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Retour au sujet VALLOUREC

VALLOUREC : Pétrole : la demande devrait rester élevée selon l'AIE

27 oct. 2021 15:47

Paru dans la revue Capital il y a 2 semaines (légère actualisation par rapport à l'article de mars
dernier...)

https://www.capital.fr/entreprises-marches/petrole-la-demande-dev rait-rester-elevee-selon-laie-1417158

18 réponses

  • 27 octobre 2021 15:52

    "La demande mondiale doit désormais augmenter de 5,5 millions de barils par jour (mb/j) en 2021, puis de 3,3 mb/j en 2022, pour atteindre alors 99,6 mb/j, légèrement au-dessus des niveaux pré-Covid".

    Bon courage à ceux qui parient sur un baril à 50 dollars début 2022...


  • 27 octobre 2021 20:20

    Comme tu le lis.

    Augmentation de 5.5 Mbj en 2021 pour soutenir la croissance forte.

    Augmentation moins forte en 2022, la croissance étant prevue moins forte.

    Croissance.qui décélére..... le baril va tomber en 2022.

    La croissance de tous les PIB des pays occidentaux et aussi de.la Chine est vue en baisse en 2022 vs 2021.

    Moins de croissance = moins de demande = baisse du baril 


  • 27 octobre 2021 20:21

    Le baril tombera à 50$ courant 2022. Certains prédisent au T1 d'autres au T2.

    Disons au S1 et cela mettra tout le monde d'accord.


  • 27 octobre 2021 20:53

    Voila ce que dit un membre de l'opep fin
    septembre 

    https://www.rtbf.be/info/monde/afrique/detail_le-nigeria-veut -produire-1-88-million-de-barils-de-petrole-par-jour-en-2022?id=10847043


  • 28 octobre 2021 08:13

    C'est beau de croire encore au père noel ! d'autres études voient un baril autour de 100€, c'était son prix et même plus il y a quelques années


  • 28 octobre 2021 08:16

    La voiture électrique ! on en parle beaucoup dans le milieu médiatique, mais très peu sont vendues en proportion, en province on achète toujours du classique, l'électrique restant une exception encore


  • 28 octobre 2021 10:30

    Innova, dans l'article que tu cites le Nigeria retiens un baril à 57 dollars avec comme hypothèse "une référence de production pétrolière très prudente (...) pour un plus grand réalisme budgétaire".

    J'entends ce que tu dis, pour ma part je n'y crois pas (et je ne suis pas el seu). J'ai plutôt peur d'une hausse incontrôlée du prix du baril (et de l'énergie en général), ce qui ne serait bon pour personne. Nous verrons bien.

    De toute façon pour Vallourec l'essentiel est ailleurs : signer des contrats comme celui dévoilà il y a 2 jours, notamment en EMEA.


  • 28 octobre 2021 11:58

    Et bien comme ça je ne suis d’accord avec ni l’un ni l’autre !

    Inova: la croissance mondiale va en effet rallentir l’année prochaine, mais à 4% on est très loin d’une récession et la demande va continuer à augmenter, moins vite mais elle va augmenter, pas de raison que le pétrole ne chute.
    Moins de croissance = croissance = plus de demande

    Pastis: l’annonce de ce nouveau contrat c’est bien mais c’est du BS, si c’était significatif on aurait eu un chiffrage, le marché ne si trompe pas d’ailleurs 


  • 28 octobre 2021 12:51

    12:13
    Et si la demande va rester élevée, l'offre va augmenter: "For those betting on $100 oil, the leader of the OPEC+ alliance, Saudi Arabia, has a message: look beyond the end of this year; an oversupply is coming next year"

    https://oilprice.com/Energy/Crude-Oil/Saudi-Arabia-Patience -Is-A-Virtue-In-Oil-Markets.html


  • 28 octobre 2021 14:11

    La demande av augmenter, donc les prix également, sauf si l'OPEP ouvre trsè largement les vannes, ce qui, à ce stade, ne me semble pas le scénario le plus probable (mais sait-on jamais).

    Après le contrat est un contrat cadre, il va falloir lui donner du contenu. Mais signer un tel contrat sur 10 ans dans cette région me semble très favorable, et je suis très surpris de la réaction du marché depuis 2 jours. Je suis certain que cela va payer dans les semaines et mois à venir.


  • 28 octobre 2021 14:16

    Ce contrat valide la stratégie industrielle de Vallourec (forte implantation régionale et développement des nouvelles routes de production). Couplée au recentrage sur le coeur de métier (pétrole/gaz), cette stratégie est de nature à restaurer la profitabilité (entamée depuis 1 an maintenant).


  • 28 octobre 2021 14:18

    oh, c'est un titre de très très LT vu sa chute, disent les PP
    MDR MDR


  • 28 octobre 2021 14:32

    Theoracle tu aurais pu dire exactement la même chose de SOITEC en 2016 (ou d'Alstom au début des années 2000). Je te souhaite d'avoir investi à ce moment-là :)


  • 28 octobre 2021 15:17

    L'Arabie Séoudite dit justement que la production va augmenter, régulant ainsi le prix et empêchant une flambée qui ne serait bon pour personne, ni consommateurs bien sûr, mais ni producteurs à cause de la récession mondiale qu'elle pourrait provoquer et chute de la consommattion. Les producteurs ont appris de leurs erreurs passées.

    Le prix est suffisamment élevé pour que le forage soit rentable, VK n'a pas besoin de prix plus haut


  • 28 octobre 2021 16:35

    L440.

    Pas besoin d'avoir une récession pour avoir une contraction de la demande.

