judiciaire .
    4. Une offensive dans la banque
    Depuis deux ans, Apollo s'est lancé dans une nouvelle aventure outre Atlantique : des prêts géants accordés à de grandes entreprises . Le fonds américain s'est associé au fonds souverain des Emirats arabes unis, Mubadala, pour fournir environ 12 milliards de dollars de financements à des grands groupes. Jusqu'ici, ses prêts se concentraient sur les PME.


  • 31 janvier 2023 07:55

    Le scénario répétitif d'Apollo est d'entrer et de gérer une société pendant 4/5 ans pour la redresser. Ensuite d'en sortir avec profits.
    Sûrement pas d'OPA puisqu'ils ldirigent avec 28.5% .


  • 01 février 2023 12:47

    L'intérêt de ce copier-coller ??? Worldline est déjà introduit en b.


  • 01 février 2023 12:54

    Apollo déjà 28,5 % capi sur VK ! Encore 1,5 puis OPA
    Quatre choses à savoir sur le fonds Apollo
    Le fonds de private equity va mettre la main sur les activités de terminaux de paiement de Worldline, valorisées 2,3 milliards d'euros. Une opération qui illustre la diversité des investissements de ce fonds américain, connu pour sa capacité à remettre sur pied des groupes en difficulté.
    C'est une nouvelle opération à plusieurs milliards qui se profile pour Apollo. Le fonds américain va acquérir les activités de terminaux de paiement de Worldline , valorisées 2,3 milliards d'euros. Pour Apollo, il s'agit de mettre la main sur une activité qui, selon lui, connaît actuellement « une forte impulsion ». Mais il s'agit surtout de mettre la main sur un acteur en difficulté avec pour objectif de le transformer, avant éventuellement de l'introduire en Bourse.
    Cette stratégie, souvent payante, symbolise le fonctionnement d'Apollo, un fonds aussi discret que puissant. Tour d'horizon.
    1. Près de 500 milliards de dollars d'actifs sous gestion
    Apollo Global Management est un fonds de capital-investissement new-yorkais lancé en 1990. En quelques années, il est devenu numéro deux de son secteur derrière le mastodonte Blackstone, mais devant KKR et Carlyle. Sa montée en puissance s'est appuyée sur une stratégie classique dans le milieu : le fonds rachète des entreprises en difficulté, lourdement endettées, et impose des mesures de redressement pour tenter d'en restaurer la rentabilité.Comme le confiait son cofondateur Leon Black à Bloomberg en 2020, « c'est pendant les récessions que nous avons gagné le plus d'argent ». La crise de 2008 a notamment été source de grandes opportunités pour Apollo. Le fonds a fait l'une des meilleures opérations de son histoire à cette époque, en mettant la main sur le chimiste LyondellBasell que tout le milieu industriel croyait mort. Après restructuration, Apollo s'est désengagé par étapes en 2013. Sur cette opération, le fonds a réalisé un bénéfice de 10 milliards de dollars, « scellant ce qui était probablement la plus grande opération de capital-investissement de tous les temps », écrivait en 2014 le « Financial Times » . Sa réputation était faite.
    Fin 2021, le groupe gérait 497,6 milliards de dollars d'actifs pour le compte de fonds de pension, fonds souverains, compagnies d'assurances ou grosses fortunes privées.
    2. Un cofondateur milliardaire empêtré dans l'affaire Epstein
    Leon Black, 69 ans, a cofondé Apollo aux côtés de Marc Rowan et Joshua Harris. Ses méthodes de travail et sa proximité avec ses clients ont fait sa réussite. Comme le résume Bloomberg, il est « l'homme le plus redouté dans le domaine le plus agressif de la finance ». Le succès de sa société a fait de lui un milliardaire, avec une fortune estimée par Forbes à 10,1 milliards de dollars .
    Mais l'image de Leon Black a été entachée par ses liens financiers avec l'homme d'affaires et criminel sexuel Jeffrey Epstein, à qui il a versé 158 millions de dollars d'honoraires pour des services de conseil, entre 2012 et 2017. Un cabinet juridique, mandaté en interne pour examiner les rapports entre les deux hommes, n'a trouvé « aucune preuve » de l'implication de Leon Black dans les activités criminelles de Jeffrey Epstein. Leon Black finira toutefois par démissionner en 2021 de son poste de directeur général . C'est désormais Marc Rowan qui est aux manettes.
    3. Une stratégie rodée dans l'industrie
    Si Apollo est connu pour sa grande discrétion, il l'est aussi pour le choix de ses cibles. Le fonds dispose d'une puissante expertise sectorielle qui s'appuie sur ses 550 chargés d'investissements (sur un total de 2000 employés). Ces dernières années, Apollo a multiplié les opérations dans des secteurs aussi variés que le divertissement , l'immobilier ou l'imprimerie en ligne.
    Mais ce sont bien ses opérations industrielles qui retiennent l'attention. Notamment en France. En 2015, Apollo met ainsi la main sur Verallia , filiale spécialisée dans l'emballage en verre de Saint-Gobain, et sur l'équipementier aéronautique Latécoère . Avant cela, Apollo s'était emparé du producteur d'aluminium Constellium .
    Les choix stratégiques opérés pour ces sociétés, introduites en Bourse, se sont souvent avérés payants, selon les observateurs. Mais certaines manoeuvres industrielles ont été perdantes pour Apollo. Comme la reprise du producteur français d'aciers spéciaux Ascométal en 2011. La crise économique et l'échec des négociations avec les banques avaient poussé l'entreprise vers le redressement judiciaire .
    4. Une offensive dans la banque
    Depuis deux ans, Apollo s'est lancé dans une nouvelle aventure outre Atlantique : des prêts géants accordés à de grandes entreprises . Le fonds américain s'est associé au fonds souverain des Emirats arabes unis, Mubadala, pour fournir environ 12 milliards de dollars de financements à des grands groupes. Jusqu'ici, ses prêts se concentraient sur les PME


  • 01 février 2023 12:56

    Apollo déjà 28,5% capi sur  VK… OPA ?

