OSE IMMUNO : Quand je vous disais que les news tombe souvent

knacer

21 juin 2025 •10:00

Face à la crise de financement qui frappe l'ensemble du secteur des biotechnologies et des technologies médicales en France, il est devenu urgent que ces entreprises adaptent leurs structures de dépenses à la nouvelle réalité économique.

Pendant trop longtemps, certaines sociétés ont continué à fonctionner comme si les temps d’abondance n’étaient jamais finis. Pourtant, les marchés ont changé. Les financements se raréfient, les investisseurs deviennent plus sélectifs, et les attentes de rentabilité se font de plus en plus pressantes.

Il est donc inacceptable qu’un dirigeant de biotech ou medtech, à la tête d’une structure de quelques dizaines ou centaines de salariés, perçoive une rémunération de plus de 400 000 euros par an, soit plus de 33 000 euros par mois. Cela représente plus de quatre fois le salaire d’un ministre de la République, et presque l’équivalent de la rémunération du PDG de la SNCF, une entreprise comptant plus de 270 000 salariés, des milliers de trains à gérer chaque jour, et la responsabilité de millions de passagers.

Comment justifier de tels écarts de salaires dans des sociétés qui, souvent, ne génèrent que peu ou pas de chiffre d'affaires, et surtout n’ont encore jamais récompensé leurs actionnaires, même après plusieurs dizaines d’années d’existence ?

Les investisseurs particuliers, les PP (petits porteurs), qui croient dans la recherche française, ne peuvent plus être les seuls à supporter les pertes pendant que certains dirigeants vivent dans le luxe — voitures de prestige, train de vie fastueux, bonus déconnectés de toute performance économique.

L’âge d’or des biotechs, marqué par un accès facile aux capitaux, est terminé. Il est temps de redescendre sur terre. La sobriété et la transparence doivent devenir la norme.

Nous appelons donc l’ensemble des dirigeants du secteur à :
Réduire leur rémunération à des niveaux raisonnables, en ligne avec les résultats concrets des entreprises qu’ils dirigent.

Mettre en place une gouvernance plus respectueuse des actionnaires.

Recentrer les dépenses sur la recherche, l’innovation et les essais cliniques, plutôt que sur des avantages personnels.

Publier de façon transparente l’usage des fonds levés.

La survie du secteur dépend de cette prise de conscience. Sans réforme rapide, ce ne sont pas seulement les entreprises qui disparaîtront, mais aussi la confiance, déjà vacillante, des investisseurs.

knacer

21 juin 2025 •10:06

Il devrait commencer par ça.

NP entre 2 ans ( mai 2022/2024), c est 3 M€ de salaires et stocks options.
C est énorme pour une action qui est passé de 7€ à moins de 5€ pendant son mandant soit -30%

DC c était 600k€ par an en moyenne.
Didier Hoch c est 100k€ en 2024, il fait quoi concrtement le président du comité d administration, rien.

Chaque membre du comité c est entre 10/30k€ plus 10000 stock option par an.

Il est là le problème de financement des biotechs.

Demondons la fin de ces privilèges en AG. Un montant plafonné pour le DG et autres, s il ne veut pas qu il aille voir ailleurs

Le p

Agneau-de-WallStreet

21 juin 2025 •10:12

knacer

21 juin 2025 •10:00

Face à la crise de financement qui frappe l'ensemble du secteur des biotechnologies et des technologies médicales en France, il est devenu urgent que ces entreprises adaptent leurs structures de dépenses à la nouvelle réalité économique.

Pendant trop longtemps, certaines sociétés ont continué à fonctionner comme si les temps d’abondance n’étaient jamais finis. Pourtant, les marchés ont changé. Les financements se raréfient, les investisseurs deviennent plus sélectifs, et les attentes de rentabilité se font de plus en plus pressantes.

Il est donc inacceptable qu’un dirigeant de biotech ou medtech, à la tête d’une structure de quelques dizaines ou centaines de salariés, perçoive une rémunération de plus de 400 000 euros par an, soit plus de 33 000 euros par mois. Cela représente plus de quatre fois le salaire d’un ministre de la République, et presque l’équivalent de la rémunération du PDG de la SNCF, une entreprise comptant plus de 270 000 salariés, des milliers de trains à gérer chaque jour, et la responsabilité de millions de passagers.