    Quand la croissance ralentie la demande aussi

    Si la croissance est de 6% cette année tu as une demande plus forte que si la croissance était de 4%.

    L'an prochain la demande sera moins forte car la croissance sera moins forte.

    La chine commence a déjà inquiéter..... mais c'est normal elle a plus de 6 mois d'avance sur notre cycle économique.


  • 28 octobre 2021 16:44

    Sinon d'accord avec Pastis sie le reste


  • 28 octobre 2021 17:40

    On va avoir 4% de croissance, tu crois que la demande va diminuer ? La hausse de la demande va diminuer, mais pas le demande, la consommation de pétrole l'année prochaine sera supérieure à celle de cette année.


  • 03 novembre 2021 12:02

    L’actualité

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    Peut-on se passer de pétrole ?
    Le journaliste Gérald Fillion et l’économiste François Delorme se penchent sur cette question épineuse dans un extrait de leur essai intitulé L’heure des choix : Face à l’urgence climatique et sociale (Édito).

    Affaires et économie
    Environnement
    Gérald Fillion et François Delorme
    3 novembre 2021

    Illustration : Sébastien Thibault
    «Le changement arrive, que vous l’aimiez ou non », a lancé l’environnementaliste Greta Thunberg à Montréal le 27 septembre 2019, alors que s’étaient rassemblées 500 000 personnes dans les rues de la ville pour réclamer des gestes forts en faveur de la protection de l’environnement. Ces citoyens, qui ont marché ce jour-là aux côtés de Greta Thunberg, demandent aux élus d’écouter les scientifiques : il faut décarboniser la planète pour limiter le réchauffement climatique. Et il faut le faire rapidement.

    Mais la tâche est herculéenne. Les combustibles fossiles représentent 84,3 % de la consommation énergétique sur la planète : 33,1 % de l’énergie primaire consommée est du pétrole ; 27 %, du charbon ; et 24,2 %, du gaz naturel. Les énergies renouvelables représentent 11,4 % de cette consommation et le nucléaire, 4,3 %. La part des énergies renouvelables tend à augmenter depuis 2012. Et, selon les prévisions actuelles, la part du pétrole dans l’assiette énergétique mondiale devrait tomber à 27 % en 2050, tandis que celle des énergies renouvelables devrait atteindre 30 %.


    Les énergies fossiles demeurent, pour l’instant, les grands carburants de la planète, en particulier le pétrole dont on se sert comme combustible et comme matière première dans une foule de produits, pour fabriquer le plastique, par exemple. Vos écouteurs en contiennent et votre chandail aussi s’il est fait de polyester, un dérivé du pétrole. On consomme 13 fois plus de pétrole que d’hydroélectricité dans le monde.

    Cela dit, les Nord-Américains sont les champions de la consommation d’énergie fossile par habitant : 69 720 kWh par année au Canada et 66 525 kWh aux États-Unis, très loin devant la Suède, 19 304 kWh par habitant, et la France, 21 251 kWh.

    L’histoire pétrolière dure depuis 150 ans. Pourrait-elle bientôt s’arrêter ?

    Le lent déclin des énergies fossiles
    D’abord, il faut préciser que la part du pétrole et du charbon dans la consommation est en baisse. En 1973, 50 % de l’énergie consommée était du pétrole. Dans les années 1960, près de 40 % de l’énergie consommée était du charbon. Même si ces deux énergies fossiles demeurent dominantes encore aujourd’hui, leur importance relative diminue comparativement au gaz naturel.

    Les États-Unis sont aujourd’hui les plus grands producteurs de pétrole du monde. Avec l’avènement de la fracturation hydraulique et de l’exploitation du pétrole de schiste, les Américains sont devenus des exportateurs nets de pétrole. Avant l’année de la pandémie, la production pétrolière américaine avait atteint un record, à 19,5 millions de barils par jour. Dans le monde entier, la production quotidienne a dépassé les 100 millions de barils en 2018 et 2019.


    Fondamentalement, deux facteurs expliquent pourquoi la demande demeure forte pour le pétrole : la croissance démographique mondiale ; et l’insuffisance de l’offre, pour l’instant du moins, du côté des énergies renouvelables.

    La pandémie de COVID-19 a ralenti la production et la consommation de pétrole en 2020. La demande a chuté pour différents types de carburants en raison d’un arrêt quasi complet de certaines activités et des restrictions de déplacement. Les économistes prévoient un retour à la hausse de la consommation énergétique grâce à la reprise en cours. D’ailleurs, cette augmentation de la consommation et de la production se répercute sur le prix du pétrole. Fin juin 2021, le prix du baril de Brent (pétrole de référence en Europe) avoisinait les 80 $ US, ayant dépassé son niveau d’avant la pandémie. Début 2020, le prix du baril frôlait les 70 $ US, avant de s’effondrer à 20 $ US au printemps 2020, au plus fort de la pandémie de COVID-19.

    « La population mondiale va passer de 7,7 milliards d’habitants à 9,7 milliards d’ici à 2050, explique l’économiste en chef de la Banque Nationale, Stéfane Marion. Donc, en l’espace d’une trentaine d’années, il s’agit d’une croissance de 26 %. Et jusqu’à présent, nous n’avons pas développé toutes les technologies qui pourraient réduire la production de pétrole. Ainsi, la consommation actuelle demeure tributaire d’une demande pour le pétrole qui est appelée à croître au cours des prochaines années. »

    Selon les projections de la U.S. Energy Information Administration (EIA), la production de pétrole et de gaz naturel va continuer d’augmenter au cours des prochaines décennies, mais le développement des énergies renouvelables répondra davantage à la demande engendrée par la croissance démographique.


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