    Quatre choses à savoir sur le fonds Apollo
    Le fonds de private equity va mettre la main sur les activités de terminaux de paiement de Worldline, valorisées 2,3 milliards d'euros. Une opération qui illustre la diversité des investissements de ce fonds américain, connu pour sa capacité à remettre sur pied des groupes en difficulté.
    C'est une nouvelle opération à plusieurs milliards qui se profile pour Apollo. Le fonds américain va acquérir les activités de terminaux de paiement de Worldline , valorisées 2,3 milliards d'euros. Pour Apollo, il s'agit de mettre la main sur une activité qui, selon lui, connaît actuellement « une forte impulsion ». Mais il s'agit surtout de mettre la main sur un acteur en difficulté avec pour objectif de le transformer, avant éventuellement de l'introduire en Bourse.
    Cette stratégie, souvent payante, symbolise le fonctionnement d'Apollo, un fonds aussi discret que puissant. Tour d'horizon.
    1. Près de 500 milliards de dollars d'actifs sous gestion
    Apollo Global Management est un fonds de capital-investissement new-yorkais lancé en 1990. En quelques années, il est devenu numéro deux de son secteur derrière le mastodonte Blackstone, mais devant KKR et Carlyle. Sa montée en puissance s'est appuyée sur une stratégie classique dans le milieu : le fonds rachète des entreprises en difficulté, lourdement endettées, et impose des mesures de redressement pour tenter d'en restaurer la rentabilité.Comme le confiait son cofondateur Leon Black à Bloomberg en 2020, « c'est pendant les récessions que nous avons gagné le plus d'argent ». La crise de 2008 a notamment été source de grandes opportunités pour Apollo. Le fonds a fait l'une des meilleures opérations de son histoire à cette époque, en mettant la main sur le chimiste LyondellBasell que tout le milieu industriel croyait mort. Après restructuration, Apollo s'est désengagé par étapes en 2013. Sur cette opération, le fonds a réalisé un bénéfice de 10 milliards de dollars, « scellant ce qui était probablement la plus grande opération de capital-investissement de tous les temps », écrivait en 2014 le « Financial Times » . Sa réputation était faite.
    Fin 2021, le groupe gérait 497,6 milliards de dollars d'actifs pour le compte de fonds de pension, fonds souverains, compagnies d'assurances ou grosses fortunes privées.
    2. Un cofondateur milliardaire empêtré dans l'affaire Epstein
    Leon Black, 69 ans, a cofondé Apollo aux côtés de Marc Rowan et Joshua Harris. Ses méthodes de travail et sa proximité avec ses clients ont fait sa réussite. Comme le résume Bloomberg, il est « l'homme le plus redouté dans le domaine le plus agressif de la finance ». Le succès de sa société a fait de lui un milliardaire, avec une fortune estimée par Forbes à 10,1 milliards de dollars .
    Mais l'image de Leon Black a été entachée par ses liens financiers avec l'homme d'affaires et criminel sexuel Jeffrey Epstein, à qui il a versé 158 millions de dollars d'honoraires pour des services de conseil, entre 2012 et 2017. Un cabinet juridique, mandaté en interne pour examiner les rapports entre les deux hommes, n'a trouvé « aucune preuve » de l'implication de Leon Black dans les activités criminelles de Jeffrey Epstein. Leon Black finira toutefois par démissionner en 2021 de son poste de directeur général . C'est désormais Marc Rowan qui est aux manettes.
    3. Une stratégie rodée dans l'industrie
    Si Apollo est connu pour sa grande discrétion, il l'est aussi pour le choix de ses cibles. Le fonds dispose d'une puissante expertise sectorielle qui s'appuie sur ses 550 chargés d'investissements (sur un total de 2000 employés). Ces dernières années, Apollo a multiplié les opérations dans des secteurs aussi variés que le divertissement , l'immobilier ou l'imprimerie en ligne.
    Mais ce sont bien ses opérations industrielles qui retiennent l'attention. Notamment en France. En 2015, Apollo met ainsi la main sur Verallia , filiale spécialisée dans l'emballage en verre de Saint-Gobain, et sur l'équipementier aéronautique Latécoère . Avant cela, Apollo s'était emparé du producteur d'aluminium Constellium .
    Les choix stratégiques opérés pour ces sociétés, introduites en Bourse, se sont souvent avérés payants, selon les observateurs. Mais certaines manoeuvres industrielles ont été perdantes pour Apollo. Comme la reprise du producteur français d'aciers spéciaux Ascométal en 2011. La crise économique et l'échec des négociations avec les banques avaient poussé l'entreprise vers le redressement judiciaire .
    4. Une offensive dans la banque
    Depuis deux ans, Apollo s'est lancé dans une nouvelle aventure outre Atlantique : des prêts géants accordés à de grandes entreprises . Le fonds américain s'est associé au fonds souverain des Emirats arabes unis, Mubadala, pour fournir environ 12 milliards de dollars de financements à des grands groupes. Jusqu'ici, ses prêts se concentraient sur les PME


  • 01 février 2023 14:08

    Jean XXIII, ça devient un peu obsessionnel cette histoire d’OPA, non ?


  • 01 février 2023 14:51

    jean123 Il commence à dater ton pavé copié/collé :
    LesEchos  21 février 2022


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