Comment justifier de tels écarts de salaires dans des sociétés qui, souvent, ne génèrent que peu ou pas de chiffre d'affaires, et surtout n’ont encore jamais récompensé leurs actionnaires, même après plusieurs dizaines d’années d’existence ?

Les investisseurs particuliers, les PP (petits porteurs), qui croient dans la recherche française, ne peuvent plus être les seuls à supporter les pertes pendant que certains dirigeants vivent dans le luxe — voitures de prestige, train de vie fastueux, bonus déconnectés de toute performance économique.

L’âge d’or des biotechs, marqué par un accès facile aux capitaux, est terminé. Il est temps de redescendre sur terre. La sobriété et la transparence doivent devenir la norme.

Nous appelons donc l’ensemble des dirigeants du secteur à :
Réduire leur rémunération à des niveaux raisonnables, en ligne avec les résultats concrets des entreprises qu’ils dirigent.

Mettre en place une gouvernance plus respectueuse des actionnaires.

Recentrer les dépenses sur la recherche, l’innovation et les essais cliniques, plutôt que sur des avantages personnels.

Publier de façon transparente l’usage des fonds levés.

La survie du secteur dépend de cette prise de conscience. Sans réforme rapide, ce ne sont pas seulement les entreprises qui disparaîtront, mais aussi la confiance, déjà vacillante, des investisseurs.

Merci de citer ta source Knacer
Post de Justinfo sur le forum Median repris ce jour sur le forum CARMAT

normagva

21 juin 2025 •10:17

knacer

21 juin 2025 •10:06

Il devrait commencer par ça.

NP entre 2 ans ( mai 2022/2024), c est 3 M€ de salaires et stocks options.
C est énorme pour une action qui est passé de 7€ à moins de 5€ pendant son mandant soit -30%

DC c était 600k€ par an en moyenne.
Didier Hoch c est 100k€ en 2024, il fait quoi concrtement le président du comité d administration, rien.

Chaque membre du comité c est entre 10/30k€ plus 10000 stock option par an.

Il est là le problème de financement des biotechs.

Demondons la fin de ces privilèges en AG. Un montant plafonné pour le DG et autres, s il ne veut pas qu il aille voir ailleurs

Le p

Là, je te rejoins, knacer
Des sommes assez délirantes pour le moment. Qu'ils attendent e mettre sur le marché un médoc qui se vend

dratiser

21 juin 2025 •11:00

Sans explication de la baisse et son rôle dedans
Je ne croirais pas son discours

M6440807

21 juin 2025 •13:29

une de plus qui baisse,

knacer

21 juin 2025 •15:11

Oui désolé Agneau-de-WallStreet,

Effectivement j ai fait un tour sur le forum de Carmat, terrible là bas, réduit à faire appel aux dons de particuliers.

La copie de ce post m a semblé tellement coller à la situation et l image de la direction actuelle et passée d Ose.

Triste alors queje suis persuadé que le personnel se démène.

philb75

21 juin 2025 •22:35

Sur Carmat, cet appel aux dons ressemble à une manip pour faire réagir les actionnaires historiques, qui ont du rechigner à re-mettre une nienne fois la main à la poche pour une prochaine AK. Ou bien un appel au secours à un mécène institutionnel, l'état français n'a-t-il pas massivement investi dans Eutelsat cette semaine ? Bien sur, Carmat est moins stratégique, mais pour ceux qui connaissent la boite, c'est un fleuron technologique.

Evidemment, le montant de la cagnotte sera bien en deça du montant nécessaire pour les 12 prochains mois.

philb75

21 juin 2025 •22:39

Même s'il y a pas mal de faits incontestables chez les Medtech et Biotech françaises, le post de justinfo met Ose dans une liste avec d'autres bios (Safe Ortho, Genfit) qui ont vu leur cours divisé par 100, 1000 ou plus dans les dernières années. Peu de bios génèrent un CA leur permettant de couvrir leurs besoins en R&D et ça aurait été honnête de le mentionner.

Shamrock888

08:22

knacer

21 juin 2025 •15:11

Oui désolé Agneau-de-WallStreet,

Effectivement j ai fait un tour sur le forum de Carmat, terrible là bas, réduit à faire appel aux dons de particuliers.

La copie de ce post m a semblé tellement coller à la situation et l image de la direction actuelle et passée d Ose.

Triste alors queje suis persuadé que le personnel se démène.

C'est à Justinfo qu'il faut présenter des excuses ;
et plates, tré, tré plates ;
en espérant qu'il les acceptera.